Eloge Paradoxal D Une Mouche

Molière, Dom Juan, Acte I, sc. 1 – Éloge du tabac. Commentaire littéraire. ⇨ En quoi cette scène d’exposition est-elle une illustration du double libertinage de Dom Juan – libertinage philosophique et libertinage moral – qui va dominer toute la pièce ? Et, partant, en quoi annonce-t-elle la pensée des Lumières ? ← Axes de lectures : o Une scène d’exposition à la fois classique et atypique. o L’inscription de la scène dans une idéologie. Introduction - Le

MOLIÈRE, L'Avare, 1668: Acte I : EXPOSITION : TROIS PROJETS DE MARIAGES: AFFAIRES D'AMOUR ET D'ARGENT DANS LA MAISON D'UN AVARE Scène 1: Duo amoureux, éloges (paradoxal) de l'hypocrisie/ de la flatterie: "mais quand on a besoin des hommes, il faut bien s'ajuster à eux" stratégie de contournement Valère : "et l'excès de son avarice, et la manière austère dont il vit avec ses enfants pourraient autoriser des choses plus étranges" (pourraient justifier des actions encore moins honnêtes) => excuse

de la lecture », Voltaire) ; le blason (poème de louange portant sur un élément du corps féminin) et le contre-blason (poème d’éloge burlesque et satirique : « Du laid tétin » de Clément Marot) ; l’éloge paradoxal (éloge de ce qui est en général déprécié (« éloge de la mouche » de Lucien ; « éloge des dettes » formulé par Panurge dans le Tiers Livre de Rabelais ). Le discours repose sur trois types de preuves : -les preuves éthiques : qui cherchent à plaire, à disposer favorablement l'interlocuteur

épidictique.   Mais, comme il en est de tout classement, ces catégories sont poreuses : un même texte peut, par exemple, conjuguer les formes classiques du judiciaire et de l'épidictique. C'est autour de ce mélange que s'inscrit notre séquence : éloge et blâme, qui appartiennent plus précisément à l'épidictique, rejoignent naturellement les registres mis en œuvre dans le plaidoyer ou le réquisitoire, qui ressortissent au judiciaire. Dans toutes ces productions, en tout cas, la littérature reconnaît

Molière utilisent souvent l’exagération avec l’intention de corriger les vices des hommes. Nous voyons ceci plusieurs fois chez Dom Juan de Molière. D’abord, dans la scène d’exposition lorsque Sganarelle récite un éloge paradoxal sur le tabac et aussi lorsque Dom Juan réalise un éloge paradoxal de l’infidélité « La belle chose de vouloir se piquer d’un faux honneur d’être fidèle, de s’ensevelir pour toujours dans une passion, et d’être mort dès sa jeunesse à toutes les autres beautés qui nous peuvent

II- Une révélation poétique Le poème est un éloge paradoxal, puisqu'il loue avec lyrisme un objet abject dans le cadre d'une relation traditionnelle de séduction amoureuse entre le poète et sa dame. La charogne est idéalisée par le poète, dans un processus qui en fait l'illustration du projet cher au poète, qui écrivait dans les Bribes de poèmes non utilisées pour son recueil : « j'ai pétri de la boue et j en ai fait de l'or ». A- Un éloge paradoxal Le texte présente un paradoxe. En effet le

Stéphane Mallarmé ou encore Arthur Rimbaud. Le poème présente une situation inhabituelle, un couple en promenade croise un cadavre d’animal en décomposition. Comment le poète présente-t-il la beauté de l’horreur et pourquoi? En quoi cette vision paradoxale crée-t-elle l’ironie? Pour répondre à ces questions nous nous pencherons sur le mélange du beau et du laid et sur l’ironie qui s’en dégage, puis sur les faux airs de déclaration amoureuse que Baudelaire donne à ce poème. Enfin nous nous intéresserons

de la première partie des Fleurs du Mal, recueil publié en 1861, censuré pour son inadéquation aux bonnes règles de la morale et de la pudeur. « Une Charogne » suit « le Serpent qui danse », qui est un éloge de la femme aimée, mais cet éloge va ici se transformer en un memento mori paradoxal. Baudelaire ose s’attaquer à des motifs peu conventionnels, comme celui de cette « charogne ». XXIX ème poème de la première partie du recueil, intitulée « Spleen et Idéal », « Une Charogne » reflète bien

tous... » (l.9) -> Absurdité complète de cet affrontement. La guerre : lieu où on risque sa vie sans raison. b) l’image paradoxale de la prison comme refuge La prison devient un lieu de refuge et de protection pour Bardamu (contraire à la vraie vie) : « prison pépère » (l.18). Les murs de la prison deviennent des remparts où l’on se protège. Idéalisation de la prison (paradoxale à la vie réelle) : « une toute prête, au soleil... (l.19). Renversement des valeurs associés communément à la guerre. (Guerre

Grandeur et Misère de l’Homme. Liasses II et VIII Domaine d’étude : Littérature et débats d’idées. Problématique : Comment, par quel procédé apte à convaincre et persuader, Pascal va-t-il écrire à la fois une apologie (c'est-à-dire un éloge) du christianisme et une anthropologie (une vision, une étude de la condition humaine de la grandeur et de la misère de l’Homme) ? Séance 1 : BLAISE PASCAL « Cet effrayant génie » (Chateaubriand). Un effrayant génie précoce. Il est 1623