Eloge Louis Xiv

fait scandale auprès des membres influents de la Cour, comme Anne d'Autriche, car la pièce aborde le sujet des faux dévots. Ce sujet est délicat, car la religion ne peut pas être utilisée en comédie (c'est un sujet "noble"). Malgré le soutien de Louis XIV, la pièce est interdite jusque ne 1669. Molière doit donc créer rapidement une nouvelle pièce. Dom Juan paraît donc en 1665. La pièce est écrite en prose, on ne sait pas si c'est par manque de temps ou si c'est un choix délibéré de la part de Molière

INTRO Au 17ème siècle, le roi Louis XIV versait une pension aux hommes savants, français ou étrangers, qui glorifiaient l’image du roi et de son royaume grâce à leurs écrits. Ces hommes sont issus de plusieurs disciplines, aussi bien de lettres ou de sciences exactes. Ce document est une liste nous montrant les pensions que versait le roi aux gens de lettres. Elle récapitule les pensions versées en 1670 et est issu du livre Lettres, instructions et mémoires de Colbert, Tome V., publié à Paris

Analyse analytique de Phèdre Acte II scène 5 Introduction Contexte historique : XVIIème siècle Monarchie absolue de droit divin (autorité) Louis XIV  1661-1715 Centralise tous les pouvoirs Représente Dieu sur Terre Domestication des nobles (qui tentent de prendre le pouvoir) Troubles : religions, guerres, famines, … Mouvement : Classicisme Siècle du théâtre classique Opposition au mouvement Baroque 2ème moitié du XVIIème siècle Doctrine : règles précises : 3 unités (24h, lieu, action) Vraisemblance

ce qui laisserait penser que la présentation du roi va avoir quelque chose de dithyrambique. Il faut attendre la fin du paragraphe pour avoir la confirmation que cet éloge n'en est pas réellement un, ce qui définit le véritable registre du passage, l'ironie. Il est en effet question, dans la dernière phrase, des souverains que Louis XIV est supposé admirer : ce sont des souverains despotiques et autocratiques, admirés non pas par intérêt pour la politique orientale, comme le dit Usbek, avec une certaine

temples que pour vous. Le XVIIe est le siècle de l'ordre, de la grandeur et du classicisme sur un fond d'autoritarisme monarchique. La France domine l'Europe par les armes, les lettres et les arts. Si le XVIIe siècle a consacré Louis XIV comme figure emblématique de cet esprit, il a également consacré de grands auteurs, moralistes, poètes et dramaturges dont Molière, Racine, La Bruyère,etc. Jean de La Fontaine (1621-1695) poète, moraliste, dramaturge, librettiste, fabuliste, académicien

se dessine à travers ce courant. Ce mouvement littéraire et artistique se développe en France, et plus largement en Europe, dans la deuxième moitié du XVIIe siècle, il se traduit par un regard tourné vers l’antiquité. Il marque la fin du règne de Louis XIII (1648 – 1652), le régime est sur le déclin. La démarche des écrivains classiques est la même qu’au Moyen Age et plus particulièrement à l’époque de la renaissance, où les principaux auteurs se penchaient sur le talent des anciens, pensant que

Introduction : Charles-Louis de Secondat, baron de La Brède et de Montesquieu, dit « Montesquieu » est né en 1689 et mort en 1755. C’est un écrivain moraliste et philosophe des Lumières. Il a été Président du Parlement de Bordeaux (en 1714) puis élu à l’Académie française (en 1728). Les « Lumières » désignent un mouvement de renouveau intellectuel et culturel qui voit le triomphe de la raison sur la foi et la croyance. Montesquieu a rédigé ses Lettres Persanes entre 1711 et 1720. Il a publié

Cependant, pour certains historiens, l'orléanisme puise ses fondements dans les rapports qu'ont entretenus les ducs d'Orléans, premiers princes du Sang, et la haute aristocratie confrontée aux affaires du royaume depuis la Régence. Depuis la mort de Louis XIV en 1715, suivie de la Régence confiée à Philippe, duc d’Orléans, une coterie s’était organisée autour de la branche d’Orléans une opposition à l’absolutisme qui réunit alors de grands aristocrates. Le courant « orléaniste » se développa face à la

hiérarchie. Présentée comme une grand-mère qui s'habille jeune fille (cf ligne). => Le frère aîné du Roi (qui est mort) aurait été un meilleur roi qu'Henri II. Usage du passé composé : permet de faire un parallèle entre la Cour des Valois et celle de Louis XIV contemporaine à l'écrivaine. b) Vanité et divertissement. => Mort du Roi évoquée, on y associe les divertissements (critiqués par Pascal) Rapprochement avec les Vanités (peintures) qui sont des compositions (nature morte) évoquant la destinée

détaillant ce qu’ils observent dans leur pays respectif. La lettre XXXVII permet à Montesquieu, par la plume d’Usbek, d’évoquer l’exercice de Louis XIV et ses incohérences. Il souhaite ainsi inciter une réflexion sur l’exercice du pouvoir du monarque. Il convient de rappeler le contexte social qui a favorisé l’écriture de cette lettre : à la fin du règne de Louis XIV, Montesquieu espère beaucoup voir également la fin de l’absolutisme, et sa déception paraît de façon très perceptible dans les Lettres persanes