Eloge Du Luxe

oscille entre son amour passionné pour Des Grieux et son goût inexpugnable pour le luxe et les plaisirs. C'est ce goût pour les plaisirs qui va entraîner la ruine du couple : ce n'est pas l'argent, qu'elle aime, mais ce qu'il peut procurer. Elle est prête, alors, à toute trahison, parce que seule la jouissance de l'instant présent compte pour elle et qu'elle n'obéit guère à des principes d'ordre moral. Amour et passion du luxe sont inconciliables ; elle a donc recours à des artifices : mensonge, improvisations

rythme ternaire assez joyeux : « été, herbe, joie » → légèreté dans ce vers. Il y a un lieu (herbe) et un moment (été) qui contraste avec le premier quatrin. Il les plaint. B)Conviction : La Nature Cette compassion se nourrit d’un éloge de la nature, annoncée avec le possessif « ta joie » au vers 7 et présenté au vers 8 avec une majuscule. La Nature est ici comme une force créatrice, c’est elle qui crée les hommes et non Dieu. Elle est une divinité. Cette guerre est donc contre-nature

des cadavres sans doute suggéré Les glaïeuls Aucun parfum ne semble le troubler LA VUE Les couleurs : Omniprésence du rouge qui suggère la violence et est associé au feu qui l’accentue. Seules autres couleurs : l’or qui dénonce le luxe du clergé (+ champ lexical) et le noir qui exprime le deuil des mères Le bleu du ciel, seule note positive renvoie à la nature et est annihilé par la rime en « feu » du vers 4. Les couleurs : Omniprésence du vert qui souligne l’importance de

Luxe, calme et volupté. Des meubles luisants, Polis par les ans, Décoreraient notre chambre ; Les plus rares fleurs Mêlant leurs odeurs Aux vagues senteurs de l'ambre, Les riches plafonds, Les miroirs profonds, La splendeur orientale, Tout y parlerait À l'âme en secret Sa douce langue natale. Là, tout n'est qu'ordre et beauté, Luxe, calme et volupté

traductions). Celui-ci se place bien entendu au début de l’œuvre, au livre II, puisque Thucydide suit un ordre chronologique. Il semble évident que ce long discours de la part du guide de fait des Athéniens ne va certainement pas se cantonner à la seule éloge funèbre et a toutes les chances de se transformer en acte de propagande pour la politique militariste poursuivie par Périclès. Nous allons donc chercher à comprendre comment cette célébration religieuse des morts est transformée dans ce discours en

de la beauté des enfants riche. Les noms communs : luxe, richesse et innocence insistent sur la condition aisée de l’enfant. Une antithèse avec pauvreté et médiocrité. L’antithèse est la figure centrale de ce poème. Pâte : expression métaphorique du moule souligne ici la différence entre les 2 mondes. Pauvre = Mauvaise pâte Riche = Bonne pâte. Ligne 10 : description du joujou du riche méliorative : splendide (Hyperbole) verni, doré,… Eloge de la beauté du jouet, de la richesse. Comparaison

riche -> noms communs « luxe », « richesse » , « innocence » et « insouciance » qui indique une condition aisé de l’enfant et entraine … -> une antithèse avec « pauvreté et médiocre » qui définisse l’enfant pauvre La figure centrale de ce poème est l’antithèse. -> « Pâte » (v24), métaphore. Différence entre les deux mondes. (Pauvre: mauvaise pâte, riche : bonne pâte) -> v26-27 : description méliorative du joujou = « splendide » (hyperbole) « verni ; doré » = Eloge de la beauté du jouet ->

Généralisation de la beauté des enfants riche. Les noms communs : luxe, richesse et innocence insistent sur la condition aisée de l’enfant. Une antithèse avec pauvreté et médiocrité. L’antithèse est la figure centrale de ce poème. Pâte : expression métaphorique du moule souligne ici la différence entre les deux mondes. Pauvre = Mauvaise pâte Riche = Bonne pâte. Ligne 10 : description du joujou du riche méliorative : splendide (Hyperbole) verni, doré,… Eloge de la beauté du jouet, de la richesse. Comparaison entre

civilisation antique pour approfondir une culture et retrouver leur authenticité.Un culte de l’homme (pouvoir créateur, intelligence, vivacité, beauté…). L’homme est placé au centre de l’univers.Un éloge des connaissances encyclopédiques et de soi.Une diffusion des idées (imprimeries, universités)Un éloge des voyages, une curiosité pour découvrir les merveilles de la nature, l’homme n’est plus au centre du monde. Une curiosité linguistique, étude des langues antiques (grec, hébreu, latin, syriaque)

mystérieuxDe tes traîtres yeux,Brillant à travers leurs larmes. Là, tout n'est qu'ordre et beauté,Luxe, calme et volupté.Des meubles luisants,Polis par les ans,Décoreraient notre chambre ;Les plus rares fleursMêlant leurs odeursAux vagues senteurs de l'ambre, Les riches plafonds,Les miroirs profonds,La splendeur orientale,Tout y parleraitÀ l'âme en secretSa douce langue natale.Là, tout n'est qu'ordre et beauté,Luxe, calme et volupté.Vois sur ces canauxDormir ces vaisseauxDont l'humeur est vagabonde ;C'est