Eloge De La Ville De Paris

Fiche de lecture Eloge des frontières, de Régis Debray, Gallimard, 104 p., 7,90 euros. L'auteur Régis Debray, né en 1940 à Paris, réussit le concours d'entrée à l'École normale supérieure (major de promotion), puis passe l'agrégation de philosophie en 1965, tout en militant à l'Union des étudiants communistes. La même année, il part à Cuba et suit Che Guevara en Bolivie. Capturé en 1967, il passe 4 ans en prison puis rentre en France en 1973. De 1981 à 1985, il est chargé de mission pour

parle l’énonciateur du Bellay. Il parle de Paris qui devient l’objet poétique. Les circonstances : loin de son pays, touché par la nostalgie, il écrit ce sonnet. Registre lyrique. Forme poétique = sonnet. XVIeme siècle. Comparaison : ver 2 : « grand mer » (comparant) et ver 3 « Paris sans paire » (comparé). Mot répété trois fois : « tous, tout, toute » fait référence à la grandeur. 2eme quatrain : Eloge de la ville de Paris Ver 1 : Métaphore : « Paris est en savoir une Grèce féconde » Ver 2 :

« Zone ». C’est un texte fondamentalement novateur : par son thème (la ville, la tour Eiffel, les affiches publicitaires … *Titre initial : « Cri ». Cri de cœur tour à tour enthousiaste et désespéré mais en changeant le titre refuse la dimension lyrique et pathétique. Mot « Zone » plus intrigant ( connotation circulaire. Zônê en grec « ceinture », « cercle de pierre précieuse », « domaine climatique ». Début 20ème siècle à Paris, le terme désigne les faubourgs d’habitation précaire à la place des

l’importance de Paris dans le Salut. La capitale française occupe une place centrale dans le tome III des Mémoires de Guerre de Charles de Gaulle, Le Salut, qui retrace une partie de l’histoire de 1944 à 1946. Qu’elle est donc l’importance de ce lieu dans les Mémoires mais aussi l’importance de cette ville symbolique aux yeux de De Gaulle ? Nous verrons dans un premier temps que De Gaulle fait une description élogieuse du lieu de l’unité militaire ou bien encore que Paris symbolise les

France occupe une place priviligiée dans le monde. La maroquinerie Louis Vitton sur les champs élysée, paris. Paris, Ville mondiale. Paris est la capital de la France, mais c'est aussi une ville mondiale dans la mesure ou avec son aglomération elle exerce des fonctions d'imporance internationale. Menace sur une ville mondiale dans le domaine financier il est indéniable que la position de paris c'est dégradée : du dexieme rang au millieu XIXé Siécle, elle est passée aujourd'hui au 5éme aprés new

présente par exemple deux antithèses mises en valeur par le parallélisme des deux hémistiches : «  Sur la ville et les champs, sur les toits et les blés » . Ces deux oppositions produisent un effet de rapprochement : le regard s’attarde sur des détails plus précis, à mesure que le poème progresse. Strophe 1Elle développe principalement la description de la ville, présentée comme un paysage trsite. Le faubourg est «  vieux  », les

le désespoir amoureux au thème de l'errance ? Nous examinerons d'abord son parcours poétique en harmonie avec Paris puis nous verrons les particularités de son chant d'amour déçu. En premier lieu, nous observons un itinéraire erratique dans un Paris ou l'état dame du poète y est reflété. En effet, le terme d’errance est suggéré dès le quatrième ver : «  J'erre à travers mon beau Paris ». L'assonance et la répétition en [-ER] souligne encore cette démarche sans but. On relève encore une fois la

thèmes Ils sont nombreux dans un recueil aussi complet. Si on les regroupe, on obtient ainsi 5 idées principales. a. L'évasion : on y retrouve le rêve, le voyage, l'ivresse, parfois la solitude. Baudelaire émet l'hypothèse que dans une grande ville, on est sans cesse en compagnie de gens, il arrive que l'on ait besoin de s’évader, de se retrouver seul. Pour lui, l'écriture est un moyen de s'enfermer dans son propre monde, de se retrouver en accord avec soi même, de remédier au spleen. b. Les

ceinture ; image d'une boucle fermée , d'un voyage qui se termine par un retour au point de départ (matin) - Terrains vagues qui ceinturent Paris ( misère ) « à la fin » (v.1) crée un effet de boucle puisque placé en tête du poème ( renvoie au titre ) 1.Repères brouillés ( de temps , de personne ) Personnels :  « je » et « tu » : affirmation de soi et dialogue avec soi-même

pas déçu Métaphore comparant au poète, éloge du soleil p.126 Le Cygne Ridicule : vouloir quitter son habitat naturel Dédié à Victor Hugo -> exilé comme Baudelaire Paris en mouvement, Paris change « Là » appuie la mélancolie p.130 Les petites vieilles Fascination - Dégout : Monstres, état misérable, mais l’horreur tourne aux enchantements. Jeune –> beau L’étrange : Dans tout ce qui est laid on peut trouver du beau 2 côtés de la ville : beau et laid -> gloire passé et actuel