Eloge De La Jalousie

nous allons étudier est l'œuvre de Jean Racine (1639-1699), poète français considéré comme l'un des plus grands dramaturges français avec Corneille. Proche du roi Louis XIV, il est intégré à la cour en 1664 après l'écriture d'un poème faisant son éloge. Ainsi Racine écrit ses lettres dans un cadre spécial et non-neutre. Le second texte fut écrit par un écrivain hollandais. Afin de répondre à la problématique : « Quelle opinion ont ces deux écrivains du conflit franco-hollandais? », nous allons scinder

Diderot affirme les méfaits de la propriété en lui opposant une forme de communisme tribal et résume avec vigueur les méfaits et la fausse légitimité de la colonisation. Mais pourquoi faire un éloge ? Ne connaissant ni l'argent, ni la propriété privée, les tahitiens sont à l'abri de l'envie, de la jalousie et du vol. Ils vivent en parfaite harmonie entre eux, c'est ce que va nous montrer le vieillard dans son discours. Face aux prétextes des colonisateurs qui se disent animer d'un idéal généreux

cru moi, sans une peine extrême » (l.1), la seconde il nie les faits « Et longtemps, d'imposteur, j'ai traité ce moi-même » (l.3) et la troisième, il accepte ce qu'il voit « J'ai vu que c'était moi, sans aucun stratagème » (l.5). Il fait ensuite un éloge de son double « il est comme moi fait / Beau, l'air noble, bien pris, les manières charmantes » (6-7), ce portrait de sa personne très flatteur et rempli d'orgueil dénonce un valet imbu de sa personne. De plus, la seule différence notable entre le

philosophie. La destinée de Zadig ressemble à celle de Voltaire. En fait, l’auteur transpose dans Zadig ses mésaventures à la cour. Le jeune babylonien Zadig, talentueux et raisonnable, devient ministre et réussit fort bien, c’est pourquoi il attise les jalousies. Il est exilé et connaît le malheur avant de revenir triomphant à Babylone. La fiction narrative permet à la verve de l’auteur de se donner libre cours, grâce à un déguisement oriental de fantaisie qui autorise toutes les insolences. Nous

7) montre qu’’ils se veulent plus intelligent. En réalité, à travers ce texte on comprends que l'image que veut se donner l'homme est loin de la réalité. L'auteur insiste sur un homme manipulateur et jaloux en utilisant un lexique dépréciatif "une jalousie honteuse" (l.3), "ses vices" (l.11) ou encore "ses défauts" (l.11). L'auteur met a nu l'homme, et l'a bien analysé. Même si lui aussi est un homme, il ne cache pas les mauvais vices que peuvent avoir la gente masculine envers les femmes. Ce portrait

théâtre est aussi un lieu de heurts. En effet, on peut y voir beaucoup de déplacements sur scène. De plus la représentation théâtrale peut être violente : physiquement ou mentalement. On y retrouve la violence des sentiments, des passions comme la jalousie de Phèdre où la violence de la passion d’Hermione est présente dans Phèdre de Racine. La violence physique est aussi présente comme le souligne la fin d’Andromaque dans la tragédie Andromaque de Racine où la folie et la mort l’emportent. En outre

lettre 100 (par exemple). B. Le « couple » Rosemonde-Tourvel Lettre 130 = charte féministe du roman → éthique qui annonce le marivaudage : c’est la cœur de la femme qui a l’esprit de finesse (≠ esprit lourd du mâle) Personnage de Tourvel = bel éloge du sexe féminin et incarnation des idées de la lettre 130 : sensibilité, générosité, pudeur, qualité d’âme… Elle est la seule, avec Rosemonde, à avoir de l’indulgence à l’égard de Valmont. Elle représente l’image la plus séduisante du féminisme

réquisitoire contre la noblesse : noblesse montrée comme dégénérée, menée par la débauche, la cupidité et la corruption. Les ministres sont rivaux pour piller l’Espagne ; triomphe du népotisme (favoriser ses proches), c’est le règne de l’argent. • Un éloge du peuple : le peuple est victime d’injustices, sans privilège de naissance, ni argent ; or le peuple est sublime, = grand dans sa supériorité morale sur la noblesse, il a la noblesse de cœur ; il mérite donc d’être au pouvoir et de réformer la société

de nouveaux besoins Créer une hiérarchie (chef des brigands) et une jalousie (vous vous êtes égorgés pour elles) Et donc cette hiérarchie va créer les inégalités entre les hommes Cette immoralité est ici marquée par la notion de propriété privée (ex l15 « tu nous a prêché je ne sais quelle distinction du tien et du mien) fait apparaître de nouveaux besoins Créer une hiérarchie (chef des brigands) et une jalousie (vous vous êtes égorgés pour elles) Et donc cette hiérarchie va créer les

vu qu’à elle » l28. L2 et 3 on voit que le personnage est hors du commun puisqu’il donne de l’admiration dans un lieu où l’on était aussi accoutumé à voir de belles personnes. Dans « plein de grâce et de charme » assonance en a qui amplifie cette éloge et témoigne de l’admiration. Le narrateur cherche à peindre une jeune femme extrêmement belle et gâtée par le sort. On est face à un personnage hors du commun, idéalisé. c) Un portrait stéréotypé et juste équipé Première apparition de l’héroïne