Elisa, mon amour

Elisa Claes, 6B 13/10/14 Dissertation : "Les enfants ne connaissent guère la vraie amitié, ils n’ont que des "copains", des "complices" et changent d'amis en changeant d'école ou de classe, ou même de banc". M.Pagnol. Tout d’abord, l’amitié est définie comme étant un sentiment d’affection entre deux personnes : attachement, sympathie qu’une personne témoigne à l’autre. Les enfants ne connaissent pas la vraie amitié, mais ils connaissent que des copains

bourgeoisie provinciale, mère tendre et aimante, épouse dévouée, elle se sent irrésistiblement attirée par Julien pour qui elle éprouve une passion sincère et ardente. De même, celui-ci reconnaîtra à la fin de sa vie que son seul et véritable amour, épuré de tout arrivisme, de toute ambition, fut Mme de Rênal. Mathilde de la môle : Se révèle comme un double de J. L'une des deux grandes figures féminines du roman. Elle est construite selon une antithèse avec Mme de Rênal, car elle dévore

comme précepteur. De là, il tombe immédiatement amoureux de la maitresse de maison. Julien commence à s'attirer la jalousie des domestiques, mais aussi de M.Valenod, directeur du dépôt de mendicité, qui courtise Mme de Rênal. A la suite d'un héritage, Elisa, la femme de chambre prétend épouser Julien, mais celui-ci fait savoir que ce mariage ne lui convient pas. Il se termine lorsque Julien est chassé de chez les Rênal à cause d’une lettre anonyme révélant sa liaison avec madame de Rênal. Péripéties :

vie de celui-ci « se composait ainsi d’une suite de petites négociations ; et leur succès l’occupait beaucoup plus que le sentiment de préférence marqué qu’il n’eût tenu qu’à lui de lire dans le cœur de Madame de Rênal ». Il refuse le mariage avec Elisa, ce qui provoque la joie de Madame de Rênal qui se demande : « Aurais-je de l’amour pour Julien ? » A Vergy, dans une propriété à l’écart de Verrières où les Rênal se sont installés, Madame de Rênal, Madame Derville, une amie, et Julien passent les

nature, il semblerait qu' au cours du poème Ronsard fasse un inventaire élogieux de la nature il la flatte, vente ses qualités sa beauté pour qu' a son tour elle accepte la requête du poète. Ronsard interpelle la nature et lui supplie de déclarer son amour à la femme qu' il aime. L'auteur de ce poème est en communion avec la nature, on observe qu' ils sont liés intimement, qu' ils sont ami , d' ailleurs la nature joue un rôle de confidente à l'égard du poète. De plus il connaît le pouvoir de la nature

ses devoirs de mère et d’épouse. Il reproche à F d’avoir fait preuve de complaisance voire de complicité à l’égard d’Emma et de ses débordements. L’auteur selon Pinard offense la religion : avec la scène d’Emma au couvent car Emma confond amour spirituel et amour charnel + le personnage de Bournisien est particulièrement mis à mal EX : quand Emma vient chercher auprès de lui du réconfort, il semble nier les douleurs morales, pour lui, elle ne souffre que physiquement, c’est une image de prêtre matérialiste

scolarité au Collège royal. En 1834, la famille Flaubert est partie comme chaque été à Trouville-sur-Mer. Un ans après, Flaubert a publié ''Voyage en Enfer'' dans la rédaction d'un journal du collège. Il avait rencontré lors de ses vacances une certaine Elisa Schlésinger. Gustave avait été pris d'une passion dévorante pour cette femme qui illustrait la dame inaccessible. En 1839, il a été renvoyé de son collège et a passé son baccalauréat seul. Ne devant pas faire son service militaire, il s'est inscrit

vie de celui-ci « se composait ainsi d’une suite de petites négociations ; et leur succès l’occupait beaucoup plus que le sentiment de préférence marqué qu’il n’eût tenu qu’à lui de lire dans le cœur de Madame de Rênal ». Il refuse le mariage avec Elisa, ce qui provoque la joie de Madame de Rênal qui se demande : « Aurais-je de l’amour pour Julien ? » A Vergy, dans une propriété à l’écart de Verrières où les Rênal se sont installés, Madame de Rênal, Madame Derville, une amie, et Julien passent les

1896. Il passe son enfance entouré de l'amour de ses parents et de celui de sa cousine Elisa, adoptée par ses parents. Il abandonne rapidement ses études de droit pour travailler et publie son premier sonnet, Mr Prudhomme, en 1863, et en 1866, il publie son premier recueil qu'il nomme "Poèmes Saturniens". Les évènements heureux ou malheureux de sa vie l’inspirent et le tourmentent. A la mort de la cousine Elisa 1867 il écrit les poèmes de "Fêtes Galantes", recueil paru en 1869 et sombre dans l'alcool

vie de celui-ci « se composait ainsi d’une suite de petites négociations ; et leur succès l’occupait beaucoup plus que le sentiment de préférence marqué qu’il n’eût tenu qu’à lui de lire dans le cœur de Madame de Rênal ». Il refuse le mariage avec Elisa, ce qui provoque la joie de Madame de Rênal qui se demande : « Aurais-je de l’amour pour Julien ? » A Vergy, dans une propriété à l’écart de Verrières où les Rênal se sont installés, Madame de Rênal, Madame Derville, une amie, et Julien passent les