Dissertation : "Les enfants ne connaissent guère la vraie amitié, ils n’ont que des "copains", des "complices" et changent d'amis en changeant d'école ou de classe, ou même de banc". M.Pagnol.
Dissertation : "Les enfants ne connaissent guère la vraie amitié, ils n’ont que des "copains", des "complices" et changent d'amis en changeant d'école ou de classe, ou même de banc". M.Pagnol. Tout d’abord, l’amitié est définie comme étant un sentiment d’affection entre deux personnes : attachement, sympathie qu’une personne témoigne à l’autre. Les enfants ne connaissent pas la vraie amitié, mais ils connaissent que des copains et complices et changent d’amis comme ils changent de t-shirts ou de pantalons. Nous pouvons nous demander donc si les enfants peuvent connaître une vraie amitié ou doit-on plus parler de copains ou de complices et est-ce que ceux-ci changent de copains, de complices en changeant d’école ou de classe ou même de banc. Mais est-ce que le mot « amitié » peut-être utilisé pour des enfants ? Pourquoi certains enfants n’ont pas d’amis ? Il y a t-il des solutions à cela ? C’est ce que allons essayer démontrer au cours de cette dissertation. D'abord, il faut savoir que dès la crèche, nous avions des relations mais nous ne pouvions pas parler d'amitié. On les appelle des relations intéressées, par exemple : Noa s'entend bien avec Julien c'est parce qu'il a un super avion, rien de plus. Nous nous regroupions déjà par affinités de caractères ; l'enfant qui est turbulent ne se tournera jamais vers un enfant lent et sage. C'est l'âge où nous commencions à se rendre compte que nous étions différents des autres et nous apprenions à mener notre propre existence. Ensuite, lors des maternelles, les amitiés commencent à naître, nous avions besoin de personnes/copains pour affronter un manque, un territoire inconnu, une présence familière qui nous réconfortait suite au manque maternelle,... et c’est chez nos amis qui nous trouvions le réconfort. C'est aussi à cet âge que nous devenions autonome et que nous tentions de nouvelles expériences ; nous allions donc facilement vers les