Eglise Et Pouvoir Royal

juridique marquée par le pluralisme du droit : droit coutumier et droit savant (droit romain médiévale, canonique et droit médiévale). Cette tendance diversifié des sources du droit se trouve cependant atténué à compté du 16e siècle où le droit royale tend à développer une technique législative unitaire. Dans ce sens, mais avec une intention résolument rationaliste, la révolution française marque une rupture plus nette encore en imposant un nouveau système juridique fondé principalement sur le

siècle) installent les différentes transformations: -Pouvoir sous forme de compromis jusqu'à la Restauration -Apparition d'une monarchie mais qui est loin d'être constitutionnelle (régime avec fausses élections, 'turno' une fois libéraux, une fois conservateurs). La crise de l'État libéral Éléments de la sortie de l'ancien Régime : La question de la modernisation politique est importante et elle provoque des tensions. Elle représente le pouvoir du peuple (que la bourgeoisie s'est approprié face

La Coutume  An 1000  Effondrement de l’autorité royale, la coutume domine la société laïque. Chaque groupe humain va spontanément d’élaborer son droit. Toutefois, le droit canonique restera la source principale du droit et le droit coutumier s’attachera à combler les lacunes. Au regard du dernier capitulaire carolingien datant de 884, la coutume règnera sans partage jusqu’au milieu du 12e siècle. Lorsque les législations royales réapparaîtront au milieu du 12e siècle, la coutume occupera un

présente successivement les conceptions chrétiennes du gouvernement du premier Moyen-Âge — 300-750 —, les conceptions politiques de l’époque carolingienne — 750-1050 —, les idées politiques en jeu dans les rapports souvent conflictuels entre pouvoir temporel et pouvoir spirituel ainsi que la récupération de l’héritage politique de l’antiquité au cours de la période centrale du Moyen-Âge — 1050-1290 — ainsi que les conséquences pour la pensée politique de la confrontation avec les problèmes de gouvernement

groupe social dominant, et la paysannerie, qui est soumise à son pouvoir et dominée. Le régime seigneurial définit les relations qui existent entre seigneurs et paysans, des relations verticales de soumission. Il s’agit de relations de sujétion, de dépendance qui soumettent le faible au puissant. Cette dépendance provient d’abord du fait que le seigneur est maître de la terre (seigneurie foncière) et d’autre part qu’il exerce un pouvoir de commandement, de ban, sur les humbles. Il existe trois types

de la législation royale. En France, jusqu'au milieu du XIIème siècle, le roi tient avant tout une place d'honneur. Il se considère comme le suzerain le plus puissant. Les suzerains étaient, en ce temps, les ducs, les comtes, et autres grands seigneurs. Les « juristes » vont définir le principe de souveraineté du roi de France, car la souveraineté donne à son possesseur une domination sur tout le territoire. Les rois de France vont ainsi se voir attribuer (1) le pouvoir de législateur et

prouver que les légendes nous ont laissées l’idéologie du chevalier parfait puisque au contraire, ceux-ci ne sont que des narcissiques. Dans un premier tant, nous explorerons le vrai visage des chevaliers et de la chevalerie d’hier, suivit par le pouvoir que ceux-ci avaient sur l’Église qui était omnipotente et corrompue pour finalement terminer sur l’image laissée des chevaliers par la littérature et le cinéma hollywoodien. L a venue de la chevalerie s’est créée grâce au système féodal que l’on

par les Ottoniens, nous nous appuierons sur les trois points essentiels de la politique ottonienne. Nous traiterons donc dans un premier temps de l'organisation du pouvoir et de la place du roi, dans un second, de la place prédominante accordée à l'Église, et enfin, de la volonté de réhabilitation d'un empire. I- Organisation du pouvoir : le roi, un être supérieur. a- Symboles du couronnement et annonce de la politique d'Otton Ier L'intronisation d'Otton Ier, réalisée en 936, comporte de nombreux

1607 La monarchie moderne a des règles de fonctionnement, qui trouvent leur origine dans la volonté du souverain. Selon le juriste du XVIIèmesiècle Loyseau, l’action du monarque recouvre le pouvoir législatif, le pouvoir judiciaire, le pouvoir financier et enfin le pouvoir militaire. Ces différents pouvoirs traduisent la souveraineté monarchique et absolue du Roi de France. Guy Coquille, juriste du XVIIèmesiècle, qui acquiert ses grades de licencié ès lois, qu’a embrasser la profession d’avocat

puisque le pouvoir royal à cette époque est très faible bien que le roi est considéré comme le « grand fieffeux du royame » car théoriquement il est supérieur aux seigneurs. Néanmoins il ne possède pas une armée suffisante pour surveiller tout le territoire & par conséquent il va déléguer aux seigneurs la défense du pays, c'est aussi ce qui permet aux seigneurs d'accroitre leurs pouvoirs & leurs influences sur la population. Par la suite, à partir du XI ème et XIIème siècle, l'autorité royale va tenter