Eginhard

hagiographies sont une vie de Saint : A l’époque carolingienne et mérovingienne les hagiographies sont des sources historiques. Sulpice Sévère – Vie de saint Martin – IVe s. Liber pontificalis (liste des papes) Gesta episcorum (liste des évêques) Eginhard – Vie de Charlemagne – vers 830 Lettres de Loup de Ferrières à Charles le Chauve – vers 850 On parle parmi les sources narratives, les lettres correspondantes. Les lettres relèvent des archives personnelles, on garde seulement les lettres de

versions et onze manuscritsle manuscrit d’Oxford, Bodleian Library, Digby, 23, réputé le plus ancien, date de la fin du XIIe siècle (un siècle après la création de l’histoire et quatre siècles après les événements dont elle traite). Source historique : Eginhard dans la Vita Caroli Magni (830-836) -un combat qui eut lieu près de Roncevaux, dans les Pyrénées, en 778. Des Basques y ont attaqué l'arrière-garde de l'armée de Charlemagne qui rentrait en France. Parmi les morts, il y avait Roland, duc de la marche

de Gaule. Durant son épiscopat, il est gêné par les querelles des souverains francs, qu'il n'hésite pas à fustiger. Notamment, il tient tête au roi Chilpéric Ier, puis à la reine Frédégonde qu'il rend responsable du meurtre de l'évêque Prétextat. Eginhard : (775/840). Ecrivain du IX ème siècle connu pour avoir été le biographe de Charlemagne. Lettré de l’époque carolingienne. Il est éduqué à l’abbaye de Fulda et vient en 791/92 compléter sa formation à la cour de Charlemagne. Ami d’Alcuin, il est

de Roland. Dans les «  annales royales », on parle de l'expédition en Espagne mais on ne parle pas de la défaite cuisante. Dans la « Vita Karoli » (Eginhard – 830), on n'a pas plus de précision. De plus dans ce récit, il y a plus une valorisation de Charlemagne et donc c'est moins historique (on parle de basques et non de sarrazins). De plus, Eginhard ne focalise pas le récit sur Roland. Par ailleurs, il faut confronter ces sources carolingiennes avec les sources arabes. Les historiens arabes racontent

principe du palais en augmentant le nombre d’officiers avec l’apparition de Senechals, de Chamberans et du maréchal ; et le maire du Palais disparaît. Charlemagne fait rentrer dans son gouvernement, énormément d’ecclésiastiques. Notamment Alcuin et Eginhard. Ils possèdent le savoir, le pouvoir intellectuel. Charlemagne a confiance en eux. Il déplace la Capitale à Aix la chapelle. Charlemagne va considérablement renforcer l’administration locale, provinciale (reprend le système des méro). Mais il

Poitiers, Azincourt, Orléans, Castillon ; traités de Brétigny (1360), de Troyes (1420) . Domaine royal . Royaume de France en 987, 1180, 1223, 1270, 1314 ou 1328, 1453 - . Grégoire de Tours, 538 ? – 594 ? , Histoire des Francs [Clovis] . Eginhard , 770 ? – 840, Vie de Charlemagne . Richer, fin Xè s., Histoires, [Hugues Capet] . Raoul Glaber, fin Xè s. – v. 1050, Chroniques [900 – 1046] . Suger, v. 1081 – 1151, Histoire de Louis le Gros [Louis VII] . Joinville, 1224 – 1317, Livre des saintes

IX siècles. Sous Charlemagne (768-814), Louis le Pieux (814-840) et Charles le Chauve (843-877) principalement, des progrès sensibles sont effectués dans le monde des écoles chrétiennes, tandis que la cour attire des lettrés influents, dont Alcuin(阿尔昆), Eginhard（艾因哈德）, Dungal ou Jean Scot Érigène. La renaissance carolingienne est une période d'importants progrès intellectuels, notamment grâce à la redécouverte de la langue latine, à la sauvegarde de nombreux auteurs classiques, et à la promotion des arts

révolté contre l’émir de Cordoue... Mais l’empereur doit retourner en France pour mater une révolte des Saxons, et son arrière-garde, surprise, se fait massacrer par des Basques au passage des Pyrénées... Ces informations sont notamment rapportées par Éginhard dans sa Vie de Charlemagne. Mais sur ce canevas médiocre, La Chanson de Roland brode fort généreusement, car la lutte terrible qu’elle relate ne fut sans doute qu’une escarmouche, les Sarrasins effrayants n’étaient peut-être que des brigands de montagne

mérovingiens n’ont plus que l’apparence du pouvoir, c’est à dire le trône, la chevelure, le titre. Mais ce sont les maîtres du palais qui détiennent tous les pouvoirs, le roi n’est donc plus qu’un pantin puisque son titre n’est plus que symbolique. Eginhard utilise cela pour ridiculiser les rois mérovingiens et lui caractérisent comme des rustres, … Pourquoi donner une image aussi négative ? Les pouvoirs royaux sont affaiblis par la multiplication des privilèges c’est à dire pour avoir des alliés,

superstitions contraires aux évangiles. Paysans : même terme que paganisme. L'église va obéir à Pépin le Bref. En 750, les descendants de Clovis sont devenus « nuls et dégénérés » Et que « le titre est vide et porté par des cheveux longs » Eginhard, dira que les rois pervertis étaient des rois fainéants : ils se déplacent sur des chars à bœufs → preuve de mollesse et faiblesse. Le lutrin donne une éloge à la mollesse. Au sujet des rois à cette époque en France n'avaient aucune autorité royale