Effets Du Progres Technique Sur Environnement

ENVIRONNEMENT ET DEVELOPPEMENT DURABLE Cours Ministère de L’Enseignement Supérieur et de Recherche Scientifique et de la Technologie ENVIRONNEMENT ET DEVELOPPEMENT DURABLE H . B. BRAHIM H. B. BRAHIM 1 ENVIRONNEMENT ET DEVELOPPEMENT DURABLE Cours DESCRIPTION MODULE Nb d’heure : 21h cours / 21h TD Licence : Licence appliquée en administration des affaires Type : Appliquée Domaine de la licence : Economie et gestion Mention : Administration des affaires Parcours : Management intégré

Dissertation « Faut-il rejeter la technique ? » : cette idée présuppose que la technique est mauvaise pour l’Homme. Elle se définit par l’ensemble des moyens mis en œuvre par les hommes pour se libérer des nécessités et des contraintes naturelles. l’Homme l’a transforme avec des objets nécessitant un travail pénible. Pourtant, elle est dévalorisée par le verbe falloir qui indique le rejet du progrès technique et renvoi à une nécessité morale. L’homme s’adapte à la nature, mais techniquement ,

croissance est la résultant de l’accumulation du capital. II/ Le progrès technique, l’accumulation du capital et la croissance 1) Le rapport production et capital Hypothèse 1 : l’emploi « N » est constant. L’emploi est égale à : (la force du travail X 1) – taux de chômage. Hypothèse 2 : On se concentre sur l’accumulation du capital dans le processus de croissance. On considère qu’il n’y a pas de progrès technique donc la fonction de production « f » ne change pas au cours du temps

la multiplication de catastrophes climatiques plus ou moins destructrices (inondations, tempêtes, températures extrêmes), l’augmentation de la concentration de gaz à effet de serre dans l’atmosphère sont autant de phénomènes qui nous montrent les limites écologiques de la croissance. Les principales activités émettrices de gaz à effet de serre sont les activités de transport puis l’agriculture et le logement, viennent ensuite les activités industrielles. 2. La question de la soutenabilité de la croissance

Peut-on s’opposer au progrès technique ? Depuis plus d’un siècle, le développement des techniques est gigantesque. Celui-ci est tel que l'on parle de révolution. Certains pensent que ce progrès nous est favorable dans la vie quotidienne tandis que d’autres le considèrent comme nuisible, risquant d’entraîner de nouvelles problématiques. Car en effet, la jeune génération d’aujourd’hui doit s’adapter très rapidement, beaucoup plus vite que les générations précédentes, à tous les changements. Mais

DISSERTATION DE PHILOSOPHIE SUJET : Qu’attendons-nous de la technique ? La technique peut être introduite telle qu’une notion problématique, voire à caractère paradoxal, puisqu’elle est à la fois nécessaire et, par notre souci de modernisation, superflue. En effet, il est possible de remarquer que les Hommes créent le monde dans lequel ils vivent : cette conquête est la marque de la culture qui les affranchit de leur animalité originelle. Or,

démuni : « sans force physique », « sans idées innées », mais qu’il trouve sa place et sa force « au sein de la société ». Il n’est pas soumis, comme l’animal à un déterminisme génétique, ce qui lui permet de prendre des initiatives, d’innover. En effet, Aristote pense que l’intelligence de l’Homme lui permet d’utiliser sa main de la meilleure façon possible, et ainsi de diversifier son usage en créant des outils qui la prolongent et la spécialisent en fonction des objectifs à atteindre, et dont il

efficace de ces facteurs de production que révèle une productivité accrue -liée au progrès technique- ? Si les facteurs de production sont nécessaires à la Croissance économique, sont-ils pour autant suffisants ? Pour que l’activité économique soit effectivement stimulée et qu’un processus de croissance puisse être effectivement enclenché et/ou poursuivi, d’autres conditions ne doivent-elles pas être réunies ? Un environnement socioculturel incitatif et un cadre socio-institutionnel propice à la mobilisation

Nous vivons dans un monde où la technique est omniprésente. Depuis l’avènement de la science moderne au XVIIIe siècle, l’Homme n’a cessé de vouloir améliorer les conditions matérielles de son existence et d’aller toujours plus loin dans sa conquête de la Nature. Si bien que nous avons tendance aujourd’hui à caractériser le progrès de l’humanité, i.e. l’évolution de l’ensemble des êtres humains de l’ancien vers le nouveau, par son trait le plus dominant et le plus aisément quantifiable et constatable

Keynésienne, arguant en faveur du rôle de l’Etat pour une justice sociale dans le monde. Ils empruntent ainsi le terme de justice sociale à John Rawls, pourtant philosophe libérale américain, et le situe dans le contexte de crise écologique actuelle. En effet, la justice sociale représente, à un moment donné, l'ensemble des choix qui vont régir la définition des droits et devoirs sociaux, et en résultat, les règles sociales de répartition ou de redistribution. Ainsi, vont-ils expliciter l’idée que, pour