Ecrire Pour Instruire

interprétées en Angleterre sous le règne d'Élisabeth 1ere. Le théâtre classique est marqué par sa régularité. Il y a un respect des codes et des règles. Au 17° siècle, la France est marquée par le Grand Renfermement: « soigner, nourrir, instruire et relever le niveau moral des pauvres » tel est le but affiché. Il faut mettre chaque chose à sa place (fou = asile; malade = hôpital). On les cache aux yeux de la société. Le Grand Renfermement à une influence sur le théâtre car on ne doit pas

réfléchissent à leur propre écriture (13 mars, 23 mais,...) => « commerce de bel esprit » entre elle et safille => autodérision car sa fille parle pas trop → lettre à Coulange le 22 juillet ; Sévigné revoie sa façon d'écrire, explique comment écrire + lettre canonique + peut- être un pastiche ? → tout ceci vise à déconstruit une certaine « mythologie de la spontanéité » Ferreyrolles, L'épistolaire, à la lettre, 2010, Littératures classiques 2)L'art du récit → Depretto, Informer, rapporter,

du discours narratif au discours argumentatif), avec les variations du système d'énonciation, les différents types de discours rapportés mais aussi avec les règles de la versification classique et le but de l'œuvre d'art au temps de LA FONTAINE : instruire et plaire. Passer à l'étude d'œuvres surréalistes (textes + images) devrait les amener à prendre conscience de l'historicité de ces notions mais également, après les premiers moments de surprise (et peut-être de rejet : "ça c'est de l'art ! ?",

l’idée) En effet, la fiction n’est pas seulement un moyen de raconter une histoire divertissante, elle est aussi le possible support d’idées et de critiques. Comme le disait La Fontaine, à propos de ses Fables, « En ces sortes de feintes, il faut instruire et plaire / Et conter pour conter me semble peu d’affaires ». Le genre de l’apologue est donc particulièrement propice à cet objectif de faire passer un message par le biais d’un récit plaisant.(exemples) Le fabuliste allie la fiction qui est le

BIBLE Références bibliques : 2 Tm 3.15-17 ; Ps 119.9-11, 15, 105, 140, 148 L'IMPORTANCE DE LIRE LA BIBLE Tous les chrétiens devraient lire la Bible parce qu'elle est « inspirée de Dieu, et utile pour enseigner, pour convaincre, pour corriger, pour instruire dans la justice » (2 Tm 3.16). Elle nous montre beaucoup de choses que Dieu a faites pour nous et la façon dont Il a dirigé les hommes dans le passé. Si nous souhaitons connaître les richesses et la grandeur de la provision de Dieu pour nous, nous

modèles, en fondant chaque genre littéraire sur des règles de construction claires et rigoureuses. Il revendique l’usage d’un style simple et naturel.  placer l’Homme au centre imiter les œuvres de l’Antiqui-  refuser la codification des  instruire le lecteur et le Objectifs des préoccupations morales té pour en retrouver la richesse genres en mêlant le sublime spectateur, tout en le et philosophiques. distrayant.  défendre la langue française et le grotesque. encourager les sciences

faire rire les honnêtes gens ». Il rencontre cette année-là Madeleine Béjart dont il tombe amoureux. La troupe connait des débuts difficiles. Elle parcourt la province de 1646 à 1658. Durant cette période, il apprend le métier d’acteur et commence à écrire ses premières comédies (L’Étourdi et Le Dépit Amoureux).En 1658, il joue le Docteur Amoureux devant le roi Louis XIV et gagne sa protection. Le roi installe la troupe au Théâtre du Petit-Bourbon. Comédien, chef de troupe et auteur, il écrit des rôles

s’illustrer part à un des romans de Jules Verne, Michel Strogoff, où le lecteur va se retrouver plongé au cœur de la Russie du XIXe siècle, entrainé dans les aventures sibériennes que va vivre ce courrier du Tzar. Tout comme l’auteur peut, pour finir, écrire une fiction plus orientée vers une représentation sociale telle que La condition humaine dans laquelle Malraux y relate le parcours d'un groupe de révolutionnaires communistes au XXe siecle. Ainsi, au travers d’une fiction, le lecteur va

pratique dans le salon de Mme de Rambouillet ses dons de badinage et de galanterie, puis Antoine Gombaud, chevalier de Méré, le père Bouhours, l’abbé Cotin ou encore Madeleine de Scudéry ont transcrit dans des ouvrages-manuels ce souci de plaire, instruire et divertir tout à la fois en rejetant « tout ce qui tient de l’étude car cela est presque toujours mal reçu » (Anthologie, L’art de la conversation, éd. de Jacqueline Hellegouarc’h, Paris, Dunod, coll. « Classiques Garnier », 1997, p. 65). Toutes

et celle qui reviendra toujours. Il nous est impossible de tomber d’accord sur cette question, mais alors que faire ? Est-ce une bonne idée d’emmener les enfants, les adultes de demain dans un institut dirigé par les plus grands ? Vont-ils leur instruire la vérité ou ce qui les arrange ? C’est encore un autre débat. Deuxième argumentation : problématique libre. « Il aimait la mort, elle aimait la vie, il vivait pour elle, et elle est morte pour lui. » C’est William Shakespeare lui-même qui grâce