Économie romaine

des Alpes. Le territoire italien correspond approximativement à la région géographique homonyme. L’apport de l’Italie à la civilisation occidentale est immense : elle est notamment le berceau de la civilisation étrusque, de la Grande-Grèce, de l'Empire Romain, du Saint-Siège, des Républiques maritimes, de l'Humanisme et de la Renaissance. Existant en tant qu’Etat unitaire depuis le Risorgimento (Renaissance ou Résurrection) menée par le Royaume de Sardaigne en 1861, l'Italie est une République depuis l'abolition

hiérarchie entre les terres. Or dès 1789 avec l’abolition des privilèges est proclamé cette liberté des terres. Il n’y a plus désormais de terres nobles et de terres ignobles (non nobles) et ce qui triomphe est le type de propriété présent dans le droit romain avec usus, fructus et abusus. Pour les juristes c’est la fin de la théorie dite du double domaine: jusque là, l’exploitant de la terre était censé avoir le domaine utile et le seigneur, le domaine supérieur éminent. Cette liberté des terres va se

des règles du droit privé entre pays de droit civil et pays de Common law (p. 0) I. Une comparaison du droit civil et de la common law A. Les ressemblances du droit substantif 1. Les fondements doctrinaux La Common law a des fondements romains et germaniques. Les droits continentaux permettent au XIXème d’adapter le contrat aux besoins immédiats de l’évolution commerciale. La Common Law a été marquée par Pothier (cité dans Hadley v. Baxendale), Jhering, Savigny. Les USA n’ont pas été en

de droit français, allemand, anglo-saxon. Cela donne naissance au droit comparé (on compare le droit dans les =/ pays). Ces règles peuvent concerner un système juridique , on distinguera alors les droit anglo-saxon (État unis + Angleterre) au droit romain (droit écrit et droit des pays latins: Italie Espagne) . Ces règles peuvent aussi concerner une matière (droit civil+ commercial + du travail). Le droit n'a pas le même contenu dans les =/ civilisations , organisation social . En effet parce que le

que le rapport obligatoire sera considéré beaucoup plus comme un rapport entre deux personnes, un lien personnel que comme un rapport entre de patrimoines. C’est le point de vue des partisans de la théorie subjective qui sous l’influence du droit romain, a profondément marqué le code civil français. - soit sur la créance elle-même, considérée comme un élément actif dans le patrimoine du créancier et passif dans celui du débiteur. C’est ce qu’enseignent les partisans de la théorie objective pour

destinée à forcer le débiteur à respecter ses engagements est nécessaire afin d’assurer la protection de sécurité contractuelle. En effet, sans pouvoir de contrainte, il ne peut y avoir de rapport de droit efficace entre créancier et débiteur. En droit romain, la contrainte pouvait s’exercer sur la personne même du débiteur récalcitrant. Cette contrainte pouvait réduire le débiteur à l’état d’esclavage puisqu’il devait rembourser sa dette au moyen de travail. Au moyen âge, la même chose était au même

traduire par « faire marcher droit, aller dans une certaine direction, suivant une ligne déterminée ». Retenons cette idée d’une ligne déterminée qu’il faut suivre et surtout ne pas franchir. Nous trouvons immédiatement un exemple dans l’histoire romaine mythologique, à propos du rituel qui a entouré la création de l’Urbs. Romulus, désigné par le sort pour être Roi, trace à la charrue le sillon qui marque l’enceinte de la Cité future que son jumeau jaloux Rémus s’empresse de franchir par provocation

DROIT CIVIL : DROIT DES OBLIGATIONS | L’obligation évoque l’idée dune contrainte, quelque chose imposée ou qui s’impose, par quoi on est lié (sens général). Du point de vue du juriste, l’obligation est plus étroite : un lien de droit. Les romains appelaient ce lien de droit «  vim culum juris » ( = le lien de droit) Ce sens est encore trop général pour nous, il faut mettre de coté certaines exceptions et plus de précisions. Exceptions : Il existe par exception de véritables obligations

exerce sur lui une profonde influence car le droit est lui-même un phénomène social et culturel. Chapitre 2) - Le Droit comme phénomène social et culturel -Intéractions entre Droit et moeurs, Droit et religion, Droit et politique et Droit et économie§1. Droit et moeursLes moeurs désignent l'ensemble des caractères sociaux dictés par la culture, les traditions... Le droit peut contribuer à les faire évoluer. Le droit peut avoir une influence sur les moeurs mais son évolution est aussi influencée

Antiochus est seul en attendant son confident Arsace. - Il se parle à lui-même au sein d'un monologue en alexandrins avec alternance de rimes féminines et masculines qui sont suffisantes pour la plupart. Rimes suivies ou rimes plates. 3- Lecture 4- Economie du texte 2 grands mouvements + une introduction et une conclusion Intro : V.19 à 26 Corps du monologue 1er mouvement : V.27 à 34 2ème mouvement : V.34 à 48 Conclusion : V.49 et 50 5- Le projet de lecture Le monologue délibératif d’Antiochus