Economie Monetaire Et Bancaire

institution financière qui dépend du Code monétaire et financier. Une banque a pour fonction de proposer des services financiers. Un financement est une opération permettant à un agent économique (Etat, entreprises, particuliers,…) de se procurer les ressources (à court, moyen ou long terme) nécessaires au financement de sa trésorerie ou de ses besoins d’investissement. Un financement peut être obtenu principalement par le biais des crédits bancaires ou par le recours à l’émission de titres pour

Chapitre 3 : La création monétaire Pour ce moment, on est d’accord sur le fait qu’au Maroc comme ailleurs, on définie trois types de monnaie : - Monnaie divisionnaire : la monnaie divisionnaire, on la frappe سك النقود - Billets de banque : la monnaie papier ou les billets de banque on les impriment - Monnaie scripturale : la monnaie scripturale on la crée Puisque le titre de ce chapitre c’est la création monétaire, donc il porte sur la monnaie scripturale. Il ne s’agit pas d’une

jeu d'écriture entre deux comptes bancaires. Elle est aujourd'hui dominante dans les transactions qu'elle représente à 90%. Les principaux instruments de circulations de monnaies scripturales sont la carte bancaire, les chèques, virements bancaire, prélèvements. - La Masse Monétaire correspond à la quantité de monnaie en circulation dans une économie à un moment donné. 2) Une banque crée de la monnaie quand : - elle donne un crédit bancaire à un agent économique - elle donne

Economie monétaire et financière I- S3 –TD n°5: Multiplicateur et diviseur de créditExercice 1  : Dans une économie fictive, les agents économiques non financiers (AENF) disposent de 300 unités monétaires en billets (B) et de 1500 en dépôts à vue (D) auprès des établissements de crédits (EC). La Banque centrale (BC) a fixé le taux r des réserves obligatoires à r=1/15.1) A partir de la formule générale du multiplicateur, calculez sa valeur. 2) Interprétez la valeur

Introduction I. Généralités sur la politique monétaire : 1. Définition de la politique monétaire 2. Théorie de la politique monétaire 3. Objectifs de la politique monétaire 4. Instruments de la politique monétaire II. La politique monétaire marocaine : 1. Le passage de la répression à la libéralisation  La période de répression  La période de la libéralisation 2. La conduite de la politique monétaire  Les prévisions de la liquidité  Les interventions de BANK AL-MAGHRIB.

processus d’ouverture financière internationale qui a d’abord touché les pays développés avant d’atteindre les économies dites émergentes. Considérant les gains d’efficience liés à cette intégration financière, le Fonds Monétaire International fait désormais de la convertibilité du compte de capital un objectif central de son action. Or, la multiplication des crises monétaire et bancaire depuis la fin des années quatrevingt tend à remettre en cause le bien-fondé de cet objectif ultime de la mondialisation

processus d’ouverture financière internationale qui a d’abord touché les pays développés avant d’atteindre les économies dites émergentes. Considérant les gains d’efficience liés à cette intégration financière, le Fonds Monétaire International fait désormais de la convertibilité du compte de capital un objectif central de son action. Or, la multiplication des crises monétaire et bancaire depuis la fin des années quatrevingt tend à remettre en cause le bien-fondé de cet objectif ultime de la mondialisation

S’ils ne désirent pas investir toutes leurs ressources, ils en placeront une partie, ce qui favorise la dynamique bancaire, les banques ont besoin de dépôt pour prêter. Cette capacité diminue vu le contexte économique. Financement externe : permet un financement indirect (institutions financières banques) Le financement indirect peut être monétaire (à court terme) ou non monétaire (à long terme)avec intermédiation, car il y a négociation contrairement aux marchés financiers. La finance : est

pop du secteur agri vers le secteur industrielle >> augmentation de la productivité (aéronautique). Dès les début 70, on commence à voir les effets de l’ouverture de l’économie. Un déséquilibre se produit en 71 au niveau monétaire par une fragilisation du niveau monétaire qui se traduit par une inconvertibilité du dollar en or, et sa dévaluation. En 73 on abandonne le système de taux de change fixe pour passer au change flottant. Dans années 60-70, la fragilisation impose les hausses récurrents

ÉCONOMIE MONDIALE - 2013 : une croissance mondiale apathique Article écrit par Axel MARMOTTANT Prise de vue En 2013, l’activité mondiale subit encore les conséquences de la crise financière. Bridée par le désendettement en cours, elle semble condamnée à avancer à un rythme lent. Embarrassés par la crise de la dette souveraine, notamment aux États-Unis et dans la zone euro, les gouvernements ont réduit leurs dépenses, et le secteur privé a dans l’ensemble diminué ses investissements pour restaurer