Ecjs Grève

transport aérien ont fait grève au début du mois de février cette année (2012) afin de montrer leur désapprobation face à un projet de loi votée le 24 janvier par les députés. Le texte voulait notamment imposer aux grévistes des préavis individuels 48h avant le début d’un conflit. Le gouvernement y voit « un progrès pour le droit des passagers » grâce à des prévisions de trafic plus précises des compagnies. Les syndicats quant à eux, dénoncent un discrédit du droit de grève dans le secteur privé ;

principalement son statut social et une gestion sociale coûteuse : les cotisations patronales sont chères et plus élevées que celles du régime général et confère à l’entreprise un inconvénient de taille par rapport à ses concurrents. Les grèves et préavis de grève des salariés ternissent l’image de la société et détériore ses revenus. En conclusion, la SNCF présente de nombreux atouts internes, une grande maîtrise technologique, des ressources marketing certes mises en place récemment mais qui semblent d’ores

Bois de Dieu" raconte la grève des employés africains de la ligne de train Dakar –Niger pour obtenir les mêmes droits que les français de la compagnie. Les employés réussissent à coordonner la grève sur 2 pays : le Sénégal et le Soudan (future fédération du Mali donc bien different du Soudan actuel).   Le livre se résume en deux phrases mais cela ne rend pas justice à sa densité, à tous les sentiments qui nous saisissent, aux lieux que l’on voit comme si on y était. La grève est le sujet principal

formuler des propositions. En 1954 est publié un texte qui définit la fonction du syndicat, celui-ci prend alors sans ambiguïté la fonction d’une courroie de transmission de l’idéologie du partie, obligeant au respect des valeurs du travail. Le droit de grève est quant à lui supprimé dans la révision de la constitution de 1982. En 2006, Hu Jingtao faisait pression sur l’ACFTU pour inciter les ouvriers à créer des syndicats dans les entreprises étrangères, un objectif de 60% en 2006 de présence de syndicats

Depuis XIX ème siècle, le monde ouvrier et ses syndicats agissent pour faire aboutir leurs revendications. Des conflits en découlent. Au XIX ème siècle et au XX ème siècle, les ouvriers ont vu leur situation s’améliorer grace aux nombreuses grèves et manifestation, ainsi qu’une création de syndicat qu’ils ont utilisé pour défendre leurs droits (retraites, durée de travail, conditions de travail et salaires minimums). Comme celle de 1906 à Fressenneville, où les ouvriers réclament une amélioration

» aux « élites technocratiques ». On est passé du conflit économique au conflit d’autorité, du conflit contre l’exploitation au conflit contre la domination ( Dahrendorf ). Les nouveaux mouvements sociaux utilisent d’autres modes d’action. A la grève et l’occupation de l’usine se sont substitués les manifestations, les pétitions, les concerts, les actions médiatiques, le « lobbying », les poursuites judiciaires, les actions de « commandos »... Conclusion : [pic] Une partie de la classe ouvrière

* Pourquoi les partisans du GDG manifestent-ils ? En quoi cette manifestation exprime t-elle la légitimité du pouvoir du GDG après les grèves de mai 1968 ? Ils manifestent pour soutenir le gouv (CDG) avec toutes ces grèves. Crise de mai 1968 (grève étudiant et ouvrier). CDG a été élu par les français * Dans quelles circonstances CDG démissionne t-il en 1969 ? Il a posé un référendum (régionalisation) et donné moins de pouvoir au sénat. Référendum comme plébicite. Le NON la emporter et il

la lutte que la situation de la classe opprimée s’améliore. Action collective : une action commune d’un groupe d’individus, visant à atteindre des objectifs partagées par les membres de ce groupe. Formes traditionnelle de l’action collective: grève, pétition, manif, conflit du travail. Formes modernes : meeting, boycott, marche, concert de soutien etc Une action collective implique une mobilisation collective : lorsque plusieurs personnes mettent en œuvre des ressources au service d’un objectif

Histoire des arts : « La semaien des 40 heures » de Peiros et « Contre les 40 heures » de Léon Blot 1-Présentation des œuvres « La semaine des 40 heures » est une affiche politique commanditée par la Confédération Générale du Travail (CGT) réalisée par Peiros en mai 1936. Elle concerne la semaine des 40 heures en montrant qu’elle est favorable à cette réforme. « « Contre les 40 heures » est une affiche réalisée pour Ordre et bon sens par Léon Blot en mai 1936. Elle concerne également la semaine

du 22 mars 1841 interdit le travail des enfants de moins de 8 ans mais elle ne fut pas véritablement appliquée. Puis, la révolution de 1848 apporte quelques réformes (ex : limitation de la journée de travail d’un adulte à 10 heures par jour, la grève n’est plus un délit, création de l’inspection du travail). La loi du 21 mars 1884 dite Waldeck-Rousseau proclame la liberté syndicale. D’autres textes également fomentent l’émergence d’une législation sociale protectrice des salariés (repos hebdomadaire