Echec Joint Venture

niveau local 5) La distribution sélective 6) La communication corporate chez LVMH 7) Une stratégie d’écrémage qui tend vers une démocratisation ? PARTIE 3 : LA STRATÉGIE INTERNATIONALE DE DEUX MARQUES 1) Un succès, Dior 2) Un échec, Sephora CONCLUSION INTRODUCTION Dans une société où il existe de réelles disparités de richesse, le secteur du luxe semble toujours plus susciter d’engouement, du fait qu’il véhicule une valeur aspirationnelle de ses produits. On assiste

| |Pas de politique de communication/information sur l'innovation | | | | |Les seuls échecs, sont commerciaux | | | | |

Présentation du secteur 3 2.1. Composition du marché 3 3.1. Le marché actuel en France 3 2. LE MARCHÉ DES SOFTS-DRINKS 3 2.1. The Coca Cola Company 4 2.2 Le marché des Thés RTD (Ready to drink) 4 3. ANALYSE CIBLÉE DE LA CONCURRENCE 5 3.1 Un échec attendu 5 3.2. Les concurrents directs 5 4. NOTRE DIFFÉRENCE 6 5. ÉTUDES DE MARCHÉ QUANTITATIVES PRÉLIMINAIRES 7 6. RÉVISION BIBLIOGRAPHIQUE 8 7. ANNEXES 9 1. LE MARCHÉ DES BOISSONS RAFRAÎCHISSANTES

le géant de la distribution va commencer son internationalisation, tout d'abord avec le Mexique : ici Wal- Mart choisit de s'associer avec un local en fondant une joint-venture à 50 % avec Cifra, distributeur mexicain. Ensuite, c'est au tour du Brésil en 1992 où Wal-Mart crée de nouveau une joint-venture mais cette fois-ci à auteur de 60% afin de pouvoir contrôler l'enseigne locale. Le marché Argentin bénéficiera de filiales de Wal-Mart quelques mois plus tard. Dès

affaires.
 A
 cela
 s’ajoutent
 les
 multiples
 paramètres
environnementaux
que
l’on
découvre
au
fur
et
à
mesure.
 


Les
 entreprises
 occidentales
 expérimentent
 l’omniprésence
 de
 l’Etat
 et
 apprennent
 non
 sans
difficulté
à
cogérer
des
joint-ventures
avec
ses
représentants.
Opacité
de
l’information,
 conflits
 de
 vision
 sur
 la
 place
 du
 management
 et
 des
 ressources
 humaines,
 primauté
 du
 court
 terme
 sur
 les
 démarches
 de
 projet…
 Dans
 les
 secteurs
 récemment
 libéralisés

« Inconvénients » : Seulement les gros 2. Les formes de l'internationalisation 2.1. La création d'une « joint-venture » Definition : Co-entreprise détenue à part généralement égale Pourquoi ? ● Améliorer les performances (partages de ressources) ● S'installer sur un marché Alliance stratégique 2. Les formes de l'internationalisation 2.1. La création d'une « joint-venture » QUI ? ● ● ● Des sociétés internationales concurrentes ● Partager des ressources ● GM-Toyata

ont ralenti le développement de la chaîne et l’ouverture de son premier magasin. Sans compter les complications politiques et économiques qui n’ont pas joué en faveur de son implantation. McDonald’s a donc eu recours à la mise en place d’une joint venture pour surmonter une partie de ces problèmes. Ce choix a été fait pour permettre une meilleure compréhension des problématiques soviétiques et donc une meilleure adaptation à ce marché. Mais comment le groupe s’y est-il pris pour gérer ce projet

la hiérarchie. Dans ses travaux, Williamson insiste également sur l’importance des formes hybrides d’organisation de l’entreprise, empruntant aux mécanismes du marché et à ceux de la hiérarchie : alliances, réseaux d’entreprises, franchises, joints ventures, etc. Ces nouvelles formes d’organisation, qui sont en quelque sorte des associations d’entreprises, ont contribué à remplacer au cœur des raisonnements la théorie des coûts de transaction. Celle-ci interroge la relation d’emploi dans l’entreprise

interne et externe (= perception des salariés) II. LES COMPOSANTES DE LA CULTURE D’ENTREPRISE : * Les myths: ( Steven jobs, Jack Welch) * Les héros : sauveur de l’entreprise * Les tabous : lancement d’une opéa sur une autre société, échec du lancement d’un produit (la poire dans la pub de Renault) * Les symboles : manière de s’habiller par exemple avec Jobs : pull noir, et BNP paribas : costume * Les rites : habitudes présentes dans la société comme la pause-café à x heur

ci-dessus, l'internationalisation ne se limite plus à l'exportation, mais est devenue une activité bien plus diversifiée, qui englobe le commerce, la collaboration transfrontalière, la constitution d'alliances ou de filiales, les succursales et les joint ventures à l'étranger. Donc le développement international d’une entreprise peut se réaliser par l’exportation, l’investissement direct, ou des systèmes contractuels. Avant de s’implanter directement et créer une filiale à l’étranger, l’entreprise commence