Désirer Est Ce Aimer

LE DESIR Distinguer le désir des Pulsions : force à la limite du psychique et de l’organique qui pousse le sujet à accomplir une action visant à réduire une tension Besoins : correspond à une exigence fondamentale de la nature humaine Le désir apparaît comme contingent par rapport au besoin, il n’est pas nécessaire. Le désir est précisé sur un objet. « J’ai faim » = besoin « je désir manger une pomme » = la pomme est l’objet. Le désir est lié à la subjectivité et à l’histoire. Le besoin

c’est un jeux pour les durs. Pas pour les faibles. Tu aura compris que gagner était de ne pas aimer. Tu aura compris que j’ai gagner. Tu aura peut être aussi compris, que les règles a ce jeu, y en a pas. Tu peux toucher, regarder, désiré, mais jamais avec le cœur. Tu te dira que ce jeux est impossible, incensée, irréel et qu’il est impossible de gagner. Pourtant, j’ai gagner. J’ai gagner parce que aimer avec le cœur, j’en suis incapable, depuis que l’on me l’a brisé. Je gagne. Et si tu as perdu

amours … qui n’en sont pas : 1) Le désir charnel L’amour = un phénomène avant tout physique. Conception des valets (I1 : « in choler, we’ll draw ») et de la Nourrice mais aussi des plus nobles : Mercutio (métaphore de la nèfle et de la poire), Roméo et même Juliette, qui attend son dépucelage avec impatience. Un discours accessible au public populaire mais qui touche aussi les gentlemen des loges venus d’encanailler. Un amour qui répond à la logique du désir et qui s’explique en particulier par

pour avoir commis cinq meurtres. Une fois de plus, le lecteur comprend Martin, sa détermination pour sauver Brice qu’il croit innocent. Il aimerait lui ressembler, être capable d’un tel combat pour sauver un frère ou un ami. Le lecteur comprend le désir de Martin car, même à un moindre degré, tout le monde a déjà protégé un frère ou ami d’une punition certaine. Finalement, dans un roman, l’amour sert à créer des liens entre le lecteur et les personnages, il comprend leur comportement, leurs décisions

voulant pas le reconnaître leur dépendance à l’autre, se défendent en ayant toujours plus d’amour propre pour se détacher de l’autre et devenir eux-mêmes absolu. Mais cela est vain. Il semblerait qu’en s’aimant trop soi-même on ne finisse par ne plus aimer autrui quel qu’il soit. Par exemple dans Les métamorphoses d’Ovide, Narcisse mourut faute de se nourrir car trop occupé à contempler son reflet dans l’eau. Freud dans Pour introduire le narcissisme (1914) explique cet excessif amour de soi par l’intériorisation

fascinent, charment et envoûtent le poète. Le mystère au vers 7 qui souligne l’ambiguïté de la séduction. Le charme qui rime avec larmes : beauté par la tristesse. Aux vers 4 et 5, anaphore du verbe aimer. C’est un amour sans contraintes et sans limites. « à loisir » « et mourir » L’infinitif du verbe « aimer » : programme de vie qui exclue toutes autres activités que l’amour. Dernier mot du distique : volupté : plaisir affectif et sensuel. Strophe 2 : tte entière vouée aux sens. Sens olfactifs agréables

coutumes, ils renient les termes comme «  Vomir, Charogne… » Et utilisent des formules plus recherchés comme pour  les dents « L’ameublement de la bouche », pour le pied « Les chers souffrants » Les précieux ont un besoin d'élévation morale et un désir de grandeur. 2) A l’acte 1, scène 2, Lignière définit Roxane comme une précieuse. Le reste de la pièce justifie-t-il ce jugement ? Le reste de la pièce justifie ce jugement car Roxane aime les belles choses, elle aime parler d’amour, elle

donner une vision consciencieuse de l'être en question ? La première réponse et la plus évidente serait de répondre non, puisque les motivations de cette amitié sont personnels ; l'avantage procuré par autrui ne nous fait pas aimer la personne en tant que tel mais nous fait aimer les services que celle-ci peut nous rendre ; nous aimons la possibilité de tirer avantage d'autrui. Cet arrivisme qu'on retrouve chez les personnes d'ambition ne révèle qu'un désintérêt total pour l'ami puisque cette forme

représente un très vaste sujet, qui se divise en de nombreux synonymes, tels qu’ « affection », « désir », « attachement », mais aucun d’entre eux n'atteint la profondeur du mot «amour», pourtant abstrait. La question « qu’aimer? » soulève également énormément de questions parmi lesquelles : qu’est-ce qu’aimer? Quoi aimer? Que faut-il aimer? Que doit-on aimer? Qu’est-il permis d’aimer? Pourquoi aimer? Ou encore : A-t-on le choix d’aimer?Cette question est très importante à définir puisque l’amour

Dissertation finale (700 mots) Tel que dans le livre Le Banquet, nous pouvons constater que le verbe «aimer», désignant ce qu’est l’amour peut être différent pour chacun des philosophes, donc pour chaque personne. Les points de vue changent et sont diversifiés, mais toutes ces théories peuvent nous mener à éclaircir la question suivante : L’amour est-il un moyen pour s’améliorer ? Pour clarifier cette question, le terme « amour » et « s’améliorer » seront défini afin de nous éclaircir sur le