Poèsie
Regarde la haut, regarde ces étoiles, regarde celles qui meurt, celles qui naissent. Regarde dehors, regarde le bourgeois, regarde le clochard. Regarde le soleil le jour, puis regarde la lune, la nuit.
Tu comprendra que toi et moi, on est différents, on est contraire, même opposés. Tu m’aime, je te déteste. Tu me chéri, je te renie. Je te méprise, je te manque. Tu m’emprisonne, tu m’affectionne. Tu as voulu jouer a un jeu sans en connaitre les règles. Je t’ai avertie, je t’aie interdis. Mais maintenant tu as perdu. Je m’en vais. Pour de bon, un simple aller, sans jamais aucun retour.
Alors tu te souviendra que toi et moi, c’était pas de l’amour, tu comprendra que moi sans toi, ne voulais rien dire mais Tu comprendra que ce jeu, auquel toi et moi avons jouer, a été interdis il y a bien longtemps, pour cause de sentiments, c’est un jeux pour les durs. Pas pour les faibles. Tu aura compris que gagner était de ne pas aimer. Tu aura compris que j’ai gagner. Tu aura peut être aussi compris, que les règles a ce jeu, y en a pas. Tu peux toucher, regarder, désiré, mais jamais avec le cœur. Tu te dira que ce jeux est impossible, incensée, irréel et qu’il est impossible de gagner. Pourtant, j’ai gagner. J’ai gagner parce que aimer avec le cœur, j’en suis incapable, depuis que l’on me l’a brisé. Je gagne. Et si tu as perdu, c’est que désormais tu gagnera. Tout le temps, a chaque fois, avec chaque personnes. Ses personnes tu les appelleras victimes, et tu leurs dira qu’elle auront été victime de l’amour sans retour. Tu leurs expliqura a ton tours, qu’il ne faut pas qu’elles s’inquiètes, et que désormais, elle gagnerons