Désirer Ce Que L On Ne Connaît Pas

projet de lecture en 3 parties : Tout d'abord, Apollinaire a pour objectif d'exprimer son amour à Lou, ensuite il exprime l'intensité de son désir envers Lou et enfin la souffrance de se retrouver loin de Lou. I- Il exprime son amour passionnel et fusionnel « Mon Lou » pronom possessif - surnom affectif – affection possessivité « reparler » préfixe – il la connait, il l'a déjà rencontrer « l'Amour » majuscule – quelque chose de capital, d'important « soleil » Lou est comparé au soleil, elle lui

ainsi le bonheur qu'on peut en retirer aussi. Donc, un plaisir peut ne pas apporter de bonheur ET causer des douleurs. Le plaisir n'est donc pas le bien. 1er désir naturel et nécessaire (dormir, manger, se réchauffer)2ème désir naturel et non-nécessaire (avoir des belles couvertures, manger dans un restaurant) RISQUE DE SOUFFRANCE3ème désir non-naturel et non-nécessaire (imposés par la société, être milliardaire et célèbre) SOUFFRANCE QUASI-ASSURÉE, CAR NON NATUREL. Platon : Pour décrire le rôle

pas, ou pas longtemps, si on en avait la possibilité. Comme ne pas aller à l’école, passer ses journées à ne rien faire, tuer ceux qui nous énervent, s’emparer de toutes les choses qui nous plaisent …  Or, qu’est-ce que cela signifie sinon qu’on ne désire peut-être pas tant que cela disposer de la possibilité de faire ces choses ? Mais, si on n’a finalement pas besoin ou pas envie d’avoir toutes ces possibilités dont on dit manquer, on n’est finalement pas tant privé de liberté qu’on le dit.  Pire

Méthode de Tocqueville : * méthode normative, pas objective * C’est un enquêteur, il récolte des infos aux USA, FR, UK…: il travail sur les archives et s ‘appuie sur des faits réels * Il possède un avantage : c’est un aristocrate-> il connaît de l’intérieur les mœurs et la tradition de l’Ancien régime et en même temps il est démocrate dc il perçoit les nouveautés de la culture américaine qu’il compare avec la culture française * 3 aspects de sa méthode : -L’idéal type : (souvent

Le reflet brisé est l’image que l’homme se fait de lui-même. Il n’arrive pas à la cheville de son Dieu, qui est intouchable, immortel, surpuissant. Brisé aussi comme tous les espoirs qu’il met en une chose, une personne, une croyance qu’il ne connaît pas mais qu’il se représente comme il le peut, comme il le veut. Brisées souvent les illusions qu’on s’en fait. Acte de l’homme qui tient rancœur à ce Dieu qui ne réalise pas ses prières et ne le fait pas vivre dans le monde dont il rêve. Dieu

(déplacements continus) de Nora, l'aisance avec laquelle on passe de la stupeur indécise de Louis à la déception sans colère de Murphy. Entrer dans la tête de ces personnages semble une évidence tant ils sont compréhensibles, humains... Car si tous semblent désirer sans fin (Nora pour la plupart, dont on ne cesse de chercher à comprendre d'où vient son pouvoir d'attraction), aucun ne semble capable de prendre une décision. Aucun n'a la volonté ou le courage de mettre fin à sa souffrance, et même pire, chacun

faire parti de ce monde en temps que "grande personne" : pour que cela puisse se réaliser, il faut que l'enfant devienne propre. La troisième pèriode est la pèriode Oedipienne, allant de 3 a 5ans et demi/ 6 ans. Durant cette pèriode l'enfant va désirer le parent du sexe opposé, et va souhaiter l'éloignement du parent du même sexe, malgré l'amour qu'il éprouve pour ce dernier. Il va ainsi faire la différenciation entre les sexes. L'angoisse de castration est caractéristique de ce stade. C'est également

suivant : pour pouvoir désirer plus les choses bonnes, il faut « se délivrer l’esprit [...] de toutes sortes de désirs moins utiles », il entend par là qu’il faut sélectionner nos désirs. Cela sous-entend que nous devrions être maîtres de nos désirs ; or, la plupart du temps, ils s’imposent à nous. Mais l’auteur écrit « autant qu’il se peut », il nuance ses propos, il nous invite à désirer moins les choses peu utiles. Il rejoint la doctrine stoïcienne qui cherche à ne plus désirer ce qui est vain et

pas. Habillé dans une tenue modeste avec « son chapeau à haute forme assez défraîchi », Duroy « gardait une certaine élégance », car il était « bien fait » et c'était là son avantage ! Ainsi il aspire à un avenir meilleur auprès des femmes et connaît le « désir d'une rencontre amoureuse ». On découvre aussi un personnage arrogant et amoral « heurtant les épaules, poussant les gens pour ne point se déranger de sa route », « ayant l'air de toujours défier quelqu'un ». Le narrateur à travers des comparaisons

expériences malheureuses ; comme lui, il a écrit une “Théorie de la volonté” ; comme lui (134), il voulut «débuter par un chef-d’œuvre, ou (se) tordre le cou», ainsi qu’il l’écrivit à sa sœur, Laure, en novembre 1819. “La peau de chagrin” réalisa ce désir précoce en 1831, après un long apprentissage sous divers pseudonymes. Du fait de la place que tient dans le roman, l’action des forces irrationnelles («diaboliques») sur l’être humain (la réaction de Raphaël devant le «fait impossible»), de l’intrusion