Désir Mimétique

murir d’un coup. Il reste. Il sait ce qui l’attend. Un nouveau collège, de nouvelles rencontres, de nouvelles peurs, de nouveaux dégoûts. Au moment où le récit de ses aventures rejoint le présent, le personnage, qui se présente comme un anti héro, ne désir pas continuer à raconter sa vie. On comprend qu’il se trouve surement dans une sorte d’hôpital psychiatrique. On comprend qu’il est perdu, encore, mais qu’il commence à accepter l’amour, la tendresse, le manque. Il commence à accepter les douleurs

et secrètes et tendent à mettre une certaine distance entre elles et les autres, tout en étant au demeurant sociables. A moins qu'il ne s'agisse, pour qu'elles se dérident, de montrer patte blanche. En fait, elles sont doubles, partagées entre leur désir de plaire, d'être admirées ou respectées, et leur besoin de se replier sur elles-mêmes loin du bruit, afin de réfléchir posément ou pour faire le point. Réfléchies et inquiètes, elles ont conscience que la vie n'est ni un jeu ni un plaisir. C'est sans

intervention inconsciente qui perturbe une intention consciente, pas de hasard dans la vie psychique => les rêves : voie royale accès inconscient, censure moins vigilente dans l’état de veille, contenu chaotique, absurde mais sens, expression du désir, défiguration, masqué, déguisé, 2 niveaux dans le rêve = contenu manifeste et contenu latent (inconnu, pulsions brutes, idées oniriques, violentes, transformation d’idées oniriques par la censure = travail onirique) => névrose : atteint partiel de

Charles Origine germanique (Karl) : Fort et viril, CHARLES est un être sociable, aimant, communicatif. Très sensible à l'harmonie et épris de justice, il est prêt à fournir beaucoup d'efforts pour conserver la paix. Calme, posé, il dégage un sentiment de puissance et de sérénité. Volontaire, travailleur, il se bat pour atteindre les buts qu'il s’est fixé. Doué d'un grand sang-froid, imperturbable, il exprime peu ses sentiments. Même s'il est sérieux, il sait apprécier les plaisirs de la vie et

s’interroge pas est une bête, car le souci constitutif de toute vie humaine est celui de son sens »2. Si l'interrogation est ancienne (bien que formulée pour la première fois en ces termes par Friedrich Nietzsche, à la fin du XIXe siècle3,4,Notes 1), le désir de « donner un sens à sa vie », à défaut de le chercher, en est une déclinaison plus récente5. Différentes approches La question du sens de la vie se présente comme de facto polysémique : Téléologique : Où va-t-elle ? Sémiologique

par le regard mais aussi par la parole : verbes de parole « demandait » ; « répondit ». Une rencontre placée sous le signe de la passion On peut dire que cet amour est sensuel, comme le montre l’hyperbole « coup mortel » et l’emploi du mot « désir ». Manon semble jeter un sort au chevalier. Les mots « charmant » et « charme » sont utilisés trois fois dans cette scène. On passe d’un champ lexical de la timidité à un vocabulaire de la passion : « sagesse » ; « retenue » ; « excessivement timide

lui-même et non en vue d’autre chose ». Au contraire l’argent est toujours désiré (sauf dans quelques rares cas) en vue d’autre chose. Nous voulons l’argent pour des biens d’ordre matériels, même si ceux-ci sont pour la plupart artificiels et superflus. En réalité tous ces biens valent principalement parce qu’ils flattent notre amour-propre. Un « bien » illimité et abstrait (l’argent) ne peut qu’alimenter et relancer le désir de l'homme, par lui-même illimité et insatiable. La richesse est ainsi la

gérer ses affects auprès d’enfants carencés d’où la nécessité de distanciation. Dans l’un des extraits elle reprend clairement les explications de Michel Lemay «  s’attacher à une personne signifie pouvoir perdre, c’est recevoir un amour profondément désiré mais aussi risquer de se retrouver dans la solitude si l’objet investit se dérobe » (...)  « l’enfant qui commence à aimer amorce un mécanisme de rejet dont il va être victime, tout en fournissant à son entourage par ses attitudes inacceptables des

Peut-on être heureux sans le savoir ? La quête du bonheur est inévitable, chacun recherche à se construire une vie heureuse. Mais quel est l’ingrédient du bonheur ? A chercher sans cesse le bonheur et à en faire le but de notre existence, il est possible que nous ne le trouvions jamais, du moins pas consciemment. Il est ainsi intéressant de se demander si le bonheur est accessible : comment sait-on que l’on est heureux ? Et qu’est-ce que le bonheur ? Peut-on être heureux dans la misère ?

est la cause de son inconstance, car si elle savait qu’Arlequin se désintéressait d’elle, sont but serait de le séduire à nouveau (p.185, l.14-16). Silvia a su s’habituer à la vie hypocrite de la cour et perd peu à peu son ingénuité au profit du désir d’être admirée. C’est également grâce à ce dernier élément que le plan de Flaminia fonctionne. Mais ceci est contradictoire avec le fait qu’elle ne soit pas une femme sûre d’elle, ce qui apport un effet comique dans la pièce. Mise en scène : Les