Déclin Du Surréalisme

américaine: le taux de croissance y a avoisiné 10 % par an au cours de la seconde guerre mondiale. un des effets des deux guerres est d'avoir donné aux Etats-Unis, tout au long du Court Vingtième siècle, une prépondérance mondiale qui n'a commencé à décliner qu'à la fin du siècle. Sur la montée de la barbarie après 1914, il n'y a aucun doute. La torture avait été supprimée, à l'aube du XXème siècle, à travers l'Europe occidentale. Les guerres ont mobilisé les sentiments nationaux des masses. Le XXème

peintres académistes qui fermaient à ses amis les portes de l'exposition officielle, l'auteur de Thérèse Raquin et des Rougon-Macquart est sans doute le plus lucide des critiques de son temps, celui qui prophétisait la gloire de Manet et l'irrémédiable déclin des toiles dites "cuisinées selon les recettes de l'École". Après avoir quitté, le 31 janvier 1866, la librairie Hachette, il ronge son frein et se contente de vivre de sa plume, sinon comme romancier, du moins comme journaliste. Devenu chroniqueur

Contexte historique : L'idée de « décadence » apparaît dès le Second Empire, où l'on parle de « déclin ». L'humiliation de la défaite de 1871 et la Commune sont présentées, par de nombreux écrivains et artistes comme la fin d'un monde. Ecrivains représentatifs : Mirbeau, Le Jardin des supplices ; Huysmans, A rebours ; Barbey d’Aurevilly, Les Diaboliques ; Corbière, Amours Jaunes XXème siècle -Le surréalisme : (1916-1940) Mouvement de contestation contre la société de l’époque (la société bourgeoise

sentir encore jusqu'à aujourd'hui. 2) Droit des femmes Au début des années soixante, la femme doit selon la norme, rester vierge jusqu'au mariage, ou avoir des relations sexuelles qu'avec son futur mari. Le mouvement de 1968 va encore se décliner au masculin. Mais le bouleversement culturel qu’il sous-entend va offrir aux femmes un vent de liberté dans une société où leurs droits n’ont progressés qu’à pas très mesurés. Les années 1968 vont non seulement libérer la parole des femmes « les

En 1943 il rédige la préface de l'édition bilingue du Cahier d'un retour au pays natal, publiée dans la revue Fontaine (n° 35) dirigée par Max-Pol Fouchet et en 1944 celle du recueil Les Armes miraculeuses, qui marque le ralliement de Césaire au surréalisme. Surnommé « le nègre fondamental », il influencera des auteurs tels que Frantz Fanon, Édouard Glissant (qui ont été élèves de Césaire au lycée Schoelcher), le guadeloupéen Daniel Maximin et bien d'autres. Sa pensée et sa poésie ont également nettement

glorieuse Révolution de 1688 peut en constituer le premier jalon[1], mais pour l’historiographie française, la période charnière qui correspond à la fin du règne de Louis XIV (1643-1715) est comme sa gestation[2]. La Révolution française en marque le déclin. Certains historiens, en fonction de leur objet d'étude, privilégient une chronologie plus ou moins large (1670 - 1820)[3]. Pour les arts plastiques, il couvre la transition entre les périodes classique, rococo et néoclassique, et pour la musique

dont le beau-père était officier. La poésie du XXe siècle [modifier] La poésie française du XXe siècle est à la fois héritière et novatrice dans ses thèmes comme dans sa forme avec une nette prédilection pour le vers libre, mais elle semble en déclin ou du moins déplacée dans le domaine plus incertain de la chanson. ------------------------------------------------- Les héritiers [modifier] Emile Verhaeren Le début du siècle montre une grande diversité avec les héritages du siècle précédent

fascistes et communistes et par une décolonisation difficile. La littérature du XXe siècle a été profondément marquée par ces crises historiques, politiques, morales et artistiques. Les courants littéraires qui auront caractérisé ce siècle sont le surréalisme, qui est surtout un renouveau de la poésie (André Breton, Robert Desnos...), mais aussi l'existentialisme (Albert Camus, Jean-Paul Sartre), qui représente également une nouvelle philosophie. La source première des artistes est en rapport avec les

prometteuse gestation. Pierre Lepape explique ce foisonnement contemporain par l'absence de grandes écoles littéraires. Autrefois en effet, les schémas directeurs donnaient une certaine unité de genre aux textes. Le dernier mouvement connu fut le surréalisme de Breton, qui engendra les oeuvres que l'on connaît (Nadja et consorts). Mais aujourd'hui les balises semblent avoir disparu et ce au niveau international. Les succès sont parfois immédiats et se voient décuplés grâce à la mondialisation : l'exemple

les considère désuets, antihygiéniques, si ce n’est malsain. Qualifiés de sordides, abandonnés, ils s’endorment doucement dans l’oubli, sauf en temps de pluie. » [48] Walter Benjamin, qui voit dans la splendeur et misère des passages la courbe du déclin capitaliste, note qu’avec Thérèse Raquin, Zola, lui aussi, « prend congé »[49] des passages. Le Passage du Pont-Neuf ne se présente donc pas comme un véritable lieu urbain. Au cœur de la ville, il en est pourtant complètement à l’écart. Alors