Déclin Du Parlementarisme

n’avait pas été finalement d’abriter ses concepts derrière ce terme de « République » dans laquelle chacun met désormais ce qu’il veut. Pour certains il s’agit tout simplement du libéralisme politique, le respect de la séparation des pouvoirs, le parlementarisme et les libertés publiques et individuelles. Pour d’autres il s’agit de la haine de toute forme d’appartenance à un collectif, d’identité, de communauté ou même de croyances. Pour d’autres enfin, il s’agit d’une soif inextinguible d’ordre policier

BOUTHOUL, mais aussi Raymond ARON. Tous les théologiens affirmaient que la guerre était le mal suprême, mais toutes ces études de « polémologie » permettent de savoir que 10 ans après la fin de la 1 ère guerre mondiale, hormis les quelques pays dont le déclin démographique était ancien (France), l’Europe avait retrouvé son potentiel démographique d’avant 1914 (8 millions de morts comblés en 10 ans). En même temps, du point de vue économique et industriel, l’Europe avait dépassé sa capacité de production

restaurer l’autorité de l’Etat. Faire en sorte que l’autorité échappe aux partis politiques. Gvt qui doit échapper aux jeux politiciens du plmt. Idée de DG qui est de reverser les choses : que le cœur de la République soit le gvt et non le plmt. Se décline en plusieurs points : A – La Fonction présidentielle DG distingue 2 situations : a) Les circonstances exceptionnelles DG considère qu’en cas de guerre, le psdt doit avoir la possibilité d’avoir des pouvoirs exceptionnels càd des pouvoirs

par la tradition monarchiste, Charles de Gaulle, militaire soumis au devoir de réserve, révèle dans sa correspondance privée son peu de considération pour le parlementarisme et lui préfère un régime fort, tout en se tenant publiquement à l'écart de l'antirépublicanisme d'une partie de l'armée[26]. Cette méfiance à l'égard du parlementarisme explique que Charles de Gaulle se soit senti avant la guerre proche de l'Action française, avant que la position de Maurras relative aux accords de Munich ne

pra�que du plébiscite. Le bonapar�sme, tel qu'il a été pra�qué en par�culier par Napoléon III, reconnaît le suffrage universel même s'il se méfie des par�s poli�ques et du parlementarisme. Daniel Halévy (1872-1962). Il raconte l'échec des grands notables, héritiers des familles dirigeantes de l'ancienne France, qui, rappelés aux affaires après la chute de Napoléon III, démontrent

mais qu’il a tout de même évolué. B. Manin : dégage 3 métamorphoses. a)le temps des notables Relation directe entre les électeurs et les représentants car c’est souvent un notable local. Choix du notable car position supérieure. Age d’or du parlementarisme car c’est à ce moment que la liberté est à son paroxysme : opinion publique pas encore forte. b) démocratie de partis Suffrage masculin puis universel (fin XIX et début XX). Duverger fait une distinction : Partis de masse qui tendent à défendre

de justifier la politique russe au terme d’une politique marxiste. Recherche soviétique peu performante mais les diplomates russes témoignent de l’excellence de la formation assurant ainsi une apparence de supériorité ou d’égalité avec les USA.Mais déclin car prise de conscience trop tardive. C/Quelques courants européens. Se définissent pour la plupart par rapport aux USA et généralement prennent le contre-pied des courants européens surtout dans l’Europe du nord dont le principal

de l’ordre d’Ancien Régime, remis en cause par la Révolution Française. Mais en 1815, l’ordre est rétabli par le Congrès de Vienne, malgré le cas de la Grande Bretagne et l’émergence de la bourgeoisie ; et depuis 20 ans, des études relativisent le déclin de l’aristocratie (BEDARIDA François pour la Grande Bretagne, GRELOT Claude Isabelle pour la France). La noblesse est loin d’être passive et tente d’enrayer sa perte de pouvoir économique et politique. A l’échelle européenne, la noblesse conserve

manifestation politique du souverain. 2theses sont défendues : a. La constitution est faite par le souverain (la plus rependue, constit classique) Idée de souveraineté a été inventée à la fin du M. Âge par un penseur fcais Bodin, au moment du déclin de l’empire romain germanique et de la montée en puissance des autonomies royales. Jusqu’à cette époque l’ensemble du territoire euro était sous domination du Pape et des empereurs qui étaient sous pape Mais dislocation fin du M. Âge donc revendication

Le centre gauche de Thiers en profite pour basculer dans la république (solidarité nationale oblige). Mais la majorité monarchiste de l’Assemblée a toujours le projet de rétablir la monarchie. Finalement et paradoxalement, le conflit mène au parlementarisme (notamment l’opposition entre les légitimistes et les orléanistes). Le 31 août 1871, la loi Rivet réaffirme le décret de 1871 sur le titre du Président de la République et sur l’autorité de l’Assemblée Nationale dont émane son pouvoir. Cette