Dystopie

homogène alors que dans la deuxième les Nazis discriminent et éradiquent les juifs et les prisonniers de guerre. Ils souhaitent que la société ressemble au mythe de la race aryenne et croient que pour cela il faut détruire le reste. 1984 est une dystopie fictive écrite par Georges Orwell. Elle met en scène Winston Smith habitant de Londres qui fait maintenant partie d’un pays fictif, l’Océania. Quant à Si c’est homme c’est une autobiographie sous forme de témoignage émouvant d’un rescapé du camp

nouveau monde, mais celui-ci n’intervient qu’en milieu d’histoire et le lecteur est outré depuis le début par cet univers. John le ‘sauvage’ ne fait que renforcer l’idée de folie de ce monde soit disant ‘utopique’, mais qui montre au lecteur une réelle dystopie. Le liseur ne peut également s’identifier dans ce personne de John car il ne lui ressemble pas, lui étant beaucoup moins évolué, tel un sauvage. Le lecteur ne peut donc pas s’identifier à ce genre de personnage car le contexte de l’oeuvre laisse

lignes qui était l’auteur de l’adaptation au cinéma du roman 1984. En 1984 (Nineteen Eighty-Four) est le plus célèbre roman de George Orwell, publié en 1949. 1984 est communément considéré comme une référence du roman d'anticipation, de la dystopie, voire de la science-fiction en général. La principale figure du roman, Big Brother, est devenue une figure métaphorique du régime policier et totalitaire, de la société de la surveillance, ainsi que de la réduction des libertés. En 2005, le magazine

ici un texte à la fois satirique et polémique. Le titre explique l'entreprise de l'auteur. L'ile des pingouins, l'ile dans un premier temps est censé être le lieu propice à l'utopie, or ici, l'auteur semble plutôt nous peindre l'inverse, une dystopie. En effets, les pingouins, ces oiseaux incapables de voler, se complaisent dans l'ignorance, à l'image des hommes qui incapables de raisonner ne se distinguent alors pas des animaux. Anatole France semble ici blasé des mentalités françaises face

autoritaire et incite le lecteur à considérer l’aisance de sa situation en tant que Français de ce XXI° siècle. Toutefois, le propre de 1984 n’est pas de viser un régime ou un dirigeant en particulier mais de simplement dénoncer par l’intermédiaire d’une dystopie les erreurs d’une société. Et ce bien que les méthodes du régime ressemblent fortement à celles du gouvernement stalinien avec la désignation d’un « Ennemi Peuple » qui nous fait penser à Goldstein contre lequel les membres du Parti se révoltent

Avoir des rêves ou des projets irréalistes. Thème 2 : Le rêve d’un monde meilleur (utopie) A quoi nous sert-il d’imaginer des mondes différents du notre ? Utopie : monde meilleur qui sert à critiquer celui que nous connaissons Dystopie : monde cauchemardesque qui sert à nous alerter sur ce qui paraît nous arriver. Exemple : 2440 de Mercier Hunger games – Suzanne Collins Divergente – Veronica Roth Game of Thrones – George Martin 1984 – George Orwell Écriture personnel :

pas être la valeur primordiale d’une société, mais plus encore, ne doit pas contraindre nos libertés, et ce, jusqu’à un certain point. Ce travail, pour clarifier ma pensée, sera divisé en 4 parties. La première contiendra l’utopie, ou plutôt, la dystopie apportée par Georges Orwell, la deuxième expliquera la position de Rousseau entre égalité et liberté, la troisième portera sur l’opinion du libéralisme, et la quatrième reflètera ma propre pensée par rapport à ce dilemme. 1984 est l’apogée, si

qu’ils ont senti ou ressenti. Cela peut-être critiqué car l’objectivité est aujourd’hui importante, mais cette sensibilité peut permettre d’éclairer certaines parts d’ombres du monde qui n’aurait pas été vues par les lecteurs.→C’est le principe des dystopies. A travers une histoire qui peut sembler éloignée du réel, l’écrivain cherche en fait à éclairer son lecteur sur des enjeux de la société dans laquelle il vit. Le passage par l’écrit permet donc de simplifier certaines choses pour pouvoir être par

nénuphar qui asphyxie son poumon. La critique sociale : du travail à la religion « Le plus clair de mon temps, je le passe à l’obscurcir.» A partir de ce moment, le roman bascule alors dans une noirceur irrévocable, un mauvais rêve presque dystopie. Et le pire advient pour Colin : l’obligation de travailler, sa hantise. Vian, intellectuel précaire d’avant l’heure, exprime ici toute l’horreur qu’il nourrit à l’égard de ces boulots ingrats en dépeignant un monde industriel et bureaucratique des

de régimes autoritaires passés, Eugène Zamiatine donne une vision quasiment correcte de ce qu’est une société totalitaire à travers le regard d’un personnage écrivant un journal qui constitue l’œuvre elle-même. En jouant sur un contraste utopie/dystopie, il réussit à mettre le lecteur dans un profond malaise quant à l’intrigue et quant à l’environnement du personnage principal, malaise vécu par le personnage lui-même. Cette fiction racontée sous la forme de journal traite des problèmes qu’engendre