Dossier Annuel En Expert Comptable E2

...... 82 I.S.I.T.T 2007/2008 Contrôle de gestion et Audit social Liste des abréviations M.S : masse salariale A.S : audit social R.E.S : Rachat de l’entreprise par ses propres salariés S.: salaire moyen annuel global S c : salaire moyen annuel d’une catégorie S a : salaire moyen annuel en fonction de l’ancienneté E : effectif global E c : effectif par catégorie professionnelle E a : effectif par niveau d’ancienneté GPEC : gestion prévisionnelles des emplois et compétence GVT : glissement, vieillissement

dans les établissements de santé. L’activité de consultations et de soins externes réalisée par les établissements sous DAF est également enregistrée (RSF-ACE). Les informations du RSS constituent un résumé normalisé et codé conforme au contenu du dossier médical du patient. Le recueil d’informations portant sur la facturation est induit par les principes du modèle de financement appliqué en MCO (financement à l’activité). Les recueils d’informations sur l’activité et sa facturation sont rendus anonymes

optimisation des processus administratifs - support opérationnel aux membres de l’entité - gestion des dossiers en responsabilité - amélioration continue des processus - gestion des ressources de l’entité Bloc n° 1 – optimisation des processus administratifs - conduire l’action administrative en appui aux membres de l’entité - conduire l’action administrative en gestionnaire de dossier - contribuer à la pérennisation des processus - rationaliser l’usage des ressources de l’entité UNITÉ

l'Institut Technique de Banque du CNAM, Délégué Général du Centre de Formation de la Profession Bancaire Monsieur Robert TELLER Maître de Conférences agrégé à l'Université de Dakar Monsieur Joseph RAYBAUD Maître-assistant à l'Université de Nice Expert-comptable Objectif de la thèse Ni la détention de liquidités importantes, ni un fonds de roulement positif, tout en grevant la rentabilité de l’entreprise, ne garantissent sa sécurité. tel-00477041, version 1 - 30 Apr 2010 La gestion optimale de

l'Institut Technique de Banque du CNAM, Délégué Général du Centre de Formation de la Profession Bancaire Monsieur Robert TELLER Maître de Conférences agrégé à l'Université de Dakar Monsieur Joseph RAYBAUD Maître-assistant à l'Université de Nice Expert-comptable Objectif de la thèse Ni la détention de liquidités importantes, ni un fonds de roulement positif, tout en grevant la rentabilité de l’entreprise, ne garantissent sa sécurité. La gestion optimale de la trésorerie montre que contrairement à

Système français et normes IFRS Jacques Richard Christine Collette 8e édition © Dunod, Paris, 2008 ISBN 978-2-10-053576-7 TABLE DES MATIÈRES Introduction à la 8e édition : les IFRS déjà obsolètes ? PREMIÈRE PARTIE XV THÉORIE COMPTABLE 1 QU’EST-CE QUE LA COMPTABILITÉ ? Une proposition de définition Comparaison de la comptabilité avec d’autres disciplines 3 3 5 9 10 14 28 30 32 32 33 36 38 40 43 Section 1 Section 2 2 COMPTABILITÉS ET GOUVERNEMENTS D’ENTREPRISE Les classes

peut pas les supprimer pour le moment. Ca rassure les gens. La question de rentabiliser les agences bancaires se pose donc : * Assurance bancaire * Téléphonie mobile Une des actions des banques est de prendre des commissions : frais de dossier par exemple. Si on interdit au banque de faire les autres activités et qu’on leur laisse que le crédit, l’intermédiation, ca ne leur rapporte pas assez. Jusqu’où on permet aux banques ces activités ? Les banques ne gagnent pas d’argent par leur métier

s’agit déjà d’un modèle mathématique appliqué à la gestion. Pour un comptable G, qui se base sur la comptabilité générale, le modèle représentant un bénéfice sera plus complexe. Il faudra soustraire de l'ensemble de l'actif, (ensemble des droits et des biens portés au bilan ou l'ensemble des actifs fictifs, nets et réels) l'ensemble du passif (capital et réserves, provision, dettes à long, moyen et court termes,…). Pour un comptable A, se basant sur la comptabilité analytique, la complexité du modèle

PLAN ANNUEL DU COURS SUR LES SYSEMES D’INFORMATION PARTIE 1 : L’INFORMATION I. Nature de l’information II. Qualité de l’information III. Les formats informatiques des informations A. La mémoire cybernétique B. Les éléments de base de la mémoire C. Les données de base D. La codification PARTIE 2 : LE SYSTEME D’INFORMATION I. Définition II. Les « systèmes » du SI A. L système automatisé (informatisé) d’information B. Les conditions de Churchman d’après un groupe d’enseignants de l’ESCP C. Analyse

notre expérience vécue 157 Conclusion générale 183 Index des ennexes 187 Bibliographie & webographie  167 Liste des abréviations OTP | organigramme technique de projet | ASC | Alliance sourcing committee | BAI | Budget annuel d'investissement | BO | Business object | CDC | Cahier des charges | CEG | Comité exécutif groupe | CMR | Comité de management de région | CPA | chef de projet achats | CPI | Contrat de projet d'investissement | DA | Demande d'achat