Dominatrice

lampe, où se rejoignent deux diagonales. On distingue, en partant de la gauche : Un taureau, , symbole de puissance et de virilité, au regard impassible. On peut penser qu'il s'agit aussi du symbole du fascisme, triomphant de la force brute et dominatrice. Mais il est aussi le symbole de la fécondité dans la mythologie, on ne peut donc rein affirmer sur son rôle dans la scène. Son regard est assez ambigu, à la fois tendre et dur. Une femme, tenant dans ses bras son enfant mort. Elle crie de douleur

l’écriture, les femmes rompent l’interdit posé sur celles-ci depuis des siècles. De plus, un des buts des féministes est d’obtenir l’égalité entre les sexes même au niveau de la langue. Une des caractéristiques littéraires du féminisme est la langue non dominatrice réinventée. Avant cette époque, le féminin de gars était garce : fille de mauvaise vie. L’inégalité des sexes était même présente dans le vocabulaire, donc les féministes tentent de changer cette dominance masculine: «Après avoir reconquis une langue

portent des vêtements raffinés et sont lourdement armés. A droite, on distingue un monde sauvage et peuplé d’indigènes nus. Le contraste entre les deux parties de l’image illustre la différence des civilisations. 2. Les Espagnols ont une attitude dominatrice et conquérante. Encadré par deux soldats, Colomb est représenté comme un roi. Par contre, les indigènes sont pacifiques et inoffensifs : ils offrent des cadeaux et ne possèdent pas d’armes. D’autres ont peur et fuient à l’arrivée des Espagnols.

rétention d’information, sollicitations du manager incohérentes ou contradictoires. – les conflits liés aux personnalités des individus qui génèrent des conflits de territoire ou de prérogatives ; Exemples : conflits de valeurs, de personnalités dominatrices voulant avoir un ascendant sur les autres, individus ayant un esprit de compétition très développé. – les conflits d’intérêts. Exemple : des individus qui s’opposent à un autre pour conserver ou obtenir des avantages. Les conflits liés à la

+ Texte des lumières: exaltation de la nature humaine et rôle prédominant de la raison;, Tout lui est soumis et même l'instinct le plus puissant doit plier devant la force de cette raison dominatrice. On reconnait là les positions humanistes classiques et la conception de "l'âme forteresse" que rien ne peut atteindre.

bien arrêtée de se battre, de ne pas trembler. Mais il se sentait si profondément ému qu'il se demanda : "Peut-on avoir peur malgré soi ?" Et ce doute l'envahit, cette inquiétude, cette épouvante ! Si une force plus puissante que sa volonté, dominatrice, irrésistible, le domptait, qu'arriverait-il ? Oui, que pouvait-il arriver ? Certes il irait sur le terrain puisqu'il voulait y aller. Mais s'il tremblait ? Mais s'il perdait connaissance ? Et il songea à sa situation, à sa réputation, à son avenir

inhumaine, cynique … elle impose sa façon de voir les choses (vers 38). Elle utilise des impératifs. Elle a le cœur dur et insensible aux autres comme le montre l’allusion aux pauvres. C’est elle qui est la plus forte. Elle s’impose et se montre dominatrice, voire menaçante avec l’allusion à la cape de renard. C’est une comédienne accompli. Sa visite au renard est une véritable mise en scène. (Son costume, son sourire « charmant », sa façon de ménager ses effets en laissant parler). Anouilh insiste

ils se rencontrent à l'aube sur la plage, et ce sous un vent et une pluie glaciale. Cela accentue leur logique farfelue.Et enfin, les personnages centraux de l'épopée, Shratzia et Toitshéva sont la caricature des mères juives ultra-possessives et dominatrices : elles dirigent tout le monde, maris et enfants -notamment Shratzia- et se moquent des convenances sociales afin d'être des personnages "vrais" qui ne se cachent pas derrière quelques apparats. Les comiques de situation qu'elles engendrent -comme

séductrice qui opère avec « un si beau chant » (X, v.227) et « ouvre ses portes scintillantes » (X, v.230) aux hommes « imprudents » (X, v.231), que ses boissons magiques faisant naitre l'amour changent en pourceaux. C'est donc une figure féminine dominatrice et avilissante qui va se transformer en femme amoureuse et bienveillante. -Calypso tombe sous le charme d'Ulysse au point de le garder chez elle pendant 7 longues années et ne le laisse partir que sur ordre de Zeus. Calypso représente une femme

côté de ce « pacte » avec comme avantage à la fin « elle » «  je deviendrai une récompense » l(21).Elle a un caractère autoritaire très orgueilleux « mon Chevalier eût autant d’indulgence que moi » l(3) « au lieu d’être une consolation » l(20) , dominatrice et veut se venger des hommes «  Quelle est donc en effet l'insolente sécurité de cet homme (Gercourt), qui ose dormir tranquille, tandis qu'une femme, qui a à se plaindre lui, ne s'est pas encore vengée ? » l (50-52) et ne veut pas discuter avec