Dom Juan Intrigue

néammoins considérer quelques exceptions telles que le suicide de Phèdre. La règle de bienséance ne s'applique pas seulement aux combats physiques mais aussi à touts actes allant à l'encontre e de la morale. Pourtant la folie de Dom Juan ou encore celle D'oreste rest, , b : !ent connues du public. Le poète Nicolas Bolklk ileau resume cette règle de bienséance en ces vers : " Ce qu'on

femmes, jouée dans sa nouvelle salle du Palais-Royal en 1662. Victime de son succès, Molière est calomnié par des envieux et surtout par le parti dévot, qui l’accuse d’athéisme, le qualifie de démon et fait interdire deux pièces : Le Tartuffe et Dom Juan. Quand L’Avare est créé, le 9 septembre 1668, la « querelle du Tartuffe » n’est pas encore achevée. L’attaque de Molière contre les faux dévots a une portée politique. En effet, longtemps au XVIIème siècle des catholiques conservateurs favorables

confidents, deux domestiques, servante et valet, présentent la situation de leurs maîtres. Plus vraisemblable, cette exposition permet de nouer une intrigue entre les personnages secondaires, en contrepoint de l'action principale. Sganarelle : Eh! mon pauvre Gusman, mon ami, tu ne sais pas encore, crois-moi, quel homme est Don Juan. (Molière, Dom Juan, Acte I, scène 1,1665)   Loin de s'en tenir à un rôle fonctionnel, l'importance de Sganarelle s'affirmera cependant de plus en plus tout au long de

interdit, la pièce connaîtra un succès immense, certainement le plus grand de Molière. Dom Juan est une des autres grandes pièces de Molière. Toutefois, la pièce ne fut jouée de son vivant en 1665 que peu de fois. Un succès notable dès le début mais une fois arrivé à la relâche pour les fêtes de Pâques, la pièce ne fut jamais rejouée après. Molière dut la sacrifier pour permettre le retour de Tartuffe. Dom Juan est la troisième pièce à scandale de Molière qui put porter alors malgré tout le titre

considérée, par sa dénonciation des privilèges archaïques de la noblesse, comme l’un des signes avant-coureurs de la Révolution française. Au XVIIIe siècle, la Comédie est devenue ’’sérieuse’’. Aussi Beaumarchais renoue avec les traditions théâtrales : intrigue connue, déguisements, jeux de mots, effets scéniques… Mais il fait également du nouveau : il mêle les registres comiques et dramatiques en conférant à sa pièce une dimension morale et politique : l’exigence du Bonheur face à la tyrannie (Le Barbier

aussi celle de Mme Pernelle. Il se voit demander en mariage Marianne, la fille d’Orgon et en même temps, essaye séduire Elmire, la femme d’Orgon. Orgon veut que sa fille se marie avec Tartuffe. Ils ne voient pas que Tartuffe se moque d’eux. Dom Juan : Dom Juan est une pièce qui a été écrite par Molière en 1665 et interdite par le roi Louis XIV encore sous la pression des dévots après 15 représentations, un an après que Tartuffe a été interdit. Cette pièce dénonce la prétention des bourgeois enrichis

se disputant, ou débattant...) ou INDIRECTEMENT (ce sont des personnages, qui en discutant, présentent l'intrigue ni vu ni connu. Cf. Dom Juan, avec Sganarelle, faisant le beau devant son collègue valet, et explicitant comment se conduit son maître avec les femmes et la religion). * planter le décor. * exposer les principaux thèmes de la pièce (encore Dom Juan : l'amour libertin, les rapports maître/ valet (et au-delà Homme/ Dieu), etc. Ce sont les effets de ce qu'on appelle en jargon littéraire

théatrale. Influencé par la pensée libertine, Moliere accomplit avec la religion une rupture irreversible qui provoqueras de violentes attaques de la part des bien pensant au cours des polémiques déclenchés par l’école des femmes, Tartuffe et Don Juan. Jeune, il est déjà attiré par le théatre. Il fréquente les salles parisienne de l’Hotel de bourgogne où il se familliarilise avec le repertoire français. Il s’interesse aux spectacles des batteleurs qui prolonges la tradition médiévale de la farce

la lecture du texte devient compréhensible et n'a donc pas besoin d'être joué. De plus, à travers le dialogue des personnages on a une intrigue qui se construit ainsi que le portrait physique et moral des personnages ; leur caractère, leurs attitudes... On peut donc comprendre la pièce si l'intrigue et les dialogues sont clairs. Par exemple, dans Dom Juan de Molière, on comprend l'histoire à travers les nombreuses tirades des personnages qui nous expliquent la situation et donc nous permet

La joie nuptiale est partie avec l'insistance de Figaro, et le fait que Suzanne n'aime pas cette chambre. 3)La fonction symbolique, une scène menacée. -Premièrement , c'est un espace entre 2 lieux. -On note la présence du comte qui est un Dom Juan, (l28), (l31-32), le verbe « courtiser » (l36), et ses vues (l38). Il y a une litote (l39-40) montrant qu'il veut assouvir son désir. -Suzanne est une femme du peuple, elle doit être mariée, et cette scène est un espace de conquête, il y a du danger