Dom Juan Hypocrisie

les masques    L'étymologie de ce terme (il vient du latin libertinus qui signifie affranchi) est de nature à éclairer le sens qu'il convient de lui donner dans Les liaisons dangereuses. "Grand seigneur méchant homme" aux dires du valet de Don Juan, son activité n'a en effet de sens que dans une société fortement sanglée dans des codes moraux : ceux de la représentation et de la bonne compagnie; ceux de la réputation et de l'honneur. Le vrai triomphe du libertin est de s'assurer l'estime de cette

mise en scène, sa particularité est d’être incomplet à la lecture mais complet à sa mise en scène (qui peu se jouer de plusieurs façons selon les metteurs en scène). Succès du théâtre classique aujourd’hui Les fourberies de Scapin (Molière), Dom Juan (Molière), Yerma ( Féderico Garcìa Lorca) Le tragique et le comique, Tragédie et Comédie (genre et registre) Définir les registres : comique/tragique/dramatique/lyrique Le registre comique désigne ce qui provoque le rire, ce qui caractérise

thèmes abordés dans la pièce, l'hypocrisie en est le plus important. On peut classer Le Tartuffe dans la lignée des autres pièces de Molière, L'Avare, Les Précieuses ridicules, Le Bourgeois gentilhomme, Le Misanthrope ou l'Atrabilaire amoureux et Dom Juan ou le Festin de pierre, destinées à dépeindre et ridiculiser un vice (comédie de caractère). Lorsqu'il publia la version en cinq actes de sa pièce, Molière écrivit une préface destinée à masquer ses intentions initiales (voir plus bas) en prétendant

Etre violent n’a jamais permis à la personne de goûter le plaisir de se faire obéir loin de l’obligation et de la contrainte. Trouver une extrême douceur tout en employant la douceur afin d’arriver à ses fins, n’est-ce pas un sentiment formidable ? Dom Juan le traduit magnifiquement dans sa fameuse tirade : « On goûte une douceur extrême à réduire, par cent hommages, le cœur d’une beauté, à voir de jour en jour les progrès qu’on y fait, […] et la mener doucement où nous avons envie de la faire venir

haïr le genre humain tout en aimant. Autre paradoxe : Alceste, misanthrope, est toujours accompagné et jamais ne quitte seul la scène. Alceste s’inscrit dans la lignée du personnage du jaloux, jaloux comique comme Sganarelle, et jaloux tragique comme Dom Gracie de Navarre. La situation comique est complexe du fait que les personnages sont égaux et libres. Célimène assume son indépendance par sa coquetterie. Elle est d’autant plus hors d’atteinte qu’elle est innocente, et consciente du double jeu qu’elle

explication linéaire réalisée dans le cadre de l’enseignement à distanceEXPLICATION LINEAIRE REALISEE DANS LE CADRE DE L’ENSEIGNEMENT A DISTANCE Document réalisé par Mme Anne-Noellia Carrols, professeure agrégée, pour une classe de Première du lycée Cocteau à Miramas. Séquence 3 : le roman. Etude du Rouge et le Noir de Stendhal. Explication linéaire n°1- Partie 1, chapitre 15, « Le chant du coq », p. 105-106. Julien avait raison de s'applaudir de son courage, jamais il ne s'était imposé une

que ce qui ne choquera pas le public. On écarte la violence physique mais aussi l'intimité physique. Les scènes violentes doivent ainsi être racontées par un personnage. Quelques exceptions sont restées célèbres comme les morts de Phèdre et de Don Juan dans les pièces éponymes de Racine et de Molière ainsi que la folie du personnage d'Oreste dans Andromaque. Tragédie[modifier] La tragédie n'existe pas pendant le Moyen Âge français. Elle renaît au cours du xvie siècle suite à la relecture des

.humilité de l’homme face à la femme . 2-.Vocabulaire religieux .Mme de Tourvel .détourné de sa fonction car utilisé pour « draguer » 3-.Vocabulaire militaire .Détournement en galanterie, Valmont= Tartuffe, Dom Juan .Conquête de femme difficile= interet Conclusion, Incipit : nouveaux perso+idee sur l’intrigue, Chaque epistolier envoie à son destinatire l’image qu’il veut de lui  on ne peut pas se fier aux lettres, bal masqué Intro :

évocation est tout à la fois de ramener le « fin » amant à la réalité de ces obstacles sociaux l’engageant à réfréner son impatience et de lui permettre de se convaincre de la fidélité de sa dame («... en qui personne ne peut relever la moindre hypocrisie ») dont il peut ici affirmer, sans risque, être le seul élu de son cœur (« ... nous en avons la pièce et le couteau. »). L’évocation du secret qui les unit pardelà la distance rapproche le « fin » amant de sa dame et le console des tourments qu’il

que Molière n’a pas su créer un personnage psychologiquement cohérent ? Disons tout d’abord qu’on ne saurait demander à un auteur comique de ne nous montrer que des personnages parfaitement cohérents et que, sans parler du cas très particulier de Dom Juan, Molière le comportement des personnages de Molière échappe souvent à la logique et même à la vraisemblance. Mais ce n’est pas le lieu de disserter sur le personnage de théâtre en général et le personnage comique en particulier. Pour nous en tenir