Dix de cœur

pas grossir ». II- Synthèse. Eric-Emmanuelle Schmitt, nous amorce l’histoire, par la lettre d’un petit garçon de 10 ans, adressé a Dieu, qui, dans cette lettre, ce décrit comme un garçon a première vue, turbulent, «  Je m’appelle oscar, j’ai dix ans, j’ai foutu le feu au chat, au chien, à la maison…. ». Mais il s’agit en fait d’un enfant malade, qui se confie à dieu. Plus tard dans la lettre, nous découvrons qu’il est hospitalisé et nous faisons la connaissance de « Mamie Rose », c’est cette

Molière, Dom Juan Acte I, scène 2 SGANARELLE: Eh mon Dieu! je sais mon Dom Juan sur le bout du doigt, et connais votre cœur pour le plus grand coureur du monde: il se plaît à se promener de liens en liens, et n'aime guère à demeurer en place. DOM JUAN: Et ne trouves-tu pas, dis-moi, que j'ai raison d'en user de la sorte? SGANARELLE: Eh! Monsieur. DOM JUAN: Quoi? Parle. SGANARELLE: Assurément que vous avez raison, si vous le voulez; on ne peut pas aller là contre. Mais si vous ne le vouliez

temps déborde, 1947 (extrait) Lectures cursives proposées • Jacques Prévert, Paroles, 1945 • Joseph Pontus, A la ligne, 2019 Extraits étudiés 1. Première partie, « La deuxième rencontre » (depuis « Il était six heures du soir… » jusqu’à « … mon coeur n’a jamais cessé d'être à toi ») 2. Première partie, « L’évasion » (depuis « Un pistolet ! » jusqu'à «… suivant sa promesse. ») 3. Deuxième partie, « Le Prince italien » (depuis «Mais entendant ouvrir la porte… » jusqu'à « … que je ne pouvais

prémédité son acte, « Le soleil en baissant, et rapprochant le moment décisif » on voit qu’il est sûr de ce qu’il va faire. Il y a une part de mystère car nous ne savons pas ce qui va faire appart que cet acte lui tient à cœur car Stendhal décrit dans quel état il est, « fit battre le cœur de Julien d’une façon singulière ». La part de mystère continue à la ligne 2 jusqu’à la ligne 4 car nous avons des informations spatio-temporelles sur le temps qu’il fait, sur le moment à laquelle se déroule l’extrait

TOINETTE, en médecin, ARGAN.! ! TOINETTE, en médecin.- Monsieur, je vous demande pardon de tout mon cœur.! ! ARGAN.- Cela est admirable !! ! TOINETTE.- Vous ne trouverez pas mauvaise, s’il vous plaît, la curiosité que j’ai eue de voir un illustre malade comme vous êtes, et votre réputation qui s’étend partout, peut excuser la liberté que j’ai prise.! ! ARGAN.- Monsieur, je suis votre serviteur.! ! TOINETTE.- Je vois, Monsieur, que vous me regardez fixement. Quel âge croyez-vous bien que j’aie

dureté, je t’ai toujours aimé, tu es mon père et tu m’as donné la vie alors pourquoi es-tu si froid avec moi ? Ai-je mérité cela, moi ta fille, ta douce. Quand je me tourne vers l’avenir, je vois que je vais tout tenter pour faire éclater ton cœur de pierre. Je m’acharnerais également Edition999.info présente ce manuscrit gratuitement à remplir des feuilles blanches qui te seront destinées. Des lettres d’amour, de désespoir, qui resteront sans espoir. J’en viendrais à couper les ponts

LES JOUEURS DE SKAT - Otto Dix Présentation L’œuvre présentée est un tableau réalisé en 1920, pendant le courant artistique nommé « Nouvelle Objectivité ». Il est créer sur une toile de 110cm x 87cm à base d'huile et de collage. L'auteur de ce tableau est Wilhelm Heinrich Otto Dix, connu sous le nom d'Otto Dix. C'est un artiste peintre né le 02 Décembre 1981. Il a réaliser plusieurs œuvres tels que « La Guerre » (1929-1932), « La rue Prague » et « Les joueurs de skat » (1920)

continuité d’un commerce dont l’illusion ne se détruit jamais (car où en entre-t-il plus que dans l’amour ?), et dont l’ardeur, enfin, fût égale dans la jouissance et dans la privation, et pût supporter également les malheurs et les plaisirs. Un cœur capable d’un tel amour, une âme si tendre et si ferme paraît avoir épuisé le pouvoir de la divinité ; il en naît une en un siècle : il semble que d’en produire deux soit au-dessus de ses forces, ou que si elle les a produites, elle serait jalouse de

hommages et les tributs où la nature nous oblige. Quoi qu'il en soit, je ne puis refuser mon cœur à tout ce que je vois d'aimable; et dès qu'un beau visage me le demande, si j'en avais dix mille, je les donnerais tous. Les inclinations naissantes, après tout, ont des charmes inexplicables, et tout le plaisir de l'amour est dans le changement. On goûte une douceur extrême à réduire, par cent hommages, le cœur d'une jeune beauté, à voir de jour en jour les petits progrès qu'on y fait, à combattre par

Le Malade imaginaire Scène X TOINETTE, en médecin, ARGAN, BÉRALDE. TOINETTE, en médecin: Monsieur, je vous demande pardon de tout mon cœur. ARGAN: Cela est admirable! TOINETTE: Vous ne trouverez pas mauvaise, s'il vous plaît, la curiosité que j'ai eue de voir un illustre malade comme vous êtes; et votre réputation, qui s'étend partout, peut excuser la liberté que j'ai prise. ARGAN: Monsieur, je suis votre serviteur. TOINETTE: Je vois, Monsieur, que vous me regardez fixement. Quel âge croyez-vous