Dix de cœur

L’adolescent souffleté », Les Matinaux, 1950. FRTEEAME1 2/8 Texte A : Arthur Rimbaud, Cahier de Douai. Le poète Rimbaud a produit toute son œuvre poétique alors qu’il n’était lui-même qu’un adolescent. Roman. I On n’est pas sérieux, quand on a dix-sept ans. — Un beau soir, foin des bocks et de la limonade 1 , Des cafés tapageurs aux lustres éclatants ! — On va sous les tilleuls verts de la promenade 2 5 Les tilleuls sentent bon dans les bons soirs de juin ! L’air est parfois si doux, qu’on ferme

l’heure du décès, prononcée par le médecin, est au environ de minuit dix. Nous avons deux témoins M. le juge. Le premier témoin est le voisin du dessous, il a entendu l’accusé hurlé, je cite : « Je vais te tuer ! », et, par la suite un corps est tombé. Le deuxième témoin, la voisine d’en face, qui a vu, a travers une rame de métro, le garçon planter le couteau dans le cœur de son père. Et tout ça entre minuit cinq et minuit dix. L’accusé ment, il se cache, le témoin avoue, lui, ose.|| Ensuite, nous

ANTHOLOGIE Nous allons étudier une anthologie poétique, composée de dix poèmes, sur la thématique de l’amour. Ce thème a en effet, et de tout temps inspiré de nombreux poètes. La poésie concerne tous les peuples et toutes les époques ; il s'agit donc d'une des plus anciennes formes littéraires. Les poètes peuvent faire passer un sentiment qu'ils ressentent au moment où ils écrivent, comme la colère, l'amour ou la tristesse...  Il cherchent à faire passer un message souvent caché. Pour moi, chacun

Arthur RIMBAUD, « Le Mal » Poésies, 1870 (Lecture analytique) Guillaume APOLLINAIRE, « La colombe poignardée et le jet d’eau », Calligrammes, 1914 Louis ARAGON « La guerre et ce qui s’ensuivit », Le Roman inachevé, 1956 Texte 2 : Robert DESNOS, « Ce cœur qui haïssait la guerre » Destinée arbitraire,1975 (Lecture analytique) Documents complémentaires : 1) Corpus I : « La poésie lyrique et amoureuse »: RONSARD, Amours de Cassandre 1552 « Comme un chevreuil »(manuel p.264) HUGO, Les Contemplations

Fiche HDA : Représenter la violence de la guerre 3ème HDA Doc. 1. La guerre, Otto Dix 19057620 Identification : De quoi parle-t-on ? Titre Der Krieg (la guerre) Auteur Otto Dix (1891-1969), peintre allemand qui a été soldat pendant la 1GM Genre: peinture Contexte historique 1929-1932 : plus de 10 ans après la guerre mais montée des nationalismes et du nazisme et oubli des souffrances engendrées par la 1GM Lieu de conservation: Gemäldegalerie Neue Meister de Dresde Taille Grand format :

de fou », il réalise des gouaches de petits formats, des dessins pris sur le vif : des centaines...Otto Dix se fait donc le témoin de ce moment indescriptible. Le produit le plus abouti de cette volonté est la série de 50 gravures sur La Guerre publiée en 1924. homme à côté de moi, puis disparaître, touché par une balle, en plein cœur. » Après la prise du pouvoir par les nazis en 1933 Otto Dix est l'un des premiers professeurs d'art à être renvoyé, persécuté en tant que « bolchévique de la culture

différentes 4. Le langage poétique -> images et musique des mots Pâle étoile du soir, Musset J’aime l’araignée et l’ortie, V. Hugo + diverses poésies jouant avec les sons -> Exprimer des émotions Il pleure dans mon cœur, P. Verlaine 5. Le printemps des poètes Atelier d’écriture poétique Conception d’un recueil poétique Les adverbes Les propositions Orthographe : les adverbes en –ment L’impératif 1. Qu’est-ce qu’un poète ? Pour vous

les autres Il m’a quitté pour une autre.... Je l'avoue. J'aime pas te voir amoureux de quelqu'un d'autre. Trouve Toi Un Mec qui veut ton Coeur et Pas ton Corps, Que te diras que t'es Mignonne Pas Que t'es Bonne , Tu Seras sa Puce et pas sa pute .. ♥ Tous le monde dit : "Un de perdu dix de retrouver" Peut être ...Mais moi j'en donnerais bien dix pour le reprendre.. Dis-lui que je ne l'aime plus.Dis-lui que je n'ai plus envie de le voir.Dis-lui que je ne veux pas lui parler.Dis lui que

brille, A la bouche un refrain nouveau. C' est peut-être la seule au monde Dont le coeur au mien répondrait; Qui, venant dans ma nuit profonde, D' un seul regard l' éclairerait !... Mais non, - ma jeunesse est finie... Adieu, doux rayon qui m' a lui, - Parfum, jeune fille, harmonie... Le bonheur passait, - il a fui ! Gérard de Nerval Odelettes, 1832 Roman On n'est pas sérieux, quand on a dix-sept ans. - Un beau soir, foin des bocks et de la limonade, Des cafés tapageurs aux lustres

de son devoir d’obtenir que l’on ne retirât pas cette main quand il la touchait. L’idée d’un devoir à accomplir, et d’un ridicule ou plutôt d’un sentiment d’infériorité à encourir si l’on n’y parvenait pas, éloigna sur-le-champ tout plaisir de son cœur. Ses regards le lendemain, quand il revit madame de Rênal, étaient singuliers ; il l’observait comme un ennemi avec lequel il va falloir se battre. Ces regards, si différents de ceux de la veille, firent perdre la tête à madame de Rênal : elle avait