Dividende

remboursées par flux financiers (dividendes) que la société achetée verse à la holding d’acquisition. Le LBO associe les cadres dirigeants avec un sponsor (investisseur et financier) et se caractérise par une structure financière qui cherche à maximiser l’effet de levier en recourrant au mélange allant : • 40 à 20% de capitaux propres • 60 à 80% d’endettement Durant des années les flux financiers opérationnels remboursent la dette bancaire par remontée de dividende à la holding. Pour qu’un

obligations médiatiques concernant l’image de l’entreprise. Les firmes cotées en bourse doivent absolument mettre en place une politique de distribution des dividendes claire. Aucune obligation de verser des dividendes, mais conseillé d’en verser tout les deux ans car c’est le meilleur moyen pour récompenser un salarié. En 2003 le taux de paye out (dividende sur bénéfice) était de 15%, en 2007 40%, en 2014 54% L’entreprise étant cotée en bourse, elle devient une marchandise, cela signifie que le marché

Gordon Shapiro : Elle s’appuie sur le principe d’actualisation des dividendes ; il considère en effet que le prix d’une action correspond à la somme des flux futurs des dividendes générés par l’entreprise, actualisés au taux de rentabilité exigé par les actionnaires. Gordon et Shapiro incluent 3 hypothèses permettant de valoriser une action et donc une société de toute catégorie : (H1) Les dividendes augmentent à un taux constant g (H2) Le taux de distribution des

Indices : * c1 : coût du financement par actions ; * c2 : coût du financement par la dette ; * c3 : coût du financement par bénéfices mis en réserve ; * r : taux sans risque, taux d’intérêt du marché ; * m1 : taux de taxation sur le dividende (dans le chef de l’actionnaire) ; * m2 : taux de taxation du bénéficiaire d’intérêts de la dette (pour les investisseurs) ; Les sources de financement habituelles * Concept d’arbitrage : (Modigliani & Miller) Dans un monde sans impôt

Le coût des différentes sources de financement) Les capitaux propres) Approche par les flux de dividendes Le coût des fonds propres représente la rémunération espérée par l'actionnaire, puisque c'est lui qui met ces fonds à la disposition de l'entreprise. Par commodité, ce coût sera exprimé en pourcentage. Cette rémunération a deux composantes : les distributions (dividendes) ; les gains en capital (plus-values). L'équation qui met en relation le cours boursier de

Applications du MEDAF Le MEDAF permet de calculer la rentabilité exigée par les actionnaires. Il donne donc le taux d’actualisation à appliquer aux capitaux propres compte tenu du risque de l ’entreprise. Exemple2 Dividende prévu : 10 EUR, Taux de croissance des dividendes : 8 %, Bêta : 1,2, Taux sans risque : 5 %, Prime de risque : 10 %. Solution: Formule de GORDON-SHAPIRO Les critiques adressées au MEDAF   Le modèle pose des hypothèses trop simples (possibilité

actionnaires (dividendes versés) * rémunération supplémentaire des salariés (à travers des mesures d’intéressement, de participation, des distributions de stock-options ou d’actions gratuites) * Epargne dans les entreprises (on parle de bénéfice non distribué) qui sert à l’autofinancement de l’investissement et, éventuellement, à l’accroissement du matelas de trésorerie. b) Répartition du Résultat net de l’exercice : * Les actionnaires (paiement du dividende) * les réserves

produits (vente, et autres revenus…) Nous pouvons améliorer la rentabilité des fonds propres en jouant sur le dénominateur c'est-à-dire en  : Améliorer la gestion de la trésorerie (placement du disponible) Redistribution moins importante de dividendes Amélioration des immobilisations financières Augmenter l’investissement, dans du matériel plus récent, dans de nouveaux locaux, prise de participation dans des filiales. Pour financer l’investissement, l’entreprise peut avoir recours à l’autofinancement

(ou le risque financier lié à l’endettement). L’environnement : variables conjoncturelles comme le niveau de taux d’intérêt, climat économique et boursier… Les actionnaires ou la stabilité des actionnaires, le pouvoir et les exigences en terme de dividendes, les arbitrages entre la prise de risque et l’indépendance financière. Enfin, la SOLVABILITE constitue une contrainte majeure de l’entreprise. Cela signifie qu’une trésorerie défaillante peut entrainer la liquidation de l’entreprise. Remarque

induits par l’industrialisation. 1.1- DÉFINITION ET CARACTERISTIQUES DE L’ACTION L’action est un titre de propriété représentatif d’une fraction du capital d’une société anonyme ou d’une société en commandite par action, ouvrant doit au vote, au dividende et, le cas échéant, à une fraction de l’actif net (en cas de liquidation). 1.1.1- droit de vote Le droit de vote s’exerce dans les assemblées des actionnaires par adoption de résolution mise aux voix. Les assemblées ordinaires, votant à majorité