Distribution De Produits Pharmaceutiques

FR FR FR COMMUNICATION DE LA COMMISSION Synthèse du rapport d'enquête sur le secteur pharmaceutique 1. ENQUETE SECTORIELLE ET CONTEXTE GENERAL Le secteur pharmaceutique est crucial pour la santé des citoyens européens, qui ont besoin d'un accès à des médicaments sûrs, innovants et abordables. Chaque Européen a dépensé en moyenne quelque 430 EUR pour des médicaments en 2007, somme qui continuera sans doute à croître en raison du vieillissement de la population européenne. Globalement, en 2007

conception de médicament ou ce qu’on appelle « Drug design » est l’ensemble des processus nécessaires à la transformation d’une molécule active en médicament, c'est-à-dire l’élaboration d’une forme pharmaceutique adaptée à l’administration du produit à la posologie prévu. Dans l’industrie pharmaceutique ces processus peuvent être grossièrement répartis en 04 étapes : 1/Etape de recherche. 2/Etape de développement (pré formulation-formulation). 3/Etape clinique.

industrie on entend la transformation de matières en produits finis ou semi-finis. L’industrie joue un important rôle dans l’économie française ; ce n’est pas pour autant que nous avons réussi à attribuer une décision claire et précise à cette notion. Ainsi les quatre points que nous allons apporter nous permettra au mieux de lui trouver une définition pas tout à fait précise mais au moins concise. * La pharmaceutique L’industrie pharmaceutique rassemble tout ce qui est recherche, conception,

GENFIT et des grands laboratoires pharmaceutiques (SANOFI AVENTIS et SERVIER) et des entreprises industrielles. * 2) Les innovations développées par GENFIT sont au sens de Schumpeter des innovations produits que ce soit les candidats médicaments ou les candidats médicaments propriétaires. Ce sont des innovations majeures car elles peuvent modifiées les habitudes des consommateurs. Elles reposent également sur la capacité technique des laboratoires pharmaceutique à développer les brevets qu’ils achètent

L’industrie pharmaceutique marocaine a connu au cours des 20 dernières années un développement sans conteste satisfaisant. Son niveau de performance et de savoir faire est reconnue aujourd’hui par l’OMS qui la classe dans la zone Europe. Avec 39 unités pharmaceutiques dont la production est conforme aux normes internationales de qualité, notamment les BPF (Bonnes Pratiques de Fabrication), l’industrie pharmaceutique marocaine contribue de manière significative aux exportations marocaines. Elle

Généralement, ceux-ci travaillent avec 2 fonctionne- ment différent : - Avec contrat de distribution, ce qui entraine une fixation d’objectifs de vente et des zones de chalandises bien définies, mais qui amène un avantage financier certains avec des tarifs préférentiels; - Avec des petites sociétés considérées comme des revendeurs, sans objectifs

‎concernées par ce problème éthique qui se trouve au sein de la question de la distribution et ‎du financement des médicaments antirétroviraux ‎. Mais comment classer ces parties ‎prenantes ? Séparons les en trois catégories : les Primary Stakeholders, les Secondary ‎Stakeholders et les Key Stakeholders ‎ ‎.‎ La première catégorie est composée des acteurs directement liés au sujet, à savoir les firmes ‎pharmaceutiques ‎ ‎. Ces dernières cherchent à rentabiliser leurs investissements, faire ‎prospérer

faible. De plus, le mépris des droits des marques commerciales favorise la contrefaçon des médicaments à grande échelle. Faiblesse des sanctions pénales L’absence ou la clémence des sanctions pénales punissant les violations de la législation pharmaceutique peuvent inciter à la contrefaçon. Corruption et conflits d’intérêts La corruption et les conflits d’intérêts peuvent nuire à l’efficacité des ARP et du personnel chargé de faire respecter la loi. Les personnes responsables de contrefaçon

CAS PHARMACEUTIQUE 1) Modèle des forces de PORTER – AVANT 2002 Intensité concurentielle : très faible, grosses firmes détiennent la majorité du marché : oligopole (Pfizer). Taux de croissance du marché : + 12,5%. Nouveaux entrants : la menace est très faible car les barrières à l’entrée sont élevées. Barrières à l’entrée, c’est-à-dire les coûts que doivent supporter les nouveaux entrants : R&D, ventes et promotion + accès aux réseaux de distribution difficile + forte capacité de réaction

...................................................................... 4 Les entreprises ............................................................................................................................ 5 Secteurs alimentation et pharmaceutique ................................................................... 5 Les enjeux .................................................................................................................................. 6 Le principe de fidélisation