Distinction Faute Civile Faute Sportive

Le Guide du dirigeant Tous les conseils pour les dirigeants d’associations sportives. Edition 2010-2011 LE MOT DU PRÉSIDENT J’ai le plaisir de vous présenter l’édition 2010-2011 du Guide du Dirigeant. Ce guide traduit au fil des années la constante nécessité de nous adapter aux évolutions de notre environnement, de nos responsabilités et des enjeux qui incombent au mouvement sportif français ; aux dirigeants associatifs en général et à notre Fédération en particulier. Comme vous le constaterez

pouvoir de police municipale peut interdire une attraction portant atteinte au respect de la dignité de la personnes humaine. Cet arrêt est intéressant car la notion de dignité de la personne humaine provient du pacte des nations unies sur les droits civils & politiques & la convention européenne interdit les traitements inhumains & dégradants. Il y a une influence des règles internationales des droits de l'homme sur la jurisprudence. Depuis le CE a considéré que la sauvegarde de la dignité de la personne

faits licites - Délits et quasi délits : faits illicites Actes juridiques/faits juridiques licites ou illicites Selon les cas, évt générateur d’obligation OU de la volonté L’évolution du droit des obligations Avant le Code civil Droit romain - l’obligation était attachée à la personne  rapport d’obligation attaché au débiteur/créancier  le lien d’obligation n’était PAS transmissible à cause de mort ( ne se transmet pas aux héritiers : s’éteint) = incessible (du vivant de

d’un de ses agents. L’arrêt BLANCO : arrêt du tribunal des conflits du 8 février 1873. Cet arrêt est à l’origine d’un accident causé par un agent de l’Etat, le tribunal des conflits a rendu un arrêt de principe autour de 2 grandes idées : Le droit civil est inapplicable à l’action des personnes publiques car son action se caractérise par des rapports de droit inégalitaire pour cause d’intérêt général qui est le but du service public. L’administration obéit pour ses raisons à des règles propres, distinctes

responsabilité civile et les quasi-contrats. Ces différentes sources d’obligations n’ont pas la même importance. Les plus importantes sont les contrats et la responsabilité civile. On envisage l’obligation en elle-même indépendamment des sources car au-delà des différences, il existe des principes généraux communs à toutes les obligations quel que soit leur source. PARTIE I : LES PRINCIPES GENERAUX DU DROIT DES OBLIGATIONS La notion d’obligation dépasse largement le cadre du droit civil. Le droit

des organismes privés gestionnaires de SPIC qui se rapportent à l’organisation du SPIC relèvent du JA en cas de litige. | F.I.F.A.S | 1974 | Conseil d’Etat | Confirmation de la condition de PPP, à propos d’une décision prise par une fédération sportive. | Peschaud c/ Groupement de football professionnel | 1980 | | | Mme Pascau c/ Fédération française d’aérobic et de stretching | 1988 | Conseil d’Etat | Une fédération qui n’est pas habilitée par le ministère mais seulement agréée ne dispose

Chapitre 1 : La responsabilité civile et le dommage I. La responsabilité civile A. La distinction entre responsabilité civile et responsabilité pénale Le terme « responsabilité » a plusieurs sens : un sens général, moral, et un sens juridique précis et multiple. En droit, on distingue la responsabilité civile, qui peut être contractuelle ou délictuelle, et la responsabilité pénale. La responsabilité pénale est engagée dans le cas d’un trouble causé à l’ordre social, c’est-à-dire lorsqu’une infraction

d’être juridiquement reconnus et protégés. Ce groupement peut alors avoir un budget propre (une indépendance), des biens propres, un personnel propre, et a la possibilité d’ester/d’agir en justice. b. Les différentes personnes morales. 1. Distinction entre personnes morales de droit privé / personnes morales de droit public. Ces différentes personnes présentent des caractéristiques différentes : • Les personnes morales de droit privé sont en principe créées par une initiative privée, mais

Droit civil : Première partie : Les quasi-contrats : Ils ont été définis par l'art. 1371 cc comme des « faits purement volontaires de l'homme dont il résulte un engagement quelconque envers un tiers et quelquefois un engagement réciproque des 2 parties. » définition pas pleinement satisfaisante car extrêmement proche de la définition du contrat synallagmatique. Néanmoins elle a été adoptée par le code civil. Ce choix s'explique par l'origine de ce quasi contrats qui remontent au dt romain

Le concubinage est une des formes de la vie de couple. La notion de couple n’est pas une véritable notion juridique car elle n’est pas définit dans le code civil. Cependant elle est au coeur du droit de la famille. Un couple est d’abord défini par une vie commune de lit, d’intérêt et de projet commun. Le concubinage est donc en premier lieu une situation de fait appréhendé par le droit sans pour autant qu’il existe un véritable régime juridique organisé. Lorsque une situation est qualifiée de concubinage