Disparité Des Richesses

déséquilibre entre riches et pauvres. 1• Les inégalités observées a - Production et revenu La richesse matérielle d'un pays (PIB ou PNB global et par habitant) conditionne largement son aptitude à satisfaire les besoins fondamentaux de sa population. Observer les économies au niveau mondial entraîne un premier constat : la production connaît de fortes disparités d'un pays à l'autre et il en va de même pour le revenu, qui est directement lié à la production

industrialisés ou de pays développés à économie de marché, PDEM) sont en effet situés au nord de la planète. Quelle est la réalité des disparités Nord-Sud ? La diversité des situations des pays du Sud ne conduit-elle pas à parler plutôt « des Suds », au pluriel ? En quoi le Brésil est-il emblématique de ces écarts de développement ? 1. Quelle est la réalité des disparités Nord-Sud ? • L'évaluation des écarts Nord-Sud repose sur plusieurs indicateurs : le PIB/habitant, qui mesure les performances économiques

classement national ne suffit pas. Il faut aller vers une localisation plus fine. Lutter contre la pauvreté exige que l’on appréhende sa nature et sa dimension mais aussi sa localisation. Comment peut-on mobiliser des programmes visant à réduire les disparités sociales et régionales si l’on n’a pas appréhendé d’une manière conséquente ses facteurs de reproduction aux niveaux territoriaux de base que sont les communes, les sections communales et les quartiers ? Compte tenu des limites des ressources nationales

Niveau d'études le plus élevé des parents = primaire ou n'est pas allé à l'école Lorsqu'on observe les aspirations des élevés dont le niveau le plus élevée des études des parents est le primaire ou n’étant pas allé a l’école, on remarque des disparités significatives d'aspirations selon le type d’établissement. Sur 100 élèves du prive dont les parents ont un niveau d étude primaire ou ne sont pas allés a l’école : 9,6 % déclarent avoir l'ambition d'atteindre le niveau primaire/collège .

le “trou” dans la couche d’ozone ,l’érosion de la biodiversité et le réchauffement climatique) et économiques on constate que les politiques économiques de la seconde moitié du XXe siècle n’ont guère amélioré la situation des plus pauvres. Les disparités se sont même creusées, ce qui pose la question de la croissance et du développement. La conjugaison de ces facteurs amène a remettre en cause un système mais surtout une idéologie : Le court terme C'est ici que le développement durable intervient

L’inégale répartition des richesses au niveau mondial I) Un monde inégal La répartition des richesses au niveau mondial est très inégale : Le PIB/hab. des PMA est 30 fois plus faible que celui des PDEM Les Organisations internationales (FMI, OMC…) distinguent 4 grandes zones économiques dans le monde. a- Les PDEM (Pays Développé à Economie de Marché) Ces pays continuent de s’enrichir malgré des taux de croissance devenus faibles voire négatif ou nul. Ils regroupent 15 % de la population

pour la plupart d’entre elle d’où un grand nombre d’Etat multinationaux en particulier en Europe centrale et orientale. 1.3 Les causes des disparités de développement : Les pays les plus riches ont connus une révolution industrielle ancienne qui leur a apporté la richesse du XIXe malgré des disparités importantes sur leur propre territoire. En France, disparité entre Paris et les métropoles industrielles et le reste du pays. FRANCE, ALLEMAGNE,ITALIE ,BELGIQUE. Les pays périphériques à ce centre riche

l'échelle mondiale : la Terre s'organise désormais comme un vaste espace d'échanges, un marché. La conséquence de cette globalisation serait in fine le développement pour tous. Qu'en est-il vraiment ? Car pour certains la mondialisation aurait accru les richesses mondiales et contribuerait ainsi à réduire la pauvreté dans le monde. Alors que pour d'autres, elle aurait principalement augmenté les inégalités. Nous étudierons la terminologie du développement humain à travers les différentes formes d'indicateurs

précise de ces disparités en étudiant de plus près les établissements qui scolarisent la plus forte proportion d'élèves allochtones. On peut ainsi voir que 10 % des établissements scolarisent à eux seuls 26 % de ces élèves. L'origine culturelle est donc un puissant facteur de différenciation des collèges, même si l'on ne peut préjuger pour l'instant des conséquences scolaires de cette situation. Il ne fait pourtant pas de doute que ces disparités «ethniques» se doublent de disparités sociales.

|Une évolution démographique lente |l’Europe, extrait | | |l’ONU 2010), l’Europe est un foyer de | | |Des disparités économiques et |commenté, édition Bréal, | | |peuplement dense. | | |sociales criantes |sept 2010