Discours Du Président Mac Mahon

délègue le pouvoir exécutif à un citoyen qui reçoit le titre de Président de la République. (ce titre pour la 1ère fois). Comment l’élire ? Au suffrage universel par le Peuple, ou par l’assemblée ? Si élu par le Peuple, le président a une légitimité. Comme Napoléon, Cavaignac est candidat possible. Il indique qu’il acceptera aussi l’élection au suffrage universel direct alors qu’il avait les faveurs de l’Assemblée. Le président devait être élu pour 4 ans. Il est investi des grands pouvoirs :

la fois le retour au pouvoir du General de Gaulle et le changement de la constitution qui sera promulgué le 4 octobre 1958. Le président de la république à beaucoup plus de pouvoir par rapport à ces prédécesseurs de la IIIe Republique et la Ive Republique. Il possède beaucoup de pouvoir Mais sous la Ve republique les rapports internes à l exécutif entre le président de la republique et le Premier ministre varient en fonction des circonstances politiques. Il est donc nécessaire de distinguer,

« Constitution Grévy » n est initialement qu’un discours sans importance. Prononcé en février 1879, un mois après son élection, devant l’Assemblée Nationale, il a une portée considérable de par la suite des événements puisqu’il remet fondamentalement en cause les trois lois constitutionnelles de 1875, dont les clauses tendaient à faire du président de la République un « monarque Républicain ». En effet, ces lois accordent alors de larges pouvoirs au Président : un droit de dissoudre l’Assemblée Nationale

désignation du chef de l’État, élections des députés, relations entre juges et pouvoir politique, entre parlement et gouvernement) La constitution prévoit la procédure d’élaboration des normes, comment fonctionnent les institutions (gouvernement, président de la république, etc.), ainsi que les rapports entretenues entre les pouvoirs publiques. La constitution prévoit également la procédure de révision de la constitution. (Article 89 de la constitution de la 5éme République). B) « La hiérarchie

Sujet : L'élection du Président de la République sous la Vème République Lors d'un discours prononcé devant le Conseil d'État le 27 août 1958, Michel Debré, Premier ministre français de l'époque affirme que « Le Président de la République doit être la clef de voûte de notre régime parlementaire ». Ce dernier, particulièrement effacé sous la IIIème et IVème république deviendra le principal acteur politique du pays suite à l'adoption de la Constitution le 4 octobre 1958. Le général de Gaulle participera

Tout commence en aout 1829, Charles X confronté a un problème, car élections gagnent de plus en plus, il va placer Polignac au gouvernement le 5 aout 1829 (ultra comme lui) mais crée problème , tension car opposition avec chambre libérale. -Le « discours du trône » prononcé par Louis XVIII vers la chambre des députés a pour objet de menacer les députés, dit qu’il va réussir a rester rester aux pouvoir avec ses volontés politique (différente de celle qui l’opposition qui voulait un gouvernement

premier flic de France ». Surnommé « le Tigre », il réprime alors les grèves et met fin à la querelle des inventaires, devenant président du Conseil de 1906 à 1909. Retournant au Sénat, il fonde un nouveau journal, L'Homme libre, renommé L'Homme enchaîné après avoir essuyé la censure au début de la Première Guerre mondiale. En novembre 1917, il est de nouveau nommé président du Conseil et forme un gouvernement consacré à la poursuite de la guerre. Négociateur lors de la Conférence de Versailles, le

volonté de revenir à la « Constitution Grévy », qui est un régime parlementaire moniste se rapprochant fortement du régime d’Assemblée, c’est-à-dire où le pouvoir législatif est dominant sur le pouvoir exécutif. De Gaulle critique se système dans son discours de Bayeux jugeant « démesurés » les pouvoirs accordés à l’organe législatif par rapport à celui de l’exécutif. Le projet a été rejeté par referendum et en Mai 1946 on adopte le deuxième projet qui va se traduire par un régime parlementaire rationalisé

— Insurrection dans les Communes ; 1873 — Mac-Mahon devient président de la république ; 1876-1877 — Les élections qui donnent une majorité d’élus au républicains La classe « basse », comme la décrit Goncourt, est opprimée. En 1874, il y a création d’une académie de 10 écrivains, les premiers inscrits étant Faubert, Zola et Daudet; c’est le début d’une école naturaliste. Pendant ce moment, il y a une certaine instabilité politique. En 1879, Mac-Mahon démissionne de son poste et on élit Jean-Greuy

législatif et exécutif confiés à des titulaires distincts et indépendants. Le pouvoir législatif est confié à un parlement d’une, deux ou plusieurs chambres. Le pouvoir exécutif est confié nominalement à un chef d’état, à un monarque ou à un président au nom duquel vont se faire tous les actes qui constituent l’exercice de ce pouvoir. Tous ces actes devront être préalablement délibérés et décidés par les ministres siégeant collectivement. 2) L’essence du régime parlementaire.