Dirigeant

pratique : TD n°7 les dirigeants 1/ Une associée et gérante d’une société à responsabilité limitée (SARL) a oublié de répondre à une offre intéressante pour sa société. Ceci est regrettable puisque cette offre a été acceptée par un concurrent et a généré des milliers d’euros. Constatant son erreur, M. Martin, un associé veut savoir s’il est possible d’engager la responsabilité de la gérante en raison de sa faute. Est-il possible d’engager la responsabilité d’un dirigeant si celui-ci cause un préjudice

communication de crise 4. les limites de la communication de crise  Section III : Les dirigeants en temps de crise : 1. L’importance du rôle du dirigeant  2. Choix du moment opportun pour la prise de parole  3. Les pratiques des dirigeants en temps de crise  4 .Cas concrets reflétant le comportement communicationnel des dirigeants face à la crise  Conclusion Introduction L’histoire des économies et des

SynthÈse DANS LES ENTREPRISES, LES PROCESSUS DÉCISIONNELS SONT SOUVENT COMPLEXES ET FORTEMENT INFLUENCÉS PAR LE STYLE DE DIRECTION DES PRINCIPAUX DIRIGEANTS. CES STYLES DE DIRECTIONS S’AVÈRENT TRÈS DIFFÉRENTS D’UNE ENTREPRISE À L’AUTRE. I. Le style de direction dépend du type d’organisation concerné 1. La nature de l’entreprise conditionne le type de management Le management pratiqué dans une entreprise dépend de plusieurs facteurs et en particulier de la nature et des caractéristiques de

exemple, le principe de non immixtion en droit des affaires interdit au banquier ou à quiconque n’est pas dirigeant de droit de l’entreprise (organe de surveillance, de contrôle, commanditaire) de participer à la gestion de celle-ci. L’immixtion dans la gestion suppose la réunion de 2 éléments. Elle implique, tout d’abord, l’intervention d’une personne ou d’un organe qui n’est pas dirigeant de droit de l’entreprise. Ensuite, l’immixtion suppose soit une participation à la gestion effective, soit

des organisations, les dirigeants sont désignés par une instance collégiale, c’est-à-dire une assemblée qui prend des décisions collectivement. A. Dans les entreprises. Dans les entreprises, les propriétaires détiennent un droit de vote qui leur permet d’élire le dirigeant lors d’une assemblée générale. Dans les grandes sociétés, le dirigeant peut être une personne salariée qui ne fait pas partie des propriétaires de l’entreprise. Dans les petites entreprises, le dirigeant est très souvent l’unique

actionnaires, et une réponse des dirigeants sera faites Un gouvernement d’entreprise est une autorité exercée par les administrateurs et actionnaires des sociétés pour contrôler et surveiller l’action des dirigeants. Dans une première partie nous verrons la stratégie de l’actionnaire pour contrôler les dirigeants. Puis, dans une deuxième partie nous verrons la réponse des dirigeants à cette stratégie. I. La stratégie de l’actionnaire : contrôler les dirigeants Généralement, dans les firmes

charisme. II. La diversité des dirigeants A. Dirigeants et propriété de l’entreprise Le fait que le dirigeant soir propriétaire ou non de l’entreprise qu’il dirige a des incidences sur les buts qu’il lui fixe. * Quand le dirigeant est propriétaire de son entreprise, il détermine librement les objectifs à atteindre. En général, il cherchera à développer son affaire et à rester indépendant. * Quand il n’est pas propriétaire, le dirigeant doit respecter les contraintes imposées

SEQUENCE II : LA VIE DES SOCIETES CHAP I : LES ACTEURS I. SECTION I : Les dirigeants * &I/ La désignation des dirigeants A. Le mode de désignation des dirigeants Elle diffère selon le type de société. Dans les petites sociétés, celui qui apporte les capitaux, est désigné dirigeant. Dans ces sociétés, propriété et pouvoir vont de paire. Dans les grosses sociétés, qui font appel à l’épargne publique, les actionnaires sont des milliers voire des millions, et ça n’est pas

affaires qui ont agité les milieux économiques dans la plupart des pays développés et de dysfonctionnements évidents du système économique, de nombreux débats se sont ouverts concernant les prises de contrôle, les rémunérations des dirigeants, les responsabilités des dirigeants et des administrateurs, la composition et le rôle du conseil d'administration, l'information et le rôle des actionnaires, le régime de la faillite...Tous ces aspects mettant en cause la répartition des pouvoirs dans l'entreprise

qui remet en cause les principales caractéristiques spécifiques de la PME. Il peut être considéré comme un facteur de dénaturation de la PME1. 1. Spécificité de l'intervention-conseil en PME 1. 1. Une stratégie fondée sur l'externalisation Le dirigeant de PME doit souvent se centrer sur les fonctions clés de sa chaîne de valeur, c'est-à-dire celles qui contribuent directement à l'avantage compétitif. Les avantages de la transaction l'emportent souvent sur l'internalisation à tel point que Marchesnay