Diocèse de Metz

le thème gaulois Lugu-. Rev. celtique X (1889), 238-243. 986. R. DORANLO, Les lieux-dits La Trigale. Bull. de la Soc. des Antiquaires de Normandie XXXIV (1919-20), 406-411. 987. F. DOSDAT, Les Mandre. Nos traditions, organe du groupe folklorique de Metz II (1939), 39-51. 988. G. DOTTIN, Brica, Briga et Briva. Rev. des Etudes anciennes IX (1907), 175-180. 989. G. DRIOUX, Sur le nom d'Aqueranda. Rev. des Etudes anciennes XXXI (1929), 358. 990. H. DUBLED, "Allodium" dans les textes latins du Moyen Age

richesse de la cité de Charles III se trouve certainement dans ces édifices religieux. En effet, la ville-neuve comptait une dizaine d’église. De plus, le duc souhaitait vivement, pour des raisons politiques, que sa capitale devint le siège d'un diocèse, mais il n'obtint en 1602, qu'un chapitre primatial.  La primatiale fut placée sous le vocable de Notre-Dame, et des biens considérables constituèrent la dotation du nouveau chapitre, dont les reliques de saint Sigisbert III, roi d'Austrasie de 360

27 au 28 décembre 1585 au prieuré de Saint-Cosme, dont il était le prieur, et y est enseveli dans la crypte de l’église, aujourd’hui en ruine. Ronsard était également titulaire de Croix-Val en Vaudomois (paroisse de Ternay) et de Bellozane dans le diocèse de Rouen. Deux mois plus tard, il reçoit un hommage officiel au collège de Boncourt où ses funérailles solennelles sont célébrées à Paris le 25 février 1586, date anniversaire de la bataille de Pavie[]. Toute la cour s’y presse, à telle enseigne que

populations et de diffusion de la culture, en créant en leur sein des écoles et des ateliers de copie de manuscrits (cf. doc. 3). D’autres part, sous l’influence du saint prélat de Metz et conseiller de Pépin le Bref, Chrodegang (en 749, il fonda une abbaye à Gorze dans le respect de la règle de saint Benoît, il fit de Metz la ville de naissance du plain-chant ou chant messin, futur chant grégorien), les prêtres des principales églises, en particulier des cathédrales, commencèrent à se grouper en « chapitres »

Il est couronné roi de Lotharingie, c’est-à-dire de tous les territoires entre l’Escaut, le cours supérieur de la Meuse et le Rhin. Il prend le titre de Rex Francorum et réside de plus en plus dans les palais carolingiens d’Herstal, Thionville ou Metz. La présence permanente d’un souverain n’est pas bien vue par les aristocrates lotharingiens. Elle gêne aussi les grands de Francie qui pensent que le roi s’appuie trop sur la Lotharingie. Charles le Simple perd progressivement ses soutiens. En Lotharingie

Paris (Denys ) et Limoges. Mais les dates ne concordent pas : Trophime et Dèce ont existé au IIIème siècle, non au Vème, et de quel Denis est-il question ? D’autres sources, les listes épiscopales : en 314, Trèves en était à son 4ème évêque et Metz à son 6ème en 345. Donc on peut placer le point de départ de la Christianisation de la Gaule au IIIème siècle. b. Clovis, premier roi chrétien des Francs Le premier roi français catholique fut Clovis Ier. Il est né vers 466 et mort en 511 et fut

personnalité ne passe pas inaperçu, elle rencontre même le duc de Lorraine. Face à une telle détermination, Baudricourt, sceptique, s'assure auprès de son curé « que le diable n'est pas en elle ». Puis il lui donne une escorte de quelques hommes, dont Jean de Metz et Bertrand de Poulengy, qui resteront fidèles à Jeanne tout au long de son épopée. Habillée en homme, Jeanne va jusqu'à Chinon pour y rencontrer le dauphin… Charles VII Avant de rencontrer Jeanne d'Arc, Charles n'est qu'un roitelet. Ce portrait

trouvent à l'Est. - Bourgogne qui se trouve au centre. - Neustrie. Chaque roi, à peu d'autorité il va prendre un roi mérovingien. Qui est le Maire du palais : ceux sont les deux ancêtres des Carolingiens, Pépin de Landen et Saint Arnoul, évêque de Metz, appartienne à l'aristocratie d'Austrasie. Ils rallièrent au roi de Neustrie Clotaire II l'aristocratie de la Gaulle du Nord-est (613). Pépin occupe une fonction apparue au VIe s et qui prit de l'importance au mêmes temps que s'affaiblissait l'autorité

contractant un mariage, avec une princesse de la monarchie franque rhénane, dont naît un fils, Thierry. Le royaume des Francs rhénans s'étend dangereusement sur la Belgique seconde mais l'alliance avec Clovis leur assure la possession des cités de Metz, Toul, Trèves et Verdun que les Alamans menacent. La soumission de la Thuringe : Clovis impatient En 491, Clovis déclare donc la guerre aux Thuringiens, l’expansion du royaume les fait déborder sur la rive droite du Rhin. Il finit par les soumettre

qui est couronné roi de Lotharingie (tous les territoires entre l'Escaut, le cours supérieur de la Meuse et le Rhin). Il n’hésite pas à s'intituler Rex Francorum et réside de plus en plus dans les vieux palais carolingiens d'Herstal, Thionville ou à Metz. Mais cette préférence affichée pour la Lotharingie indispose les grands de Francie et la tension monte lentement. Charles le simple va peu à peu perdre ses soutiens. En Lotharingie, le comte Règnier disparaît en 915 et est remplacés par son fils