Dieu Existe T Il

que j'assume cette responsabilité ? L'action de philosopher peut se définir comme le doute . Le doute engendre t-il une inquiétude : Laquelle ? la réflexion découvre la précarité de l excistence, amène à douter de moi du monde , et de douter de dieu . Dans l’histoire de la philosophie, l’essence a le plus souvent eu un privilège sur l’existence, à laquelle elle s’opposait. En effet, l’essence (« ce qu’est une chose ») présente la nature de la chose, ses propriétés essentielles, ce qu’elle possède

d'une théorie philosophique de Leibniz. Elle a pour objectif de répondre au problème du bien et du mal : pourquoi le mal existe-t-il si le monde a été créé par un dieu juste et bon ? De nombreuses interrogations tournent autour de la Genèse et de la notion de péché originel (cf. la Bible). En 1681, Bossuet, homme d'église catholique, écrit, dans son Histoire universelle, que Dieu, malgré le péché, dirige le monde vers une fin heureuse. Tous les événements y contribuent, y compris ceux qui semblent

contient des choses imaginaires mais il doit y avoir des choses vraies. Il considère que les sciences physiques et l’astronomie sont douteuses et incertaines. Par contre la géométrie et l’arithmétique sont certaines, elles ne se discutent pas. Il parle de Dieu et de son existence douteuse. Il y aurait un malin génie qui essaierait de nous faire croire des choses irréelles. Il faut faire attention pour ne pas revenir dans le mensonge, il faut combattre le malin génie dans la méditation. La deuxième

indéterminé que la forme vient déterminer. La forme d'une chose est ainsi non seulement son contour, mais surtout son essence, ce qui la définit. Esprit : • Souffle vital, principe de vie. • Souffle provenant de Dieu, en particulier souffle créateur, action créatrice et bienfaisante de Dieu. (ancien testament) • Substance immatérielle et incorporelle. • Être incorporel conscient de lui-même, de son existence, et doué d'une vie psychique, en particulier d'intelligence et de volonté. (Nerval) •

en se frottant à diverses désignations du Nom, qui sont celles de la tradition hébraïque. Dieu et Son Nom ne font qu’un. Au 3e chapitre de l’Exode, Moïse demande à l’Eternel qui Il est. L’Eternel répond : « Je suis Celui qui suis… c’est là Mon nom éternellement, c’est Ma commémoration dans tous les âges » Il est intéressant de s’arrêter un moment sur la question de Moïse et la réponse de Dieu. La question de Moïse est : « si l’on me demande quel est Son nom, que dois-je répondre ? »

êtres humains. Ne pouvait pas connaître DIEU. Quelques temps après, j’ai compris qu’en vérité : IL Y A CEUX QUI PREFERENT SUIVRE LE DIABLE D’AUTRES QUI SE DISENT « DIEU D’EUX-MEMES ! » ET CEUX QUI REFUSENT LES COMMANDEMENTS DE DIEU, MAIS ADMETTENT EN EUX QU’IL EXISTE. Ceux qui suivent le Diable, croit qu’ils y gagneront plus vite et mieux. Mais perdent tous vite, sans s’y attendre. Le Diable ne donne pas JAMAIS. Il prête. Ceux qui se disent être leur DIEU. On leur raison. Certains voit ou en vécue

connaissons sont fixes depuis la Création du monde, et l'homme possède un statut à part, puisque créé à l'image de Dieu, doté d'un sens du Bien et du Mal et destiné à régner sur la nature. Il est impossible, à partir de la Bible ou du Coran, de déduire la durée de l'histoire de la Terre et de la vie telle que la science la conçoit aujourd'hui, ni bien sûr l'idée que l'espèce humaine telle qu'elle existe résulte d'une série de mutations biologiques au cours d'un très long laps de temps et procède, in fine d'espèces

l’existence. Lorsque nous concevons un Dieu créateur, ce Dieu est assimilé la plupart du temps à un artisan supérieur ; et quelle que soit la doctrine que nous considérions, qu’il s’agisse d’une doctrine comme celle de Descartes ou de la doctrine de Leibniz, nous admettons toujours que la volonté suit plus ou moins l’entendement, ou tout au moins l’accompagne, et que Dieu, lorsqu’il crée, sait précisément ce qu’il crée. Ainsi, le concept d’homme, dans l’esprit de Dieu, est assimilable au concept de coupe-papier

I La théorie de droit divin Contrairement à ce qu'on pourrait croire, cette théorie ne naît pas au Moyen Age. A cette époque en effet l'absolutisme n'existe pas. Il existe des parlements, une noblesse et de nombreuses franchises (villes libres…) et le pouvoir royal est loin d'être absolu. La théorie du droit divin est née au XVII° siècle. Illustrée par le De legibus (1612) de Suarez et Politique tirée des propres paroles de l'Écriture Sainte (1670) de Bossuet. Ces deux auteurs entendent justifier

est différente chez chaque individu. Certains individu croit en se qu’il voit alors que d’autre croit en leur religion. Comme par exemple la croyance en Dieu. Certaine personne croit en Dieu, au fait qu’il a bien existé alors que d’autre non car son existence n’a pas été prouvé. En effet, nous n’avons pas de fait réel qui prouve que Dieu à bien existé. La science est aussi une croyance car certaine personne croit en la science est non en la religion. L’évolution de la science fera toujours régresser