Dieu Existe T Il

Thème: la croyance religieuse. Thèse: les bonnes raisons de croire en Dieu ne sont pas celles qui persuadent le peuple. Plan: -(ligne 1 à 9) énoncé de la thèse. -(ligne 9 à 19) les bonnes raisons qui ne convainquent pas le peuple. -(ligne 19 à 26) les mauvaises raisons qui le persuadent. Recherche de l’intérêt philosophique: l’intérêt de ce texte est de fournir à la fois une justification rationnelle de la croyance en Dieu, et une critique de la religion. On devra donc expliciter avec soin

et d’une puissance surnaturelle. Cet être que l’on dit parfait est : Dieu. Des gens y croient dur comme fer et d’autre croient que ce n’est qu’une supercherie. Existe-t-il ce dieu? Dieu n’a jamais exister et il n’est qu’une raison que ce donne certaines personnes pour croire que les malheurs et les joies qui leur arrivent sont du à quelqu’un. Les scientifiques sont l’un des meilleurs exemples pour prouver l’inexistence de dieu. Les scientifiques ont fait de nombreux progrès dans la compréhension

dualisme, c'est le fait qu'il y ait un corps et une âme, qui sont deux parties distinctes de l'être humain. Par son cogito, qui est la première vérité de sa philosophie, Descartes prouve son existence, mais pas son existence matérielle. Il sait qu'il existe en tant que substance, dont l'essence même est de penser. Ainsi, il prouve son existence en tant qu'âme, mais pas en tant que corps. Il n'est qu'une substance pensante, res cogitans. Puis, malgré cette vérité, n'oublions pas qu'il avait émis la possibilité

Après la mort de dieu, Quelle place pour l’esprit dans la société ? "Dieu est mort ! Dieu reste mort ! Et c'est nous qui l'avons tué ! Comment nous consolerons-nous, nous, meurtriers entre les meurtriers ! Ce que le monde a possédé de plus sacré et de plus puissant jusqu'à ce jour a saigné sous notre couteau; qui nous nettoiera de ce sang ? Quelle eau pourrait nous en laver? Quelles expiations, quel jeu sacré seront nous forcés d'inventer ? La grandeur de cet acte est trop grande pour nous. Ne

!" Relatif • Est relatif ce qui comporte des restrictions, des limites. • Est relatif ce qui ne peut être défini, ni valoir, ni exister indépendamment d'autre chose ; ce qui est susceptible de comparaison avec autre chose que soi. • Le « relativisme », c'est l'idée qu'il n'y a pas de vérité absolue, que l'opinion de chacun dépend de lui-même (en général, la philosophie combat le relativisme, parce qu'elle cherche, au contraire, des vérités universelles). L'expression « chacun sa vérité », devenue

auxquelles la méthode scientifique ne peut s’appliquer : 1) La vérité existentielle : La méthode scientifique se fonde sur la prémisse que l’univers physique existe réellement et que nous pouvons nous fier à nos sens et à la logique pour découvrir les lois qui le régissent. Cependant, la science n’offre aucune façon de prouver que l’univers existe vraiment. Elle ne peut pas démontrer que tout ce que nous pensons être réel n’est pas simplement une illusion résultant de la manipulation d’un cerveau par

monde où il existe un espace et un temps absolu4. Ceux-ci n’ont aucune relation avec les choses, ils ne sont pas affectés par celles-ci. Ce ne sont plus les choses qui créent l’espace et le temps. Au contraire, ces derniers sont les garants du cadre donné à l’existence de ces choses. Ils sont vrais, mathématiques et sans relations aux choses externes5. Newton distingue donc l’espace et le temps en absolu et relatif. Ce manque de relation aboutit à une conclusion, « Le vide peut exister »6. Comme

un niveau plus élevé) Premier principe : « Je doute »/en latin « dubito » Douter = un mode de penser → « dubito » = « cogito » « cogito » contient un sujet qui pense et qui doit donc exister → « cogito ergo sum »/ « je pense donc je suis » = vérité première • • « donc » ≠ conclusion, l'acte de douter/penser et exister = une unité et ont lieu simultanément Le moi qui découvre dans le cogito ≠ lié à un corps, car la croyance en l'existence du monde extérieur est mise entre parenthèses (argument de rêve)

bien agir ou pas c’est ce qui entraine la question du mal sur terre vers le 4e siècle après jésus si on en crois les théologiens dieu est censé être bon or si on observe les monde on se rend compte que tout ne va pas bien et le mal existe et la question est d ou vient il et la soit ces dieu qui a créé le mal mais c’est contradictoire car ce dernier est cense être bon soit dieu n’existe pas mais ces deux considération ne sont pas possibles pour quelqu’un comme saint Augustin ce dernier dans le traite

Figure du père : tout puissance, interrompt relation Méré enfant mais aussi rassure par sa présence. Analogie suspecte avec Dieu. Selon Freud, Dieu n’est qu’une projection de la figure symbolique du père de notre enfance. De la même façon que l’enfant structure identité par rapport au père, il continue de se structurer à l’âge adulte a travers une figure de toute puissance, dieu. Dieu amour et en meme temps effraye, interdit. Freud : athée : névrosée, atteint perversion car enfant doit retrouver cette