Dieu Est Mort Nietzche

On n’imagine pas un dieu parfait et victimes des passions. Pourtant il est construit sur des modèles anthropomorphiques. Il a bien des caractères et faiblesses humaines. La divinité dont parle Leibniz ce n’est pas la divinité anthropomorphisé des grecs mais la divinité telle que la philosophie la représente. L’anthropomorphisme est associé à un manque de connaissance de son objet (comme un enfant avec son animal ou un objet comme les hommes avec les dieux). Le dieu de Leibniz est ni de religion

Religion = -relier à Dieu → Au delà → Paradis → Salut -relier aux autres (communauté religieuse « mère », « père », « frère » …) Croyance: crédulité, crédit, créance. → ESPERANCE (espérer en Dieu) Foi: fidélité, confiance, fiabilité. Le religieux vit dans la confiance, l'espérance. Il aime Dieu plus que lui même =/= superstition : le superstitieux craint, à peur, et est maladivement égocentrique (pense que l'univers lui envoie des signes) Le superstitieux ne sert pas Dieu, il s'en sert. Il

développé sa raison à la capacité de discernement et de jugement, ce qui lui permet d’accéder à la liberté (dans la limite de la condition humaine). Cela va entrainer le développement de l’humanisme laïc (XVII – XVIIIème), et NIETZCHE déclarera que « Dieu est mort ». L’Homme n’a pas que des devoirs, il a aussi des droits. L’Humanisme condamne l’injustice (déclaration des droits de l’Homme et Révolution française). • L’humanisme a une confiance lucide en l’Homme, et assume ce

Dieu mort depuis déjà deux siècles, il emporta avec lui ses dogmes et sa morale, brisant ainsi toutes les bases de la société d’autrefois. Le monde tel qu’il l’était ne pouvait plus exister. Dès lors, l’homme dut chercher un nouveau sens à sa vie, une nouvelle façon d’atteindre le bonheur. Plusieurs philosophes tels que Jean-Jacques Rousseau et, Emmanuel Kant ont tenté de trouver cette nouvelle voie à suivre, mais voici qu’à la fin du XIXe siècle Friedrich Nietzsche nous arrive avec une nouvelle

grand tri pour garder celles qui vont dans le sens de notre propre puissance, de notre propre réalisation afin de nous débarrasser de toutes les autres. nihilisme = Idéologie qui rejette toute croyance ; qui refuse toute contrainte sociale. « Dieu est mort, rien ne vaut, donc tout est permis. » Idéal du néant, les hommes désirent le néant (ex : pour mettre fin à la torture de notre existence) mais c’est le néant qui désire ne eux, ou plus exactement la fiction, la chimère de l’idole moral nihilisme

« Les hommes n’ayant pu guérir la mort, la misère, l’ignorance, ils se sont avisés, pour se rendre heureux de n’y point penser » écrit dans ses Pensées Blaise Pascal, philosophe français du XVIIème siècle. Ainsi, pour ne pas y penser l’homme a développé un intérêt croissant pour les œuvres littéraires et les œuvres d’art, créant ainsi un nouveau divertissement. Mais dans quelle mesure les œuvres littéraires ou les œuvres d’art peuvent-elles nous aider à supporter notre misère ? Nous verrons d’abord

A LA GLOIRE DU G :. A :. D :. L :. U / Sous les Auspices de la GRANDE LOGE UNIE DU MAROC V :. M :. ( Dignitaires à l’O :. ) Et vous tous mes FF:. En vos grades et qualités« Je veux connaitre les idées de Dieu, le reste n’est que détails » A EinsteinMTCF, voilà une citation délicate sujette d’une part, à la polémique, aux débats houleux et aux confrontations propres aux opinions et, d’autres part, préférentiellement, à une dialectique constructive telle que nous la pratiquons dans nos R :

connaisse oh mon dieu, que je vous connaisse ainsi que je suis connu de vous ». Cette citation reprend un passage des évangiles et notamment l’épitre de Saint Jean aux Corinthiens : je ne connais maintenant Dieu qu’imparfaitement autant qu’il me connait. Deux formes de connaissances : la connaissance de face parfaite : on connait Dieu autant qu’il nous connait. Il distingue une connaissance en énigme : on ne connait Dieu que d’une manière indirecte. Le point de départ est celui d’un Dieu omniscient :

METHODO. Jeunesse, vieillesse, mode : ts ces sujets renvoient au tps, et dc à la modernité B. De la nécessité de l’oubli Le devoir de mémoire ne comporte-t-il pas le risque de dévaluer le présent au profit du passé. Nietzche (1844-1900) a bcp accusé le passé de stériliser l’eh. « Le roc : ce fût. » Un sens historiq trop dvpé nie l’existence et finit par l’anéantir. La mémoire est envahie de souvenirs pas tjs utiles. C’est la mémoire, ou du moins la conscience historiq

dont il essaie justement d'expliquer l'origine. Rappelons que ce texte a été écrit à l'époque sanglante du Ier siècle av. J.-C. : massacres, révoltes, tentatives de coup d'état … De la nature a donc été écrit dans un contexte pessimiste propice à la mort, la peur, et ainsi à l'antireligion. Cet écrit pose le problème de savoir qu'est-ce qui a poussé l'homme à croire aux dieux. De deux choses l'une : ou bien on estime que les divinités existent réellement, qu'elles ont prouvées leur existence par diverses