Dieu Est Mort Nietzche

à devenir un cadavre. Déshumanisation volontaire, provocation à l’égard de Dieu. Au XIXe s., beaucoup d’artistes cherchent à se révolter contre la bourgeoisie, ils appartiennent au mouvement du romantisme. Valeurs de la bourgeoisie :morale gouvernée par l’église et enrichissement économique. Lautréamont est concerné par la figure du poète maudit. Il est pas connu à son époque. Il a vécu à Montevideo en Uruguay et est mort à 24 ans. Il a laissé très peu de témoignages. A aussi écrit « Poésies ».

l’être humain. La question est de savoir ce qui limite cette recherche humaine, et ainsi, toutes ses connaissances. En réalité, pour Nietzche, lorsque l’homme recherche une vérité, et la trouve, il ne fait qu’assimiler le monde en son image. La vérité humaine ne se résume ainsi qu’à une « anthropomorphisation », comme le dit l’auteur, de tout ce qui l’entoure, où l’homme conduit par sa

vérité seront expliquées avec l'aide des idéologies de Platon, Aristote, Descartes et plusieurs autres. Par la suite, il est essentiel d'examiner les critiques négatives sur la vérité, le fait qu’il n’est pas possible de parvenir à la vérité, grâce à Nietzche, les sceptiques et autres. Enfin, la dernière idée sera l'opinion personnelle de l'auteur par rapport à la vérité. Platon L'objet de ce chapitre a pour but d'expliquer l'opinion des philosophes et de leurs mouvements philosophiques qui croyaient

certitude qui resiste a ce doute. Le doute de descarte est radical et methodique. Le doute de Descartes. Il l'etend a toute son existence (les sens, le monde sensible. l'existence elle meme, l'argument du reve, l'hypothese de la follie puis celle de dieu trompeure et du malin genie). Au coeur de ses doutes s'impose la premiere certitude indubitable qui va constituer la base de sa philosophie: c'est celle de son existance en temps de conscience. (Car si "je" doute alors il y a un je qui doute et donc

une «première version» des «Correspondances» de Baudelaire ? Par ailleurs, Gérard de Nerval était obsédé par l’occultisme, le mysthique - il collecte les traités de sorcellerie-, ce qui l’a mené au suicide. Néanmoins, Gérard de Nerval considérait la mort comme un passage vers un autre monde qui constituerait un échappatoire. De plus, Gérard de Nerval est un être malade car il est schizophrène, il a des visions. D’ailleurs, il portait un diamant sur sa nuque pour éviter que toute sa pensée ne lui échappe

principaux obstacles à la définition est de savoir s’il faut y inclure la notion de divinité (dieu). Le second, si des pratiques que les peuples ne considèrent pas comme religieuses doivent être prises en compte et incorporées. Enfin, le troisième obstacle, la prise en charge ou non de la nature du sacré (que l’on doit vénérer) à laquelle se sont rattachées de nombreuses approches théologiques (étude dieu). La religion est donc une catégorie intellectuelle inopérante (qui n’est pas efficace), née

ailleurs en nous apprenant à penser, il nous apprend donc à vivre comme l’indique le titre de son œuvre. Afin de résoudre la question de la nature de la philosophie, Luc Ferry pose une succession de questions concernant le salut, l’égalité ou encore la mort nous permettant à la fois d’apprendre à penser et ainsi à vivre. Luc Ferry tente de résoudre ce problème en exposant les différents thèmes et différentes thèses qui ont été apportés au fil des années. Cependant, une véritable réponse n’est pas apportée

La religion aujourd’hui « Dieu est mort » Cette citation de Nietzche était peut-être un peu prématuré. Depuis 1905 la France est un état laïc, c’est à dire que l’état et l’église sont deux institutions séparées. Cependant la religion reste très présente tout comme ses valeurs, on peut le constater de part le débat sur « mariage pour tous » qui déchaine l’opinion. Ou encore par les mouvement « intégristes » et « fondamentalistes » de plus en plus nombreux. Tout ceci tend à nous montrer que la religion

religion survient . La religion vient du latin « religare » qui signifie « relier » ou bien de « religire » qui veut dire « recueillir ». Ces deux possibles explications de la religion montrent un double aspect : à la fois la piété ( l’ attachement à Dieu et le respect de la religion ) mais également une pratique institutionnalisée comme le fait d’aller à l’eglise par exemple. Il est cependant difficile de penser que nous sommes entièrement indépendants de cette croyance à une divinité car la religion

postule deux choses : a) que mon âme transcende mon corps b) que celui lui permet de communier avec Dieu, qui fonde ultimement ces valeurs en tant que représentant suprême d’une autorité que me dépasse. C’est-à-dire qu’elle est posée comme absolu, fondée sur une autorité supérieure qui me jugera après ma mort (cf le texte de Jankélévitch sur le bien et le mal). Or, si je reconnais que « dieu est mort », donc que je ne suis pas vraiment croyant, ces valeurs n’ont plus aucune légitimité pour moi. Je