Diego Velasquez Les Ménines

décoratif. Il fait partie des plus grandes pinacothèques du monde. Il présente principalement des peintures européennes (flamandes, espagnoles, françaises, italiennes et allemandes) du XIVe siècle au début du XIXe. Il présente les œuvres des peintres Diego Vélasquez, Francisco Goya, et Jérôme Bosch mais il y a aussi celles du Greco, de Pierre Paul Rubens, Raphaël, Titien, Tintoretto, ainsi que des tableaux de Botticelli, Caravaggio, Albrecht Dürer, Andrea Mantegna, Rembrandt, Nicolas Poussin, Véronèse… Le

enfermé dans l'ignorance totale du véritable monde extérieur : il est plongé brutalement dans l'univers réel, et perd alors tout repère ; il ne distingue plus rêve et réalité. A ses yeux, tout devient illusion. On peut encore évoquer Les Ménines de Vélasquez : le miroir morcelle les images du réel (jusqu'au vertige - technique de la mise en abyme) et donne à voir une scène qui n'a de réalité dans l'oeuvre qu'à travers son reflet. Vanité de l'existence Cette réflexion touche fréquemment au domaine

l'intérieur d'autres éléments similaires au premier, comme les poupées russes qui s’emboîtent et sont similaires entre elles. Ce peu être aussi un récit dans un autre récit ( Mille et une nuits ), ou bien un image dans une autre image ( Les Ménines de Diego Velasquez )... Dans le travail suivant ce sera du théâtre dans le théâtre. Pour expliquer la mise en abyme, j'ai choisi un extrait des deux œuvres théâtrales suivantes : Hamlet de William Shakespeare écrit en 1601 et représenté pour la

jeune homme à l’air timide qui se peint à contre-jour alors qu’il vient d’avoir vingt ans, jusqu’au vieil homme fatigué, ridé, au nez bourgeonnant de 1669. En Espagne, on connaît plusieurs autoportraits de Murillo ou de Vélasquez, dont la frappante représentation au travail des Ménines (vers 1656, musée du Prado). Quant à Zurbarán, il s’est représenté en saint Luc, patron des peintres, aux pieds du Christ en croix (vers 1635). À remarquer Léopold de Médicis qui collectionna les nombreux autoportraits

des regards, par le jeu des miroirs… Tous les peintres savaient cela, mais aucun peintre ne savait utiliser un miroir comme Diego Vélasquez. Dans son chef-d’œuvre « Les Ménines », commande de la famille royale d’Espagne en vue de la Noël, tous les personnages : l’Infante Marguerite seconde fille du roi d’Espagne Philipe IV, la jeune Dona Maria suivante de l’Infante, Vélasquez… sont peints à partir de leurs reflets dans le grand miroir du salon de la reine. Lorsqu’on regarde une pièce dans un miroir

jusqu'en 1778 et furent suivies, entre 1778 et 1780, par une nouvelle commande du même type destinée à fournir des tapisseries pour la chambre à coucher et l'antichambre de ce même prince au Prado. Ayant obtenu l'autorisation de graver les œuvres de Diego Velázquez, Goya réalisa des aquatintes bientôt remarquées par Charles III. Cette étude des tableaux du grand maître du Siècle d'Or exerça une influence décisive sur l'œuvre du protégé de Bayeu. Entré ainsi au service de la famille royale, Goya s'intégra

« Vache qui rit ». Ce procédé est également employé sur certains paquets de chips de la marque « Lays ». Des artistes ont suggéré une mise en abyme dans leurs œuvres comme « le triple auto portrait » de Norman Rockwell de 1960, ou les « Ménines » de Diego Vélasquez. Elle est ici suggérée, mais en aucun cas montrée explicitement. Ou encore pour illustrer des propos abstraits, comme pour la pochette d’album « Ummagumma » des Pink Floyd en 1969. Si l’on reprend un motif, un texte ou une trame, et

décollent) Laurent de la Hyre : « Panthée est conduite devant Cyrus » Montluçon Guy François du Puy : « L’adoration des bergers », Eglise Ste Croix Gannat Georges de La Tour : Le tricheur à l'as de carreau (vers 1635)* (valise CDDP) Diego Velasquez : « Les Ménines »1656,* (valise Musée) Le XVIIIème siècle Arts du langage : Voltaire http://www.poesies.net/voltaire.html Marivaux http://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre_Carlet_de_Chamblain_de_Marivaux Diderot Le rêve de d'Alembert en format Word

plafond et au fond. Un miroir où on peut voir deux nouveaux personnages. Le spectateur existe et participe au tableau. Eyck signe en latin et dit : "J'ai été ici" au lieu de dire : "J'ai fait ceci". 20 Composition Image Diego Vélasquez, Les ménines (1656). Vélasquez se représente à peindre en regardant vers nous et dans le miroir au fond de la pièce, on voir le roi et la reine. Maurits Cornelis Escher, Nature morte (1934). On y voit Echer dans le reflet de la nature morte en train de

pays: tumultueuse, passionnée, créative et surtout, fière de sa culture; du Moyen-âge, en passant par l’Age d’Or, symbole d’un foisonnement littéraire, musical, mais surtout pictural; période qui a vu naître d’immenses maîtres tels que Le Greco, Diego Vélasquez ou encore Zurbaran en poursuivant par le XIXe siècle symbole d’un nouveau souffle donné à cet art. Alternant les périodes de succès et celles d’oubli, elle représente une nation qui a su marquer l’histoire artistique mondiale, symbole d’un