Diego Velasquez Les Ménines

: INTRODUCTION I – Les théories de l'art et l'histoire de l'art : quelques jalons historiques depuis l'Antiquité jusqu'à nos jours, dans la pensée occidentale. II – La critique d'art III - Une étude de cas : la lecture des “Ménines” de Vélasquez par Michel Foucault et Daniel Arasse IV – Éléments bibliographiques V- Évaluation INTRODUCTION Discipline relativement récente dont l'essor date du dix-huitième siècle, avec les développements de l'archéologie et la découverte

Triomphe De Bacchus de Vélasquez Diego Vélasquez, peintre espagnol du XVIIème siècle. Il fut très influant à la cour du roi Philippe IV. Son style est du domaine du baroque espagnol seulement nous ne pouvons pas le limiter à ce courant tant il est au-delà des influences, digressant progressivement les règles de ce dernier pour mieux représenter la réalité et la vie à l’aide de fondus de couleurs. L’œuvre qui lui a permis de mettre en avant son talent de peintre serait Les Ménines, l’un de ses plus

de Damas. → La crucifixion de Saint Pierre. 1600 L'ESPAGNE ; La peinture 17ème S. → Domeniko Theotokopoulos = «  EL GRECO ». 1541-1614 → L'enterrement du comte d'Orgaz. +-1590. Église Santo Tomé. Tolè → Diego de Silva y VELASQUEZ. 1599-1660. → Le ménines. 1656. Musée du Prado . Madrid. → La légende d'Arachné. +-1645. Musée de Prado. Madrid → la reddition de Bredas. +-1640 → Venus au miroir. +-1650 → MURILLO. 1618-1682 → Garçons mangeant du raisin

Rodrigue pour son apparence jeune et ses habits [pic] Goerges de la Tour – Le tricheur As de carreau (1635) Une femme belle, jeune et riche est représentée avec une de ses gouvernantes, tout comme Chimène ou L’infante avec Léonor [pic]Diego Velasquez – Les Ménines (1656-1657) Cette œuvre présente une jeune Infante d4espagne et des souverains espagnols (Philippe IV, Marie-Anne d’Autriche) [pic] Rembrandt – La Ronde de Nuit (1642) Cette scène représente une scène d’action avec de hauts dignitaires

support ou1l temps Les praGques envisagées : dessin, peinture, collage, modelage, sculpture, assemblage, installa1on, architecture, photographie, vidéo, créa1on numérique… - Œuvres de références arGsGques présentées aux élèves : - Diego Velasquez, Les Ménines, 1656, Huile sur toile, Musée du Pardo, Madrid - Tullio Crali, Plongeant sur la Ville, 1939, Huile sur toile, Musée d’art moderne de Trento e Rovereto Matériel spécifique : - Une feuille de papier blanc à dessin format 24 x 32 cm pliée

13) Johannes Vermeer, La Liseuse en bleu , 1662-1665, huile sur toile, 46,5 x 39 cm, Amsterdam, Rijksmuseum. 14) Diego Vélasquez, Les Ménines , 1656, huile sur toile, 318 x 276 cm, Madrid, musée du Prado. Antoine Watteau, L ’ Enseigne de Gersaint , 1720, huile sur toile, 151 x 306 cm, Berlin

un fabuleux costume de sultan de Samarcande ». C’est cette ancienne noblesse que Monsieur de Bougrelon prend plaisir à retrouver dans la peinture espagnole ; il l’affirme p.120 : « Ce Vélasquez est-il assez le peintre des vieilles aristocraties ! Le voilà l’historien fastueux d’une fin de race de rois ». Vélasquez est en effet un peintre espagnol du 17ème siècle (1599-1660), qui a obtenu en 1652 la charge de grand maréchal du palais à la cour d’Espagne auprès de Philippe IV : il est à ce titre chargé

aurait donné son propre visage à la tête décapitée de Goliath...) Son œuvre influencera les artistes du XVII° siècle (Le Français De La Tour, le Néerlandais Rembrandt ou l'Espagnol Vélasquez, par exemple). Georges de La Tour. "Le nouveau-né" peint vers 1630. Conservé au Musée de Rennes. Diego Vélasquez. Les Ménines. Peint vers 1656-1657. 318 x 276 cm. Musée du Prado, Madrid Le peintre s'est représenté à gauche en train de peindre. Dans le miroir au fond le reflet des souverains espagnols

l'histoire nous montre que la beauté de certaines oeuvres d'art remarquable à déjà remporté l'adhésion de tous ou presque. De plus la relativité des goûts impliquerait qu'il soit naturel de comparer au même titre une oeuvre d'art telle que les ménines de Diego Velasquez à l'oeuvre de n'importe quel peintre amateur. Pouvons-nous réellement considéré que l'on ne peut pas décider objectivement de ce qui est beau ou de ce qui ne l'est pas et donc que tout oeuvre se vaut? Ainsi, quand bien même nous ne pouvons

libre court à l’imagination et à l’excès. Ex. : L’abbaye d’Ottobeuren en Bavière : Chargé, lumineux, riche. Ex. : Rubens, Les trois grâces (1636-1638 ) Plus lumineux, arrière-plan chargé, dynamique de mouvements. Ex. : Diego Vélasquez, Les Ménines (1656-1657) Il se représente lui-même le roi et la reine hors-champs -> reflet dans le miroir = couleurs riches et lumineuses. Le classicisme ( Prose, Poésie, Peinture ) - 1661-1715 Courant artistique et littéraire français