Diderot Salon De 1763

de l’individu dans une communauté civile. Il fallait une uniformisation des citoyens, faire en sorte que les hommes soient aussi égaux que possible, interchangeables les uns des autres. Ces idées sont développées dans les œuvres de Rousseau en 1762 1763 dans le « Contrat Social » ou les « N’il de l’éducation ». L’égalité est une fiction du droit. L’égalité est une obligation de conscience du citoyen 1) L’égalité: fiction du droit Pour ses prédécesseurs, l’objet du contrat social c’était la paix

La liste des écrivains qui apparaissent sur la couverture. De gauche à droite et de haut en bas : 1. Michel de Montaigne 2. Jean-Baptiste Poquelin dit Molière 3. Madame de Sévigné 4. Voltaire 5. Denis Diderot 6. Jean-Jacques Rousseau 7. François-René de Chateaubriand 8. Honoré de Balzac 9. Victor Hugo 10. Charles Baudelaire 11. George Sand 12. Arthur Rimbaud 13. Marcel Proust 14. Albert Camus 15. Nathalie Sarraute 16. Jean-Paul Sartre 17. Marguerite Duras 18. Patrick Modiano

société de l’immobilité s’inscrit dans un ensemble de cercles concentriques qui organisent les étapes de l’ascension sociale. Un exemple de mobilité : Marmontel est un écrivain à succès du 18ème. Il était membre de l’Académie Française, tenait un salon littéraire à Paris, était directeur du Mercure de France (grand journal littéraire du siècle des Lumières en France). Il fait partie des encyclopédistes. Il meurt en 1799. C’est une figure mondaine, philosophique, littéraire et intellectuelle du 18ème

 www.comptoirlitteraire.com André Durand présente MARIVAUX (France) (1688-1763) Au fil de sa biographie s’inscrivent ses œuvres qui sont résumées et commentées (surtout ‘‘Arlequin poli par l’amour’’, ‘’La double inconstance’’, ‘’La fausse suivante’’, ‘’La surprise de l’amour’’, ‘’La seconde surprise de l’amour’’, ‘’Le paysan parvenu’’, ‘’La vie de Marianne’’, ‘’Le jeu de l’amour et du hasard’’, ‘’Le prince travesti’’, ’’Les fausses confidences’’, ‘’L’heureux stratagème’’,

prendre le nom de Beaumarchais, terre qui appartient à sa nouvelle épouse. Mais à peine marié, Beaumarchais se retrouve veuf. S’ensuit un interminable procès avec la famille de son épouse, début de nombreux procès qui jalonneront sa vie. Les années 1758-1763, Beaumarchais gravite dans le monde des affaires et l’on pourrait appliquer une des répliques de Suzanne à ce que fut alors sa vie : « de l’intrigue et de l’argent, te voilà dans ta sphère ! » Beaumarchais fréquente le milieu des financiers, il rencontre

des jésuites dont il garda un affectueux souvenir. Mais il subit parallèlement l'influence des milieux libertins dans lesquels, à partir de 1706, l'introduisit son parrain, l'aimable abbé de Châteauneuf. Ninon de Lenclos, qui animait toujours son salon, remarqua cet enfant précoce, et lui offrit une forte somme d’argent pour qu’il puisse faire l’acquisition de la bibliothèque de ses rêves. Il conçut dès l’âge de douze ans une tragédie et proclama à l’âge de quinze ans qu’il serait un grand poète

ESSAI SUR L'ENTENDEMENT HUMAIN en 1690. Toutes ces IDÉES font leur chemin et se concrétisent au siècle suivant (au XVIIIè), en France, par la publication de l'ENCYCLOPÉDIE (ou Dictionnaire raisonné des sciences, des arts et des métiers), par DIDEROT (Denis) et d'ALEMBERT (Jean), deux philosophes français, le premier, écrivain et le second physicien, en 17511772. MONTESQUIEU, VOLTAIRE et ROUSSEAU, entre autres, y participèrent. Ces trois derniers furent d'ailleurs à l'origine des IDÉES POLITIQUES

sa formation militaire de stratège et d’artificier. Il en sort quatre ans plus tard lieutenant en second et intègre la Brigade des Colonies. Celle-ci avait d’abord pour but d’organiser des expéditions en Indes et au Canada, mais le Traité de Paris (1763) y met fin, ce qui contraint le régiment de Laclos à rester en France. Les rêves d’aventures sont brisés. La Brigade des Colonies n’ayant plus de raison d’être, elle devient le régiment de Toul Artillerie. Pendant vingt ans Laclos connaît alors la

et picturales. Le premier ouvrage qu'il signe du pseudonyme de Stendhal connaît un certain succès en 1817. Mais en 1821, il doit regagner Paris, devenu suspect aux yeux de la police autrichienne en raison de ses idées libérales. Il fréquente les salons, poursuivant « sa chasse au bonheur » et méditant sur les effets de la passion amoureuse. Il s'engage dans la bataille romantique en publiant Racine et Shakespeare où il prend parti pour le Romantisme. Sa production littéraire est diverse mais ne

le nom de Beaumarchais, terre qui appartient à sa nouvelle épouse. Mais à peine marié, Beaumarchais se retrouve veuf. S’ensuit un interminable procès avec la famille de son épouse, début de nombreux procès qui jalonneront sa vie. Les années 1758-1763, Beaumarchais gravite dans le monde des affaires et l’on pourrait appliquer une des répliques de Suzanne à ce que fut alors sa vie : « de l’intrigue et de l’argent, te voilà dans ta sphère ! » Beaumarchais fréquente le milieu des financiers, il rencontre