Dictionnaire de Trévoux

admirer. Commentaire Le sujet fut transplanté par Voltaire de la Grèce au Pérou. Voltaire s'était intéressé au Nouveau Monde et aux moeurs des sauvages depuis qu’en 1725, il avait fait une rencontre déterminante à Fontainebleau. Dans son “Dictionnaire philosophique”, il s'en expliqua ainsi : «En 1725, on amena quatre sauvages du Mississipi à Fontainebleau. J'eus l'honneur de les entretenir ; il y avait parmi eux une dame du pays à qui je demandai si elle avait mangé des hommes ; elle me répondit

CNRS/PUF, Paris, 1953 André CHASTEL et Robert KLEIN, L’humanisme. L’Europe de la Renaissance, Skira, 1995. John Hale, La civilisation de l'Europe à la Renaissance, Perrin, 1993, Paris, Le Seuil, 2002.(spécialiste de la Renaissance) John Hale, Dictionnaire de la Renaissance italienne, Thames et Hudson, Paris, 1997. Peter Burke, La Renaissance européenne, Seuil, coll. « Faire l’Europe », Paris, 2000 et coll. « Points Histoire », Paris, 2002. Daniel ARASSE, Le sujet dans le tableau, Flammarion, Paris

fait qu'il comporte cinq vers, d'où son appellation. Kusakabe a déposé le mot gogyōka au Japon. ROMAN_OARISTYS (poème) : L'oaristys est un genre poétique. Emprunté au grec oaristis : « conversation familière », ce terme, entré dans le dictionnaire de Trévoux en 1721 sous la forme oariste, fut acclimaté sous la forme oaristys à partir du titre de la traduction par André Chénier, en 1794, de la 27ème idylle de Théocrite. Il prit alors le sens de poème formé d'un dialogue familier, tendre, amoureux

d’unité naturelle de l’Europe qui s’établit de plus en plus. De + en +, on dénonce « les préjugés nationaux » qui seraient contraire à la raison. Ainsi, en France, le terme cosmopolitisme est pour la première fois définit en 1721 dans « le Dictionnaire de Trévoux » qui nous dit : « Un cosmopolite est un citoyen de l’univers, un homme qui nulle part n’est étranger ». Bon nombre de philosophes proclament que tous les hommes sont égaux au-delà de leurs différences de races, de langues ou de religions

sentiment d'unité naturel de l'Europe qui s'épanouit progressivement. De plus en plus on dénonce les préjugés nationaux qui seraient contraires à la raison. En France le terme cosmopolitisme est défini pour la première fois en 1721 dans le dictionnaire de Trévoux : «un cosmopolite est un citoyen de l'univers, un homme qui nulle part n'est étranger». Beaucoup clament que tous les hommes ont égaux au-delà de leurs différences de race, de langue ou de religion. En 1741 un nouvel hebdomadaire (Le citoyen

etc., t. III, p. 501. Journal et Mémoires, etc., t. III, p. 505. 17 18 19 20 21 22 23 24 25 M. de Chauvelin. Journal et Mémoires, etc., t. III, p. 508. Ibid., p. 508. Ibid., p 511. C’était le père Tournemine, directeur du Journal de Trévoux, qui avait mis sous les yeux du cardinal un extrait fidèle des passages les plus compromettants des Lettres persannes. Suivant M. Vian, c’est le jeudi 11 décembre 1727, au moment du scrutin académique, qu’on apprit que le cardinal venait de dire à

BRUN DE LA VALETTE, Louise Labé, la Belle cordière, italienne ? Paris, Grenay, 1994. Keith CAMERON, Louise Labé : Feminist and poet of the Renaissance, N.Y-Oxford, Munich-Berg, 1990. Albert CHAMPDOR, Louise Labé, son œuvre et son temps, éditions de Trévoux, 1981. Père Dominique de COLONIA, Histoire littéraire de la ville de Lyon, t. II, Lyon, Rigollet, 1730, pp. 538 et 542-546. Michel DASSONVILLE, Pre-Pléiade poetry, Louise Labé et le genre élégiaque, Jerry C. Nash, Lexington, 1985. Guy DEMERSON (sous

cette époque. De fait de plus en plus au 18ème s on dénonce ce que les auteurs appellent les préjugés nationaux qui seraient contraire la raison. Ainsi en France le terme de cosmopolitisme est définit pour a premier fois en 1721 dans le dictionnaire de Trévoux. Il dit « un cosmopolite est un citoyen de l’univers, un homme qui nulle part n’est étranger ». De nombreux philosophes proclament que tous les hommes sont égaux au-delà de leur différence de race, de langue ou de religion. En 1741 un nouvel

phrase très brève, dans laquelle se 21 22 A. Montandon, op. cit., p.35 Boucher, Réflexions ou Sentences et maximes morales de M. L. D. D. L. R. ; mises en vers, par Mr Boucher, Paris, C. de Sercy, 1684 23 M. Maloux dans son introduction au Dictionnaire des proverbes, sentences et maximes, Paris, Larousse, 1960, p. X 21 fondent l’image lyrique, l’humour, le paradoxe et […] la plaisanterie. »24 Les discours que véhiculent les formes brèves changent, par ailleurs, de portée, passant de la

lui collent, confondant encore l’auteur et son oeuvre. Confondant ! Une aurore éclatante Rabelais, c’est un tourbillon, on le voit en maints endroits, toujours actif, toujours engagé, souvent en danger… Rabelais n’est pas Rabelais Ouvrez votre dictionnaire. Noms propres. Lettre R. Rabelais. Voyez-vous ce portrait en face de la notice ? Oui ? Eh bien ce n’est pas Rabelais ! On ne sait rien du visage de Rabelais. Le premier portrait où Rabelais est supposé être représenté date de la fin du XVIe siècle