Dialogue Théâtral Didascalies Conflit

salles, établit une analogie qui peut paraître paradoxale entre une pièce de théâtre et un match. En quoi ces deux phénomènes se ressemblent-ils ? La comparaison, un peu provocatrice, n'a-t-elle pas des limites, définies par les spécificités du genre théâtral ? Au fond, pièce et match n'ont-ils pas des rôles sensiblement différents ? I. Des ressemblances réelles Le recours à un vocabulaire commun témoigne des ressemblances entre théâtre et match : au théâtre comme dans un stade, on parle d'action ;

La poésie est-elle une manière de fuir la réalité ou de s’en rapprocher ? | |- Ponge, Proêmes |Invention : Vous écrirez le dialogue entre deux lycéens qui, après leur lecture du corpus, se posent la question suivante : en quoi la poésie | |HATIER Annabac 2006 |nous concerne-t-elle vraiment ?

vers et Molière pour ses comédies en prose. Les dramaturges offrent une langue exceptionnelle et leur langue se donne à entendre dans un spectacle. CORNEILLE Il a écrit comédies, pièces de machine mais a écrit surtout des tragédies. Il peint des conflits intérieurs de l'âme. Ses comédies reposent (si basano) sur l’accumulation d’obstacles à surmonter. Il met en scène des gens ordinaires avec leurs passions et leurs limites. Il veut plaire et en même temps instruire. Corneille n’a jamais aimé les

par-dessus tête. » Il constitue peut-être une métaphore du théâtre, dans la mesure où, comme un intermède, un accident au c' ur du quotidien, le théâtre nous offre un divertissement voulu. L’acte de lire une pièce ou de se rendre à une représentation théâtrale est toujours volontaire, voire prémédité ' comme un assassinat du réel. Nous soulignons déjà l’apparente dichotomie entre le texte et la représentation du théâtre, à laquelle chaque représentation et chaque auteur cherchent à répondre. Différentes

spectacle au comique outré. Opéra-bouffe : opéra sur un thème de comédie. - Comédie : pièce comique mettant en scène des personnages du peuple dont on se moque des défauts. Le dénouement est heureux. - Drame : ce mot initialement désigne tout spectacle théâtral. A partir du XVIIIe siècle, genre entre la comédie et la tragédie, mettant en scène des bourgeois. Le ton est grave, parfois pathétique... mais l'intrigue a une issue heureuse. - Farce : pièce au comique assez forcé : jeux de mots, déguisements

moitié russe moitié iranien, ingénieur des Ponts et des Chaussées, se lancera ensuite dans les affaires. Sa mère, hongroise, est violoniste. Elle arrête de jouer à la naissance de sa fille. Yasmina Reza obtient une licence de sociologie et d’études théâtrales, échoue au concours d’entrée au Conservatoire, poursuit un temps le projet d’une comédienne en s’inscrivant au cours de Jacques Lecoq, avant de se consacrer pleinement à l’écriture. 2-LE THÉÂTRE DE YASMINA REZA La pièce Conversations après

» (l. 8) Le dynamisme dramatique vient de l’alternance des propos, des voix, mais aussi du conflit opposant le fournisseur et le client sur les frais engagés : « Oui, mais, Monsieur Fleurant ». L’accord n’est qu’une simple formule de politesse immédiatement suivie d’une opposition. De même, la formule « je suis votre serviteur » (l. 8) est ironique

SÉQUENCE 4B : Le Jeu de l’amour et du hasard de Pierre de MARIVAUX – Objet d’étude principal : Le texte théâtral et sa représentation, du XVIIIe siècle à nos jours. Texte 3 : Maître et valet (III-1) Question : Comment le conflit entre maître et valet est-il source de comique ? Introduction : 1) Alors que Dorante a fini par dévoiler son identité à celle qu’il prend toujours pour la suivante Lisette, Arlequin et la véritable Lisette, eux, toujours « masqués », sont prêts à s’épouser, parce qu’ils

et pouvant développer une ou plusieurs métaphore. La métaphore n’a de sens qu’au figuré, alors que l’allégorie peut se comprendre au sens propre et au sens figuré. L’actions théâtrale Les contraintes matérielles d’une représentation impliquent concentration, stylisation et grossissement des effets dans l’action théâtrale ou drame. Forces et personnages : Les rôles et les emplois des personnages correspondent souvent à des caractères prédéterminées, stéréotypés : des types psychologique (l’amoureux

Le Dieu du carnage, pièce théâtrale de Yasmina Reza écrite en 2006, met en scène deux couples issus du milieu bourgeois : Alain et Annette Reille, Michel et Véronique Houllié. Dans la scène d’exposition, définie de la page huit à la page seize, réplique « je ne peux pas toucher ces bêtes », les quatre personnages viennent de se rencontrer. Ils se trouvent dans l’appartement des Houllié et discutent de l’altercation qui a eut lieu entre leurs fils, Bruno Houllié et Ferdinand Reille. L’examen de