Devoir Philo Freud

Nicomaque |GF, LP |H(L.VIII-IX), N(X), Ell(V, VIII et IX) | | |Métaphysique |P, V, MN(L.Alpha) |Hte(la philo), Ell(L.IV, VII) | | |De l'âme |GF |Ell(III, 3) | | |Physique

celui des ses parents biologiques ? c’est les moments qu’on passe avec lui qui fait qu’on l’aime pas car c’est le produit de nos entrailles-> la diversité des milieux sociaux qui s'imprègne le milieu familial, régnait sur l’occupation parentale (devoir), le rapportdifférence sur l’éducation, le milieu dans lequel on évoluefamille plus à cheval sur la décence-> les individus et les groupes sont des produits des processus sociauxLibre arbitre renvoie à notre faculté à agir librement et indépendamment

(ville), transmission de savoir (écriture, alphabet) Civilisations gréco-romaines : philo et sciences : miracle grec (philo, art, démocratie, littérature ; désir de perfection). Dialogue est l’idéal de fonctionnement d’une communauté scientifique. Présocratiques : opinions entre les personnes : base de la démarche scientifique * Naturalistes : pas d’intervention divine, religion = superstition (lien avec Freud qui dit que la religion = névrose de la société) Quelques naturalistes : optique géométrique

secondaires (tels le mouvement,la protection, I'affection) ; - les besoinsculturelsou tendances par acquises le milieu social. Avoir besoin signifie ici < devoir, falloir La question est donc ". double : pourquoifaut-l| éduquer I'homme, c'est-à-direquelle en est la nécessité et pourquoi doit-on éduquerI'homme, c'est-à-direque signifie ? ce devoir d'éducation? . Parlons de la nécessitéd'éduquer I'homme. Dans la question 2, nous avons vu que la race humaine a progresséà travers I'histoire. De dans

Samuel Joseph Agnon La science ne peut rien nous prescrire, pas même de cultiver la science. - Boutroux * Plan du site - Flux RSS - BlueBiz * Renoncer à sa liberté c'est renoncer à sa qualité d'homme, aux droits de l'humanité, même à ses devoirs. Il n'y a nul dédommagement possibles pour quiconque renonce à tout. Une telle renonciation est incompatible avec la nature de l'homme, et c'est ôter toute moralité à ses actions que d'ôter cette liberté à sa volonté. - Rousseau Les degrés du croire

Fiches de philo (TS) Samuel MIMRAM 1999-2000 Table des matières 1 Divers déïsme : pose l’existence d’un D. créteur et guarant de la morale, de l’ordre social. Refuse les religions créées historiquement. antithéïsme : le mot de D. ne sert à rien ← ne représente rien. essence : nature, définition. concept : terme précisémt défini jusqu’à ce qu’on ne puisse plus le confondre avec un autre. notion : terme non défini clairement, ambigu, plurivoque. idée : idéal vers lequel nous voulons tendre ; repésentation

une action jugée mauvaise, sont des preuves de la cs morale. On est responsables de nos actes sauf ceux qui n’ont pas toutes leurs facultés (jeunes enfants, malades mentaux et animaux). 11. Cs n’est pas seulement ce qui nous rappelle nos devoirs, elle revendique aussi des droits, en particulier la liberté de cs, càd le droit de professer les croyances de son choix. Ex : concept de laïcité en France avec respect de toutes les religions. Pas de liberté d’expression en Iran. 12. cogito

des mythes. Le mythe de Prométhée dans le Protagoras. Le mythe d'Er dans le dialogue de Phèdre. "Savoir c'est se ressouvenir" théorie de la réminiscence, théorie de la transmigration des âmes. L'allégorie de la caverne: apprendre aux hommes la philo Usage platonicien des mythes: assez différent de l'usage traditionnel des mythes. Période charnière du passage de pensée mythique à pensée rationnelle. Chez Platon, les mythes sont au service de l'argumentation rationnelle, ils viennent donner

l'obéissance : ce qui relève de l'autorité. Hétéronomie : capacité de penser par soi-même, de recevoir le bien d'autrui. La pensée se caractérise par la philosophie. A/ Invention de la philosophie : Les grecs ont inventé la philosophie. La philo est à distinguer de ce que les grecs appellent sophia = la sagesse. Au sens propre, la sagesse est la capacité de vivre bien, d'être heureux. Pour les grecs, il n y a pas de différences à faire entre le bien et le bonheur. Il n'est pas évident qu'on

qui est faux ou inversement Si l'erreur est une fausse interprétation de la perception, on parle d'illusion. Cette divergence entre l'affirmation et la nature objective de l'objet est consciemment involontaire, sinon c'est un mensonge. Pour Freud l'erreur ou méprise est un moyen laisser à l'inconscient pour s'exprimer. Par là l'erreur ne provient pas de l'intelligence, mais de la spontanéité du moi. ex lapsus (=erreur du langage) L'erreur selon platon: "opinion sans connaissance"