Deuxième concile de Constantinople

vingt-quatre ans après la sévère défaite byzantine de Manzikert contre les Turcs seldjoukides (1071), rêve de reprendre à ces derniers le terrain perdu en Asie Mineure à la suite de ce désastre. Mais l'appel qu'Urbain II lance solennellement au Concile de Clermont en 1095 procède surtout de la volonté de raffermir la papauté dans la lutte contre le pouvoir temporel du Saint Empire romain-germanique. En incitant les souverains et chevaliers occidentaux à s'unir dans une sainte expédition contre les

Gascogne, le Poitou, l’Angoumois, la Saintonge, le Périgord et le Limousin. Seulement, ce mariage, arrangé par son père, ne fait pas l’affaire des sentiments des époux entre lesquels la mésentente est d’abord larvée, puis évidente au moment de la deuxième croisade. La reine met cependant au monde deux filles, mais aussitôt après la mort de son conseiller Suger, abbé de Saint-Denis, Louis VII entreprend l’annulation de son mariage qui est prononcée le 18 mars 1152. Aliénor reprend sa dot et le

pouvoir en 300, ses successeurs se livrent à une lutte sans merci jusqu’à ce qu’il n’en reste qu’un : CONSTANTIN qui s’expatrie à Constantinople qu’il fonde en 326. A la mort de Constantin, le partage de l’Empire devient définitif : L’Empire romain d’occident qui chute en 476 sous l’assaut barbare. L’Empire romain d’orient qui chute en 1453→ Chute de Constantinople. Le pouvoir se renforce grâce au christianisme. Jusqu’en 313, l’Eglise chrétienne est persécutée par les empereurs car ils refusent

180 Paragraphe 1. La justice impériale : la procédure cognitoire ou extraordinaire 181 Paragraphe 2. Les sources du droit tardif : les constitutions impériales 187 Paragraphe 3. Le droit matériel tardo-impérial 198 DEUXIEME PARTIE : LE DROIT MEDIEVAL ( 450 – 1450 ), DROIT COMMUN EUROPEEN ET DROITS SINGULIERS 205 Chapitre Ier. Le haut Moyen âge : la monarchie franque ( Vème – Xème siècles ) 209 Section I. La monarchie mérovingienne ( 481-751 )

codification. 15) Les compilations officielles du Bas-Empire A partir de 364, l’Empire romain se divise en 2 parties : une partie occidentale et une partie orientale. Ces 2 parties sont chacune pourvue d’une capitale : Rome pour l’occident, Constantinople pour l‘orient. Chacune dispose de sa propre administration, de sa justice, de son armée, de son droit. Chaque empereur légifère de son côté même si une constitution est placée officiellement sous l’égide des 2 empereurs régnants. La masse des

sont regroupés à la droite du document 1 et sont donc séparés des membres de l’institution ecclésiastique. 3. Le pape est à la tête de l’Église en tant qu’évêque de Rome, descendant de saint Pierre. 4. Les décisions sont prises dans le cadre des conciles, réunions des évêques convoqués par le pape. 5. Les membres de l’Église doivent respecter le célibat et la chasteté. 6. L’Église doit faire face au non-respect de la chasteté et à la simonie. 7. L’Église peut utiliser l’excommunication pour punir

La plupart du temps, ce sont des épopées qui relatent les exploits des héros qui reflètent des idéaux, des modèles... L'inspiration principale de ce style littéraire est les sujets guerriers de l'époque carolingienne, soit celle de Charlemagne (Concile de Tours) ou bien de son petit-fils, Louis le Pieux (Serments de Strabourg). Un bon exemple de ce style littéraire est sans aucun doute la Chanson de Roland, composée autour de l'année 1100 après Jésus-Christ. L’auteur, un troubadour, souvent anonyme

avant à 1 avant) puis un Empire (1avant à 5après). Cet Empire au départ n'a connu qu'un seul dirigeant puis il est devenue tellement vaste qu'on l'a scindé en deux parties pour mieux l'administrer avec deux empereurs et deux capitales : Rome et Constantinople (ensuite appelée Byzance.) Rome est considérable au niveau politique car elle nous a légué un droit d'une très grande subtilité et un vocabulaire juridique très riche qui dans beaucoup de branches du droit est encore notre vocabulaire d'aujourd'hui

« laïc » qui vient du grec « laicos » signifiant « peuple ». Très vite, dans toutes les communautés chrétiennes, ce terme est utilisé pour désigner le commun, l’ordinaire, l’homme ordinaire, par opposition à tout ce qui relève du sacré. Au 2e siècle, un deuxième terme apparaît qui va s’y opposer : « clerc » (=ordre). C’est l’ébauche d’une première hiérarchie originelle qui va, par la suite, se complexifier. 1) Les laïcs et les clercs Si les Chrétiens distinguent si tôt le clerc du laïc, c’est

Selon l'école traditionnelle et même dans l'apologétique récente181, cette séparation serait esquissée dès les premières dissensions apparues au cours d'une réunion décrite dans les Actes des Apôtres, qui sera nommée rétrospectivement le « premier concile de Jérusalem », réunion qui admet l'adhésion des non-juifs sans les circoncire, et écarte de fait l'application littérale des lois mosaïques au moins pour les prosélytes (voir Christianisme ancien). L'histoire de la séparation se réunit autour de