Denoncer La Misère

 avec une narratrice qui  évolue avec le roman, et qui nous touche beaucoup. Vous nous embarquez avec elle et nous  partageons ses sentiments, ses émotions. Nous apprécions son sens de l’humour, son regard  amusé sur la vie. C’est triste et c’est drôle.   De la misère des enfants des rues, du parcours difficile de Mimi, vous faites surgir la  douceur, la bonté, la générosité, la beauté. C’est magnifique !  Vous mettez à l’honneur un parcours remarquable, exemplaire, une belle leçon de vie !  Quel bel hommage à Dalila

LA TRAGIQUE HISTOIRE DES MISÈRES Introduction : Le recours aux ressorts du mouere et la construction de personae de la France et du poète sont liés à une stratégie oratoire constitutive de l’entreprise des Discours. Les modalités de son intervention sont précisée par le poète selon deux modèles (1°/ le modèle tragique 2°/ une écriture historique reformulée). Modèle oratoire / poèticité / littéralité. I- La tragédie des Misères Les Discours de Ronsard ne sont pas les Tragiques d’Agrippa

· Le discours ( le plaidoyer ou le réquisitoire ) : Discours sur la misère de Victor Hugo (1849) prononcé à l'Assemblée pr engager les députés à constituer 1 comité destiné à préparer des lois relatives à la prévoyce et à l'assistce publique. L’auteur veut éradiquer la misère décrite cô 1 maladie, il évoque plusieurs cas précis et douloureux d' ♂, de ♀ et d'enfts moura de faim.

qui contient plusieurs romans tels que L'assommoir (1876) , Germinal (1885) et Nana (1879) . Thérèse Raquin (1867) et Madeleine Ferat (1868) dont Zola a écrit l'avertissement suivant : « S'il nous fallait une excuse, nous la trouverions dans les misères du temps que nous traversons. On nous accuse de lever les voiles ; mais l'heure n'a-t-elle pas sonné de tout étudier et de tout dire ? Quand une société se putréfie, que la machine sociale se détraque , le rôle de l'observateur et du penseur est de

« ne pleure point la mort des autres ». Au lecteur d’en tirer une morale, l’exemple à ne pas suivre d’une certaine noblesse qu’il dénonce. Victor Hugo, de façon semblable, met en scène une jeune femme « une duchesse » qui, par son indifférence au sort du pauvre qu’elle croise sans le voir, choque tant l’auteur que le lecteur. Enfin Prévert oppose dans son poème la misère et la richesse provocante d’une société de consommation « sardines à manger/ œuf dur café crème/ café arrosé rhum… ». Les trois auteurs

utilise différents moyens pour toucher le lecteur ou l’auditoire. En effet, dans chacun des textes, les auteurs abordent un combat différent, mais leur but est le même : défendre les droits des hommes. Le premier texte, celui de La Bruyère évoque la misère des hommes comparés à des « animaux farouches » qui « fouillent » et « remuent » la terre pour se nourrir, avant de regagner leurs « tanières » La métaphore est filée tout au long du deuxième paragraphe indiquant ainsi que les paysans du règne de

Ces quatres textes sont des écrits visant à dénoncer une injustice en persuadant la personne par le biais d’un discours ou d’un dialogue. C’est le thème de l’injustice qui relie étroitement ces textes. Germinal , le Discours sur le colonialisme, L’atelier sont des écrits ayant pour but de convaincre par la raison un public, une personne. Des remises en questions permettent de mettre en avant la parole du personnage telles que  les questions rhétoriques dans Germinal : « Voulez-vous la continuation

guerre. Ayant grandit dans un milieu très modeste, Prévert à été confronté très tôt à la misère des classes populaires, on comprend alors sa thèse contestataire. La contestation prend ainsi une place importante dans ce recueil que ce soit par des allusions rapides, des paragraphes courts ou des textes plus longs. Prévert peint la société française de l’entre deux guerres et nous montre ses défauts. Il dénonce tout un tas de sujets, parmi lesquels on retrouve la violence, la guerre, la politique bourgeoise

en scène des animaux représentant souvent des bourgeois ou des personnes influentes de la cour, écrit en vers, et comportant une morale. A première vue, ses fables apparaissent comme des œuvres distrayantes à la portée de n’importe qui, mais il y dénonce implicitement les mœurs et les comportements de la société. Dans la fable « les membres et l’estomac », La Fontaine explique que la royauté ne peut fonctionner sans la plèbe, et le peuple sans la souveraineté : ils sont complémentaires. Il montre

guerre. Ayant grandit dans un milieu très modeste, Prévert à été confronté très tôt à la misère des classes populaires, on comprend alors sa thèse contestataire. La contestation prend ainsi une place importante dans ce recueil que ce soit par des allusions rapides, des paragraphes courts ou des textes plus longs. Prévert peint la société française de l’entre deux guerres et nous montre ses défauts. Il dénonce tout un tas de sujets, parmi lesquels on retrouve la violence, la guerre, la politique bourgeoise