Déficit

théoriquement le déficit. Une autre de ces conséquences est la favorisation à la consommation et/ou à l´investissement privé par l´intermédiaire de subvention ou de revenus de transferts plus ou moins importants. Après avoir analyser ce qu´apportait la relance budgétaire, une analyse des dangers et des limites sera réalisée. Lors de la partie précédente, nous avons vu que la politique menée devait théoriquement couvrir le déficit. Cependant, dans la plus grande partie des cas, le déficit n´est pas

représentaient des conditions pour admettre les pays candidats à la zone euro. Parmi lesquels, avoir un taux d’inflation, un taux d’intérêt, un déficit budgétaire et une dette publique cumulée qui ne dépassent pas un seuil précisé à chacun dans le traité, qui est 2,4% pour le taux d’inflation, 2% pour le taux d’intérêt à long terme, 6% du PIB pour le déficit public et 60% du PIB pour la dette publique. Or, après une réévaluation de sa situation économique en 2001, la Grèce a reçu un feu vert pour entrer

actuelle de la Grèce ? Alors que l'ancien gouvernement annonçait un déficit public de 6% du PIB, Georges Papandréou, à peine arrivé au pouvoir en octobre 2009, découvrait un déficit de 12,9% et une dette publique à 115% du PIB, alors que la limite fixée par Bruxelles est de 3%. II. Comment en est on arrivé là ? Cette crise a été déclenchée par la révélation en décembre dernier par le nouveau gouvernement grec d’un déficit public beaucoup plus important qu’annoncé jusque-là. Faisant redouter

malgré sa baisse de 11 pour cent en 2002 à 9,8 pour cent en 2007; il est particulièrement élevé en milieu urbain (14,5 pour cent). 2. La poursuite de la réforme fiscale et la maîtrise des dépenses de fonctionnement ont contribué à réduire le déficit public de 3,9 pour cent du PIB en 2005 à 1,5 pour cent en 2006; un léger surplus de 0,7 pour cent du PIB a été enregistré en 2007, avec une estimation du surplus à 0,4 pour cent du PIB au titre de 2008. La dette totale du Trésor est passée de

la situation des finances publiques [...] ressortira d'une situation budgétaire qui n'accuse pas de déficit public excessif ...". Dans la pratique, la Commission, lors de l'élaboration de sa recommandation annuelle au Conseil des ministres des Finances, examine si la discipline budgétaire a été respectée en se basant sur deux valeurs de référence: le déficit public annuel: le rapport entre le déficit public annuel et le produit intérieur brut (PIB) ne doit pas dépasser 3 % à la fin du précédent exercice

l’année. Depuis 2005, le budget doit être transparent pour les contribuables, c’est-à-dire que chaque français reçoit avec sa déclaration d’impôt avec un doc lui montrant l’utilisation de son argent et lui expliquant ensuite si il y a un déficit, les raisons de ce déficit. La politique budgétaire est souvent proposée par référendum. Celui qui prépare la politique budgétaire est le ministre de l’économie et des finances, et quelqu’un qui vient aider, c’est-à-dire la secrétaire d’état au budget.

non respect de ce pacte. Je vais tenter d'être le plus clair possible et pour cela je vais commencer par vous définir ce qu'est le pacte de stabilité et de croissance. C'est un pacte a pour but de forcer les états de la zone euro à maintenir les déficits budgétaires à 3%du PIB et les dettes publiques doivent être inférieures à 60 % du PIB. En créant ce pacte, chacun des états de la zone euro s'assure que les autres ont une économie stable et ne risque pas de connaitre une crise qui entrainera les

d'améliorer de manière durable le fonctionnement d’un secteur de l'économie ou d'économie entière d’un pays. Elle résulte souvent d'une évolution spontanée des facteurs économiques qui en ont dégradé la situation. I-LES OBJECTIFS N°1 : Contraction du déficit budgétaire en terme réels et freinage d’emprunts du trésor public auprès de la banque centrale pour parvenir à n ce résultat il est préconisé : - une contraction des investissements publics et des programmes sociaux : - une contraction des investissements

Ce déficit, selon le ministère des Finances, représente l’écart entre le montant des recettes budgétaires recouvrées par le Trésor, hors recettes du Fonds de régulation des recettes (FRR), estimées à 3.275,52 milliards de DA à fin septembre 2012 et les dépenses budgétaires réelles, 5.292,65 mds DA à la même date. Les disponibilités du FRR, créé en 2001 pour prendre en charge une partie du déficit budgétaire et le remboursement anticipé de la dette extérieure, ont atteint 6.485,8 mds de DA à fin juillet

responsable du déficit dans les finances publiques qui ne cessent de se creuser depuis près de 25 ans. Afin de tenter de solutionner ce problème, un ensemble de politiques furent mises en œuvre par les différents gouvernements, des textes de décentralisation en passant par la Loi Organique relative aux Lois de Finances (LOLF). C’est dans ce sens qu’à l’aube de son mandat, le nouveau chef de l’Etat annonça en 2007 qu’un de ses projets majeurs serait de s’attaquer en profondeur au problème du déficit public