Déficit

– 12,5 % d’imposition – expliquait cette localisation. Une politique fiscale qui, comme partout, favorisant les riches, se traduisait par une baisse des recettes et une montée du déficit. Depuis plus de 2 ans l'Irlande est économiquement dans une situation économique difficile: *Hausse du Chomage (11%) *Le déficit public égal à 12% du PIB , *les prix régressaient à un rythme annualisé de 6,6 % *Le PIB devait reculer de 7 % en 2009, et de 2 % ou 3 % en 2010. * Le marché immobilier était touché

limites que l’on peut attribués à la protection sociale est sans doute l’évolution du déficit du régime général qui inclut la sécurité sociale et l’assurance maladie. En effet, si on s’intéresse à son évolution, on s’aperçoit que le déficit est négatif depuis 1995 sauf pour les années 99 à 2001. Il va même jusqu’à atteindre 11,6 milliards d’euros en 2004 et est d’aujourd’hui environ 8 milliards d’euros. De plus, les déficits les plus importants sont concentrés sur les branches maladie et vieillesse. Ainsi

conduit les pays en développement à recourir à l’emprunt extérieur pour combler le déficit. Egalement, le choc pétrolier des années 1973-1974 à favorisé une circulation de capitaux sous forme de prêts surtout dans les pays en développement. En plus de cela les taux historiquement bas ont poussé les pays en développement à un emprunt excessif. * Les causes endogènes : l’intérêt de la dette contribue à creuser les déficits structurels qui demandent davantage d’endettement extérieur. A cela, il faut ajouter

finalité. Actuellement, on vise une politique budgétaire saine et donc une sorte d'équilibre sur une durée plus courte. Ainsi, la règle d'or du XIXe siècle est devenue l'exception au XXe. Les finances publiques cherchent à combler le déficit public et l'équilibre budgétaire ne fait donc plus parti des grands principes du droit budgétaire. Pourtant, s'il n'est plus visé « en soi et pour soi », il n'est pas non plus écarté comme l'affirme la théorie de l'impasse systématique.

disponibles ou bien pourraient l'être. Il en irait pareillement si le Gouvernement sous-estimait sciemment certaines recettes, voire ne faisait pas preuve de la prudence nécessaire dans la détermination des objectifs, validant ainsi l'existence d'un déficit trop important par rapport à l'exigence d'équilibre, qui est pourtant un principe de nature à protéger le régime de sécurité sociale fondé sur la solidarité. I-1.1. En premier lieu, il apparaît clairement que les leçons de l'année 2003 sur la dérive

période de croissance, créant un déficit à court terme, mais permettant sans doute une croissance plus forte, réductrice du déficit… « Il vaut mieux un Etat endetté qu’un ménage endetté » car l’état a beaucoup plus de moyen pour redresser sa situation. De plus, il est a noté que l’émergence d’un État stable en France a rendu possible l’existence d’une dette publique. Elle  s’explique par de très nombreux facteurs, à la fois conjoncturels et structurels. Pour 2009, le déficit est aggravé à cause de la

convergences. Tout État qui désirait adhérer à l'euro devait au préalable respecter ces critères. Trois critères de convergences: Financement des déficits budgétaires uniquement par des moyens monétaires, responsabilité nationale des EM pour les dettes contractées afin de finances ces déficits budgétaires, et la limite quantifiée des déficits = règle des 3%, les déficits ne doivent pas dépasser 3% du PIB.Ces critères de convergence ont été formalisés, réunis dans quelque chose qu'on a appelé le pacte de stabilité

........................................... 9 CHAPITRE 1 Comment en est-on arrivé là ? ...................... 11 Qu’est-ce que la dette de la France ? ..................... Date de naissance : 1975 ......................................... Le déficit budgétaire : « 3 % du PIB »… ou 20 % ! Le ministre du Budget enjolive les chiffres .......... La progression inquiétante de la dette.................. Le rôle de l’Agence France Trésor (AFT)............. La charge de la dette de l’État pèse sur le

à la fois de la crise économique mondiale et de facteurs propres au pays : fort endettement (environ 120 % du PIB), déficit budgétaire qui dépasse les 13 % du PIB. Cette crise a été aggravée par le manque de transparence dont a fait preuve le pays dans la présentation de sa dette et de son déficit. Pour l'économiste Jean Pisani-Ferry, « depuis dix ans, l'écart moyen entre le déficit budgétaire réel et le chiffre notifié à la Commission européenne a été de 2,2 % du produit intérieur brut (PIB). »

SEANCE 1). Restituez brièvement la « séquence »qui montre pourquoi une PBR peine forcément à résorber le déficit budgétaire , puis montrez en quoi cette séquence s'inscrit dans un cadre de pensée keynésien. Une politique budgétaire restrictive ( dit «PBR») est une politique économique ayant pour objectif à court-terme de stabiliser les prix tout en réduisant les déficits publics , et à long-terme l'équilibrage économique : elle se réalise généralement par des coupes budgétaires et se