De La République Cicéron

appellent à un amis c’est ce qu’on nomme un « Synégore » b) L’apparition de l’avocat à Rome C’est chez les romains que le métier d’avocat apparait. L’avocat prend la place du plaideur. Ce métier devient le + gd des métiers à Rome. Les + gd H de la république Romaine étaient avocat. Les avocats n’étaient pas rémunérés mais ils pouvaient recevoir des donations. Ce qui donnera lieu aux honoraires. Les plaidoiries étaient souvent longues et publiques. Le temps de paroles des avocats était limité par une

violences (rejet de la violence) ; - Ce sont des Hommes qui sont originaires de plusieurs pays. Les humanistes ont donc entre eux une langue commune : le latin. De plus, ils ont entre eux un cosmopolitisme : ils se sentent les citoyens d’une République des lettres avec une langue, un projet politique… Les humanistes touchent un petit nombre d’individus. La redécouverte de l’Antiquité  Il y a un véritable souci de retourner aux sources Antiques. Les humanistes sont convaincus que ce qu’ils

l'historiographie. C’est avec Pétrarque (1304-1374) que naît en Italie l'humanisme. Le poète commence par recueillir les inscriptions sur les vieilles pierres de Rome et poursuit dans les manuscrits sa quête des Anciens. Il retrouve ainsi des lettres de Cicéron, ressuscite un écrivain statufié par les écoles. Il s’illustre également en détectant un faux document au profit de son souverain. Lorenzo Valla (1407-1457), lui aussi traque la vérité historique, préconisant l’étude philologique des textes et le

qu’elle est juste par conséquent ? B. La justice, une vertu de l’âme humaine (qualité, sentiment inné, universel) Du fait, qu’il y a des lois qui nous semblent injustes et qu’on se révolte. 1. a. Cicéron, De Republica, III, 22 Ou 1. b. Rousseau, Discours sur les inégalités parmi les hommes… a. Cicéron dans De Republica parle d’un sentiment inné, d’une loi naturelle que tout homme posséderait bien avant la loi civile et c’est cette certitude (sentiment) intérieure qui lui permet d’ailleurs de critiquer

l'Empire ottoman de sa capitale Constantinople. Une nouvelle ère commence alors, qui va voir naître la pensée humaniste.   Des hellénistes (érudits versé dans les études grecques) vont émigrer en Italie et profiter du mécénat des citoyens riches des républiques commerçantes génoise et florentine, principalement par la famille Médicis de Florence, ainsi que du Pape. Grâce à ces apports culturels, une nouvelle pensée et un nouvel art vont se développer : ils sortent du cadre rigide hérité des anciennes institutions

3 La rhétorique classique : l'exemple de Cicéron Cicéron (106-43 avant notre ère) fut à la fois avocat et homme politique. Il a laissé en plus de nombreux discours qu’il a prononcés deux traités sur son art, De l’orateur (De Oratore) et L’Orateur (Orator), ainsi qu’un dialogue brossant le portrait des grands orateurs du passé, Brutus, et une préface intitulée Du meilleur genre d’orateurs (De meliorum genere oratorum), en tête d’une traduction de deux discours d' Eschine et de Démosthène. Le plus

certains nombres de ppes fondamentaux sur les quels Platon et Aristote se sont fondés. Chapitre 1 : les idées politiques avant Platon Les premiers textes politiques sont de Platon et d’Aristote. La politique d’Aristote, La république de Platon. Lorsque Platon rédige la République, ont est aux alentours de 375 av JC., la cité Grecque va disparaitre. Lorsqu’Aristotre rédige La Politique, aux alentours de 338 av JC, la Grèce indépendante tend à disparaitre. Avant eux il y a eu des penseurs qui ont

l'historiographie. C’est avec Pétrarque (1304-1374) que naît en Italie l'humanisme. Le poète commence par recueillir les inscriptions sur les vieilles pierres de Rome et poursuit dans les manuscrits sa quête des Anciens. Il retrouve ainsi des lettres de Cicéron, ressuscite un écrivain statufié par les écoles. Il s’illustre également en détectant un faux document au profit de son souverain. Lorenzo Valla (1407-1457), lui aussi traque la vérité historique, préconisant l’étude philologique des textes et le

ce qui a le plus contribué à rendre les Romains les maîtres du monde, c’est qu’ayant combattu successivement contre tous les peuples ils ont toujours renoncé à leurs usages sitôt qu’ils en ont trouvé de meilleurs. On pensait alors dans les républiques d’Italie que les traités qu’elles avaient faits avec un roi ne les obligeaient point envers son successeur ; c’était pour elles une espèce de droit des gens [3]. Ainsi tout ce qui avait été soumis par un roi de Rome se prétendait libre sous un autre

publica, ou « chose publique ». II/ Aux origines de l’Etat A/ L’Etat pendant l’Antiquité L’idée d’Etat est déjà présente chez un certain nombre de penseurs grecs. Platon est par exemple l’auteur d’un livre, La République, qui traite de la question de l’Etat. Cette République est la recherche de l’Etat idéal, qui agira pour le bien, selon le bien, car c’est la condition du bonheur de ceux qui constituent cet Etat. Cette conception de Platon prend la seule forme que connaissait les Grecs, donc